Dis moi coco, lorseque je clique sur ton lien de ton dernier message cidessus, je devrais entendre directement le morceau que tu as sélectionné??...je tombe sur un site en anglais (en plus je n'ai jamais appris l'anglais!!) ou en essyant différentes propositions j'ai des listes d'oeuvres...mais pas d'écoute?...C'est normal ou encore un coup des...douaniers?
Dis moi coco, lorseque je clique sur ton lien de ton dernier message cidessus, je devrais entendre directement le morceau que tu as sélectionné??...je tombe sur un site en anglais (en plus je n'ai jamais appris l'anglais!!) ou en essyant différentes propositions j'ai des listes d'oeuvres...mais pas d'écoute?...C'est normal ou encore un coup des...douaniers?
Je crains le pire et à mon avis ton ordi a besoin d'un sérieux coup de logiciel nettoyeur à la javel
Mais il est probable que tu es arrivé sur cette page :
http://www.kunstderfuge.com/alkan.htm
c'est ça ?
et là, il te suffit (normalement LOL) de passer ta souris sur un titre et de cliquer pour qu'il apparaisse dans une nouvelle fenêtre comme par magie avec des vrais morceaux de son dedans
Si tu as un PC, je ne peux hélas pas t'aider, je n'y connais rien, mais si tu as un Mac, on peut en discuter et trouver la solution à sa rebellion intensive
Coco
Jean
Nombre de messages : 8781 Age : 81 Date d'inscription : 14/05/2007
Je suis arrivé en fait sur la page "Home" du site qui présente les oeuvres d'Alkan sur lequel j'arrive directement avec ton nouveau lien!
Ton "diagnostic" ne m'étonne pas...çà ne fait que confirmer ce dont je me doute depuis quelques temps! En tout cas merci pour ta sollicitude ...mais j'ai bien un PC et non un Mac!
Merci pour ces videos, Phrygien. Je ne connaissais pas Jack Gibbons, mais est super !
Le site sur Alkan est bien fait. Je m'y référe assez souvent, car pour se retrouver dans son oeuvre abondante, ce n'est pas une mince affaire ! Certaines oeuvres ont le même opus, et d'autre part certains opus sont inexistants
Snoopy Admin
Nombre de messages : 31221 Age : 49 Date d'inscription : 10/08/2006
Si je ne me trompe, il était associé (par contrat où par mariage ?) à l'usine de construction des "Harmoniflûtes Mayen-Marix" à Paris. On pourrait définir ces instruments d'harmoniums portables (2 pédales et 5,5 octaves, pas plus de 12 kg, et le timbre est fort trémolo).
Invité Invité
Sujet: Oeuvres pour Orgue 2012-01-02, 12:49
Dites-moi si je mets en ligne, le catalogue complet des Oeuvres de Charles Valentin Alkan. Ainsi qu'une bibliographie et une discographie essentielle.
Dernière édition par claudeyaacov le 2012-09-02, 09:24, édité 2 fois
Snoopy Admin
Nombre de messages : 31221 Age : 49 Date d'inscription : 10/08/2006
Merci, Claude, pour ce catalogue que je n'ai pas eu le courage de recopier
J'aurais quelques ajouts, tous sans n° d'opus
2 mélodies hébraïques
Etz chajjim hi, pour choeur de 2 sopranos, ténor et basse (1847) Halelouyoh, pour choeur de soprano, contralto, ténor, basse et piano ou orgue (1857)
Marcia funebre sulla morte d'un papagallo, pour quatuor vocal, 3 hautbois et basson (1859)
Transcriptions
Saltarello pour piano à 4 mains, arrangement d'après la sonate op 47 (1869) Perpetuum mobile (étude de vélocité, d'après le final du trio op 30) 1er mouvement du 3ème concerto de Beethoven, transcrit pour piano
D'autre part, la Grande Sonate opus 33 "les quatre âges", est en 4 mouvements :
- 20 ans (sans titre) - 30 ans "quasi Faust" - 40 ans "un heureux ménage" - 50 ans "Prométhée enchaîné"
Enfin, le premier mouvement du concerto pour piano seul op 39 n° 8 a été orchestré par K. Klindworth pour piano et orchestre. On le trouve chez Naxos avec les 3 concertos da camera.
joachim Admin
Nombre de messages : 27104 Age : 77 Date d'inscription : 19/08/2006
A vos stylos (souris) pour corriger (pas moi, le texte) et amender.
