Frank LALOGGIA

Eléments biographiques:

Frank LaLoggia (né le 12 janvier 1954) est un réalisateur, scénariste, producteur, compositeur et acteur américain. Son nom est apparu en tant qu'acteur dans plusieurs films avant de faire ses débuts en tant que réalisateur avec le film d'horreur Fear No Evil (1981). Son deuxième long métrage était le film d'horreur mystérieux Lady in White (1988), avec Lukas Haas et Alex Rocco. Frank LaLoggia est né dans une famille italo-américaine à Rochester, New York. Il a fait ses débuts au cinéma en tant que réalisateur et écrivain avec le film d'horreur Fear No Evil/Ne craignez aucun mal (1981). Son deuxième long métrage de réalisateur, Lady in White/La Dame en blanc (1988), était en partie basé sur sa propre éducation, ainsi que sur une légende locale à Rochester dont je n'ai pas connaissance. Lady in White a reçu des critiques favorables et rencontré un certain succès public. En 1989, Frank LaLoggia tint un rôle mineur dans The Wizard of Speed ​​and Time , avant de réaliser le film fait pour la télévision Mother (1995), avec Diane Laddet Olympia Dukakis .

Entretien avec Frank Laloggia ICI

Je n'ai pas beaucoup d'informations sur ce sujet mais je ne pense pas que Frank Laloggia ait composé beaucoup d'oeuvres musicales. Il est même fort possible qu'il n'ait écrit de la musique que pour deux des films qu'il réalisa: Fear no Evil (1981) et Lady in White (1988), en somme comme purent le faire d'autres metteurs-en-scène, je pense prioritairement à John Carpenter, Mike Figgis ou encore Alejandro Amenabar. Frank Laloggia est avant tout un cinéaste que la composition musicale a surtout motivé lorsqu'il s'agissait de mettre en musique deux de ses propres films. J'ignore si la version TV de Mother fut mis en musique par lui. Peu importe dans l'absolu et la seule composition de je connais de Laloggia date bien de la fin des années 1980 ou du début des années 90 avec Lady in White. Je ne crois pas que sa partition pour Fear no Evil soit parue en disque et n'ai jamais vu le film. Lady in White non plus. C'est un film que je n'ai pas encore vu et je ne me souviens plus les raisons qui m'avaient incité à me procurer l'album, peut-être les bonnes critiques de béophiles... Ce que j'aime dans cette grande partition orchestrale, dont on ressent clairement l'aspect mystérieux et fantastique, c'est qu'elle me donne l'impression de me raconter une histoire. Elle a quelque-chose de très visuel, un caractère que l'on peut retrouver dans beaucoup d'autres musiques, même celles non écrites pour le cinéma, mais Lady in White, chez moi, c'est peut-être plus fort que la normale, au point que si je vois ce film un jour, j'aurai l'impression mystérieuse de l'avoir déjà vu, de découvrir des scènes que j'aurai imaginées pendant les écoutes successives: cette musique est presque un livre d'images qui défilent dans mon esprit. Si Lady in White est classé parmi les films d'horreur, la musique n'est jamais effrayante, ni même inquiétante, principalement mystérieuse et féérique, propice au rêve et au voyage dans un monde fantastique de son choix.