Touchante et peu connue, cette cantate impressionne dans sa première section par la répétition monotone et lancinante de la phrase « la neige tombe » qui donne son nom à la cantate. La section médiane « âme » imprégnée de tristesse est un moment d'apaisement et de méditation, avant que la section finale « nuit » renoue avec une atmosphère plus joyeuse (flûte, piccolo et contrebasson) dans un insolite contraste avec les couplets précédents.
La neige tombe
Orchestre Philharmonique et la Maîtrise de Radio France