Claude Torres
J'avais vu quelques oeuvres mineures manquantes, et pas les principales !
Orchestre
En fait, il n'y a pas chez Alkan de véritables oeuvres pour orchestre
Cependant on peut y inclure
Concerto da camera n° 1 en la mineur pour piano et petit orchestre opus 10 (1832) Concerto da camera n° 2 en ut dièse mineur pour piano et petit orchestre sans opus (ou opus 10 n° 2 ?) (1832)
Et c'est tout ! Le "3ème concerto da camera" est en fait un arrangement de l'Andante romantique op 13 n° 2 par Hugh Mc Donald. Il existe diverses orchestrations de la Symphonie pour piano op 4 à 7 et du concerto pour piano seul op 39 n° 8 à 10.
Musique de chambre
Elle se limite à 3 opus :
Grand Duo concertant pour violon et piano en fa dièse mineur opus 21 (1840) Trio pour piano, violon et violoncelle en sol mineur, opus 30 (1841) Sonate de concert pour violoncelle et piano en mi majeur, opus 47 (1857)
auxquels on peut ajouter
Rondo brillant en la majeur pour piano et quatuor à cordes ad libitum opus 4 (1833)
Les oeuvres pour orgue ou piano à pédalier sont déjà citées dans la liste de Claude
Les 3 oeuvres vocales (2 choeurs et la Marche funebre d'un papagallo) sont déjà citées également.
Il va de soi, Claude, que si tu connais autre chose de non reprise dans nos listes, tu peux encore les ajouter
Un catalogue très complet ici : http://alkan.assos.free.fr/alkan/03_catalogue_en.html
ysov
Nombre de messages : 408 Age : 61 Date d'inscription : 16/09/2011
Ah ce mal aimé, surtout par ses compatriotes! Il a fallu l'Angleterre et son pianiste alkanien par excellence RONALD SMITH pour que cet énigmatique soit ressorti de l'ombre. J'ai entendu du Alkan pour la première fois en 1983 via un vinyle de Raymond Lewenthal, suivi d'un autre vinyle contenant sa superbe sonatine jouée par John Ogdon du label Oryx et enfin, j'ai mis la main par hasard sur le fameux coffret de 3 vinyles du label EMI avec Ronald Smith jouant les Études dans tous les ton mineurs, quel choc! Depuis il est mon pianiste alkanien par excellence, doté d'une intélligence musicale hors du commun, pas seulement une technique béton. A comparer, les Jack Gibbons, M.A. Hamelin, A. Weiss, Reingeissen, Laurent Martin, ont tout en ayant incontestablement leurs qualités, leur manquent un ce petit truc unique que Smith possède.
En tous cas, Snoopy a raison de qualifier Alkan de ''Liszt'' français. Nous savons que par certains témoignages, le hongrois faisait travailler ses élèves avec des oeuvres de son ami français. De plus Alkan fut le seul pianiste qui intimida Liszt. Il fut le voisin de Chopin au Square d'Orléans, l'estime des jeunes musiciens en son endroit fut véridique, à un tel point d'ailleurs que lors du décès de Chopin, les élèves du polonais allèrent frapper à sa porte!
Tout n'est pas génial chez cet excentrique misanthrope, passionné de Bach, Mozart, Schubert, Beethoven. Mais quelques CHEFS-D'OEUVRES s'y retrouvent, soit dans quelques miniatures jusqu'à des oeuvres titanesques comme ces études. Il est comme Bülow l'affirma, ''Le Berlioz du piano'', comparatif que je partage sans hésitation.
Mes suggestions maintenant.
Avant quiconque, ce sont les enregistrements de Ronald Smith qu'il faut prioriser et je crois que mes quelques liens sauront vous le démontrer pourquoi.
Tout d'abord, il est impérieux de se procurer cet album contenant des miniatures parmi les plus belles:
Ecoutez --ICI
A mentionner particulièrement son ''Promenade sur l'eau'' d'une finesse romantique extraordinaire, de ''Les Soupirs'' dont on dirait du Debussy avant l'heure, son Nocturne, qui fait tellement regretter qu'il est pas composé d'avantage, son Incrépatio, qui préfigure un Bartok et enfin, sa Barcarolle No.6 du Livre 5 est un des chefs-d'oeuvres du genre. C'est d'un romantisme d'autant plus tellement suggestif, qu'on se croirait dans une pièce regardant le temps gris de novembre par la fenêtre rappelant cette tristesse de l'été disparu.
Maintenant, passons au cd double du label EMI qui est en fait la réédition du coffret contenant les trois vinyles évoqué au début:
Hélas il est pas disponible par les sites d'écoute en streaming Mais, bon! Ça mes amis, c'est à se procurer de toute urgence, c'est selon mon avis un des chefs-d'oeuvres discographique! Voici le contenu de cet album double:
CD 1
01. Petit conte 3:37 02. Nocturne No.1, Op.22 5:29 03. Gigue, Op.24 1:45 04. Marche, Op.37 No.1 5:04 05. Le Tambour bat aux champs, Op.50, No.2 4:42 Esquisses, Op.63 06. Délire 0:51 07. Morituri te salutant 1:05 08. Le premier billet doux 0:44 09. Les cloches 0:47 10. Les enharmoniques 2:07 11. Increpatio 1:29 12. Les soupirs 1:44 13. En songe 1:15 14. Toccatina, Op.75 1:51 Etudes dans les tons mineurs, Op.39 15. IV Allegro 10:45 16. V Marche funèbre (Andantino) 8:15 17. VI Menuet 5:42 18. VII Finale (Presto) 4:35 Trois Petites Fantaisies, Op.41 19. Assez gravement 5:19 20. Andantino 6:08 21. Menuet 6:05
CD 2
Etudes dans les tons mineurs, Op.39 01. VIII Allegro assai 29:39 02. IX Adagio 12:08 03. X Allegretto alla barbaresca 10:20 XI Ouverture 04. Maestoso 6:57 05. Allegro 8:49 Préludes, Op.31 06. XIV Cantique des Cantiques 2:16 07. XV 1:39 08. XVI 1:40 09. XI 0:49 10. XIII 1:30
Il y a cependant quelques liens You Tube:
A commencer par cette 3ème Étude Op.39, le Scherzo Diabolico:
Ou bien la 2ème ''En rythme molossique'' (Cette fois il devait penser à Schumann):
Ou bien la 4ème étude qui constitue le premier mouvement de cette sublime Symphonie pour Piano Solo:
Pour sa musique de chambre, je ne saurais recommander d'avantage que cette version de référence: Ecoutez --- ICI QOBUZ
Bien-sûr Jack Gibbons, Marc André Hamelin Laurent Martin, Bernard Reingeissen, ont beaucoup de mérites.
Pour la grande sonate ''Les Quatre Âges'', J'ai un faible pour cette version du pianiste scandinave Stefan Lindgren:
Ecoutez--ICI QOBUZ
Ou bien cette parution récente qui est très bien de ce jeune pianiste italien Vincenzo Maltempo:
Ecoutez --ICI QOBUZ
vizZ
Nombre de messages : 710 Age : 36 Date d'inscription : 22/03/2009
Qui sont forts belles. Marc-André Hamelin est un géant du piano, c'est indéniable. Seulement il lui manque une certaine subtilité dans sa sensibilité, alors que Smith c'est autrement plus mature. Je le redis donc, c'est Ronald Smith avant qui que ce soit d'autre.
vizZ
Nombre de messages : 710 Age : 36 Date d'inscription : 22/03/2009
Je dirais que Steven Osborne mettra tout le monde d'accord
Nan pour etre sérieux, je pense que ceux qui aiment le Alkan virtuose se dirigeront vers Hamelin tandis que ceux qui préfèreront un Alkan un peu plus sensible se tourneront vers Ronald Smith. Pour ma part Osborne se situe entre les deux.
Kool
Nombre de messages : 1476 Age : 68 Date d'inscription : 17/05/2011
Sujet: Charles-Valentin Alkan 2012-12-09, 12:08
Charles-Valentin Alkan, né Charles-Valentin Morhange, le 30 novembre 1813 à Paris, mort dans la même ville le 29 mars 1888, est un pianiste et compositeur français. Se rattachant à la tradition de grande virtuosité de l'époque romantique, initiée par Paganini au violon, puis au piano par Frédéric Chopin et Franz Liszt, il est considéré comme le plus important représentant français de l'école de piano romantique.
Né de parents juifs, au sein d'une fratrie (cinq frères et une sœur) de musiciens qui adoptèrent tous le nom de Alkan — prénom du père, Alkan Morhange, qui tenait une école élémentaire réputée pour son enseignement musical — Charles-Valentin est d'abord un enfant prodige entrant à 6 ans au Conservatoire de Paris. Il étudie l'harmonie, l'orgue et le piano avec des professeurs tels que Joseph Zimmermann, qui fut aussi le professeur de Georges Bizet, César Franck, Charles Gounod, et Ambroise Thomas. Il obtient le premier prix pour le piano en 1824, pour l'harmonie en 1827, pour l'orgue en 1834. Il est à 17 ans un virtuose réputé, rivalisant avec Franz Liszt ou Sigismond Thalberg.
Surnommé « le Berlioz du piano » par Hans von Bülow, il a cependant été peu présent au concert : dès l'âge de 20 ans, il se retire de la vie publique, manifestant une forte misanthropie, et se consacre à la composition. Pour gagner sa vie, il donne des leçons : il devient un pédagogue réputé vers lequel les élèves de Chopin se tournèrent à la mort de celui-ci. Il donne tous les ans Six petits concerts, salle Erard, où il présente en intermède quelques-unes de ses œuvres, au milieu d'un répertoire très classique.
En 1844, Charles-Valentin Alkan reprend les concerts. Il espère succéder à Joseph Zimmermann au Conservatoire de Paris, mais c'est Marmontel qui obtient le poste. Il quitte de nouveau la vie publique après 1848 et y revient en 1855 avec la publication de ses Douze Études dans tous les tons mineurs, op. 39.
Il meurt à 74 ans, selon la légende écrasé par sa bibliothèque alors qu'il saisissait le Talmud. Officiellement, il s'agit d'un « accident domestique ».
Ses compositions ont été longtemps méconnues et restent encore peu enregistrées. Elles sont pourtant particulièrement originales et personnelles et d'une extrême difficulté d'exécution.
Comme Frédéric Chopin, Alkan a écrit presque exclusivement pour le piano. Ses œuvres les plus importantes sont la Grande Sonate pour piano « Les Quatre Âges de la vie », op. 33, et ses Études, comparables en difficulté et en complexité aux Études d'exécution transcendantes de Liszt. Si les Études dans tous les tons majeurs, op. 35, ressemblent encore aux publications de son temps, les Études dans tous les tons mineurs, op. 39, constituent une somme pianistique de 300 pages, sans équivalent à l'époque. Le recueil est dominé par une Symphonie et un Concerto. Le fait de donner de tels titres à des œuvres pour piano solo traduit bien l'ambition d'Alkan qui est de conférer une dimension symphonique au piano.
Multipliant les difficultés techniques, Alkan y affectionne, en particulier, les groupes d'octaves et d'accords obligeant l'interprète à des extensions et des déplacements très rapides, les gammes et les arpèges qui fusent, les notes répétées et les batteries donnant parfois l'impression d'un mouvement perpétuel, comme dans Le Chemin de fer, op. 27, évocation virtuose de la fuite en avant d'un train ; enfin, une riche texture polyphonique et polyrythmique. En dehors des grandes pièces de concert, longues et éprouvantes, Alkan sait faire preuve d'un remarquable talent de miniaturiste, comme dans ses 48 Esquisses op. 63 de 1861 ou l'abrupt Scherzo diabolico (de l'op. 39) qui fait résonner le rire de Méphistophélès.
Source Wikipédia
Icare Admin
Nombre de messages : 17470 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
Kool, si je suis très heureux d'une plus grande participation depuis quelques temps où tu nous fais découvrir de nouveaux compositeurs, avant d'ouvrir un sujet sur un compositeur, vérifie qu'il n'existe pas déjà. Fusionner est un exercice plutôt facile mais bon...
joachim Admin
Nombre de messages : 27104 Age : 77 Date d'inscription : 19/08/2006
Un CD original, qui comporte le second des deux concertos da camera, l'op 10 n° 2, un concerto miniature de 10 minutes à peine pour piano et petit orchestre, la Suite "les Mois", assez descriptive, une pièce intitulée "Salut cendre du pauvre", sorte de choral avec un épisode dramatique, et enfin une bizarrerie, cette "Marcia funèbre sulla morte d'un papagallo" pour 3 hautbois, basson et quatuor vocal, quatuor qui répète "As tu déjeuné, Jaco ? Et de quoi ?" Très drôle !
joachim Admin
Nombre de messages : 27104 Age : 77 Date d'inscription : 19/08/2006
1826, Variations sur un thème de Steibelt op. 1 (le concerto «Orage») 1829, Les omnibus, variations pour le piano forte op. 2, dédié aux Dames Blanches, Schlessinger, Paris 1830, Il était un p'tit homme, rondoletto op. 3 1832, Premier concerto da [di] camera en la mineur, op. 10. Nouvelle édition revue par F. M. Delaborde et I. Philipp, Gérard Billaudot, Paris [fonds Costallat] 1832, Deuxième concerto da camera en ut dièse mineur op. 10. Nouvelle édition revue par F. M. Delaborde et I. Philipp, Gérard Billaudot, Paris [fonds Costallat] 1833, Rondo brillant pour piano et quatuor de cordes op. 4 1833, Rondeau chromatique pour le piano forte, op. 12 no 1 ; composé et dédié à la Société des Enfants d'Apollon et exécuté à leur concert annuel, par CH. V. Alkan, professeur honoraire de l'École Royale de Paris et membre de la société des enfants d'Apollon. R. Cocks & C°, London 1834, Variations sur La tremenda ultrice spada de «I Capuleti èi Montecchi de Bellini» op 16 no 5 1834, Variations pour le piano sur Ah ! segnata é la mia morte de «Anna Bolena» de Donizetti op. 16 no 4, dédié à Madame H. G. Le Loder, par C. V. Alkan. R. Rock & C°, London (introduction tirée de la ritournelle, thème, trois variations et final) 1834, Variations quasi fantaisie composés sur une barcarolle napolitaine, dédiées à Miss Mary Windsor op. 16 no 6. R. Rock & C°; London 1834, L'Entrée en loge, cantate pour voix et orchestre, sans opus 1837, Trois études de bravoure op. 16 (Scherzi) également connus sous le nom de Caprices. (1 - mouvement de valse (trio ; stretto) 2- moderato quasi menuetto 3 - prestissimo). Nouvelle édition revue par F. M. Delaborde et I. Philipp, Gérard Billaudot, Paris (fonds Costallat) 1837, Souvenirs : Trois morceaux dans le genre pathétique op. 15 (1 - Aime moi ; 2 - Le Vent ; 3 - Morte). Imprimerie Mergault, Paris 1837, Trois Andantes romantiques op. 13 1837, Trois improvisations (dans le style brillant) op. 12 1838, Les mois, op. 74 1838, Six morceaux caractéristiques op. 16 (publiés plus tard sous le numéro d'opus 8) 1838 / 1840, Trois grandes études op. 76. no 1 - Fantaisie en la bémol majeur, Largamente, Gravemente, Vivamente ; no 2 - Introduction, variations et Finale, pour la main droite seulement, Colla mano diritta solamente ; no 3 - Étude pour les deux mains (I Philipp, 12 études de virtuosité no 3). 1840, Jean qui pleure et Jean qui rit, deux fugues sans numéro d'opus. Imprimerie Mergault, Paris. 1840, Grand duo concertant en fa dièse mineur pour violon et piano op. 21 1840, Pas redoublé, pour harmonie 1841, Trio en sol mineur pour violon, violoncelle et piano op. 30 1842 Variations sur un air favori de Ugo, conte di Parigi, sans opus 1844, Nocturne op. 22 1844, Saltarelle op. 23 1844, Gigue et Air de ballet dans le style ancien op. 24 no 1. Nouvelle édition revue par F. M. Delaborde et I. Philipp, Gérard Billaudot, Paris (fonds Costallat) 1844, Alleluia op. 25. Musica Obscura Éditions 1844 / 1846, Marche funèbre pour le piano op. 26, dédiée à Madame la Maréchale, Duchesse de Montebello. Milan, F. Lucca 1844, Marche triomphale pour piano op. 27, dédiée à la duchesse de Montebello. Berlin, Schlessinger 1844, Le chemin de fer, étude op. 27. Nouvelle édition revue par F. M. Delaborde et I. Philipp, Éditions M. R. Braun, Paris (fonds Costallat-Billaudot) 1844, Le preux, étude de concert op. 17, dédicacé à Madame Adèle Janvier. Milan, F. Lucca 1834, Désir, Fantaisie sur « Don Juan » en la bémol majeur sans numéro d'opus. Gérard Billaudot, Paris. 1846, 25 Préludes, piano ou orgue opus 31 1846, Bourrée d'Auvergne, étude op. 29 1847, Douze études dans tous les tons majeurs opus 35 1847, Grande sonate, op. 33 Les quatre âges de la vie 1847, Scherzo focoso op. 34 1847, Etz chajjim hi pour chœur mixte a cappella (pour 2 sopranos, ténor et basse) sans numéro d'opus 1849, Deuxième recueil d'impromptus - Trois airs à cinq temps et un à sept temps opus 32/2 1849, 4 Impromptus opus 32/1 1850, Pro organo pour orgue, en ut majeur 1850, 12 études pour les pieds seulement sans numéro d'opus 1855, Palpitamento sans opus 1856, Salut, cendre du pauvre ! op. 45 1856, Minuetto alla Tedesca op. 46 1857, Sonate de concert en mi majeur pour violoncelle et piano op. 47 1857, Trois marches (quasi da cavalleria) op. 37 1857, Trois petites fantaisies op. 41 1857, Réconciliation, petit caprice op. 42 1857, Douze études dans tous les tons mineurs op. 39 1857, Halelouyoh pour chœur mixte et piano ou orgue en sol mineur (pour soprano, contralto, ténor, basse et piano ou orgue) sans numéro d'opus 1857, Trois marches pour piano en duo op. 37 1857, Deuxième recueil de chants op. 38 1857, Bombardo-Carillon en Sib sans numéro d'opus 1859, Capriccio alla soltadesca op. 50 1859, Le tambour bat aux champs, esquisse opus 50 bis 1859, Super flumina Babylonis, paraphrase du psaume 137 op. 52 1859, Quasi-caccia, caprice op. 53 1859, Bénédictus - pour pédalier ou piano trois mains op. 54 1859, Une fusée, introduction et impromptu op. 55 1859, Deuxième nocturne op; 57 1859- Troisième nocturne op. 57 1859, Trois menuets op. 51 1859, Petits préludes sur les huit gammes du plain-chant pour orgue sans numéro d'opus 1859, Marcia funebre sulla morte de un pappagallo pour 2 sopranos, ténor, basse, 3 hautbois, basson, sans opus 1859, Stances de Millevoye, pour 2 sopranos et alto, sans opus 1860, Le grillon, quatrième nocturne op. 60 bis, Costallat, Paris 1860, Ma chère liberté et ma chère servitude : Deux petites pièces op. 60 1861, Esquisses (Motifs) op. 63 1861, Sonatine en la mineur op. 61 1867, Fantasticheria, 2 pièces : Chapeau bas, sans opus 1867, 11 pièces dans le style religieux et une transcription du Messie d'Händel, orgue, harmonium, piano op. 71 1869, Finale (Saltarelle du concerto pour violoncelle arrangée pour piano à 4 mains) [grande sonate] op. 47 1869, Impromptu sur le choral de Luther Un fort rempart est notre Dieu pour piano à pédales ou à trois mains op. 69 (à M. François Benoist) 1869, 13 prières pour orgue, pédalier, piano trois mains op. 64 1869, Troisième recueil de chants op. 65 1871, Douze Études pour les pieds seulement pour orgue ou pédalier sans numéro d'opus 1872, Toccatina op. 75 1872, Trente chants (Cinquième suite) Six chants op. 70 ; dans Œuvres choisies de Ch. V. Alkan, nouvelle édition revue par E. M. Delaborde et I. Philipp, Costallat, Paris 1879, Trente chants (Quatrième suite), Six chants op. 67 ; dans Œuvres choisies de Ch. V. Alkan, nouvelle édition revue par E. M. Delaborde et I. Philipp, Gérard Billaudot, Paris [Neige et lave ; Chanson de la bonne vieille ; Bravement ; Doucement ; Appassionato ; Barcarolle] 1883, Rondo d'après Rossini (largo, Le Barbier de Séville) op. 5
Jean
Nombre de messages : 8781 Age : 81 Date d'inscription : 14/05/2007
Bizarre...la réponse d'Icare a disparue???!!...On la retrouve heureusement en "citation" dans la réponse de Pic..
Je voulais juste témoigner de mon approche d'Alkan :
Tout b'abord, je suis bien incapable d'estimer la plus ou moins grande difficulté technique entre certaines pièces .... Pour ce qui est d'Alkan que je connais depuis déjà un certain temps, je n'ai pas eu le problème que signale Pic pour l'apprécier et sans devoir le réécouter de nombreuses fois, j'ai tout de suite été séduit par sa musique , qui pour être virtuose, me semble moins spectaculaire et plus ..raffinée que certaines pièce de Liszt par exemple.
Icare Admin
Nombre de messages : 17470 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
Tu as tout à fait raison Icare. Tu as le droit de ne pas être plus sensible que ça à la virtuosité. Mais reconnaît aussi qu'on peut l'être.
Mais volontiers. Disons que pour moi la virtuosité est en musique un élément parmi d'autres qui me sont aussi importants. Ceci-dit, je pourrais parallèlement citer beaucoup de morceaux virtuoses qui me transcendent, mais peut-être aussi parce qu'au-delà de la virtuosité et la prouesse technique, il y a ce quelque chose en plus (moins palpable, moins définissable) qui vont engendrer l'émotion attendue et faire la différence. J'espère bien vivre cette expérience avec Alkan lorsque je déciderai de m'y intéresser. Sinon, en dehors des "Fleurs du mal", j'aime bien la petite phrase de Baudelaire.