Jean-François Zygel (né en 1960)

Jean-François Zygel (né le 23 novembre 1960) est un pianiste, compositeur français, professeur d'écriture musicale et d'improvisation au Conservatoire National Supérieur de Paris.

Dans la lignée des young people’s concerts de Leonard Bernstein, il donne des leçons de musique en public à la mairie du XXème à Paris.

Certaines ont été filmées (Chopin, Fauré, Bartok, Debussy, Chostakovitch, Mendelssohn, Franck, Ravel et Mozart) puis éditées sous format DVD par naïve Records sous le titre La leçon de musique de Jean-François Zygel et récompensées aux Victoires de la musique classique 2006.

Sur le même thème, il a animé sur France 2, tout au long de l'été 2006 le vendredi soir à 23h30, la Boîte à musique de Jean-François Zygel. Au cours de cette émission d'une heure, le répertoire d'un compositeur classique était gaiement revisité, en public et en compagnie d'une personnalité de la chanson française.

Les parents de Jean-François Zygel ne sont pas musiciens. Sa mère écoute de la chanson (Colette Magny, Brel, Barbara, Léo Ferré, etc.) alors que son père préfère la musique classique (Mozart, Bach, Beethoven, Schubert, etc.).

Jean-François Zygel entre au Conservatoire National de Musique de Paris en 1975 où il obtient dix premiers prix (harmonie, contrepoint, fugue, analyse, accompagnement piano, direction de chant, musique de chambre, recherche en analyse, orchestration et composition).

Il obtient en 1982 le Premier prix du concours international d'improvisation au piano de la Ville de Lyon et rentre comme pianiste soliste à Radio-France. Il est lauréat de l'Institut (Prix Georges Bizet de composition musicale) et de la Fondation de France.

Pianiste au sein du Nouvel orchestre philharmonique de Radio-France de 1985 à 1988 puis pianiste improvisateur en résidence au Festival international Ciné-mémoire (de 1992 à 1996), il prend la direction artistique de l'Ensemble Phoenix en 1994.

Professeur d'orchestration au Conservatoire national de région d'Aubervilliers - La Courneuve de 1995 à 1997, il devient professeur d'harmonie au CNSM de Paris et professeur associé d'orchestration au CNSM de Lyon.

En 2011, il collabore avec l'orchestre national d'Île-de-France pour La Femme sur la lune de Fritz Lang (Cité de la musique). En 2013, c'est la création par l'orchestre de l'Opéra de Rouen d'une nouvelle partition écrite pour La Belle Nivernaise de Jean Epstein (commande de la Cité de la musique et du Festival Normandie Impressionniste).

En 2011, il publie son deuxième album d'improvisation, Double Messieurs (Naïve), en duo avec Antoine Hervé, qui constitue un véritable « carnet de voyage » des concerts donnés pendant la saison 2009-2010. La même année, il lance Les Concerts de l'Improbable au Théâtre du Châtelet. Il dispute de nombreuses battles avec d'autres improvisateurs comme Chilly Gonzales, Didier Lockwood, Bruno Fontaine, Andy Emler, Yaron Herman, etc.

En 2012, il est invité à se produire à Toronto en compagnie d’Uri Caine et de Lang Lang pour un concert d’hommage à Glenn Gould à l’occasion des trente ans de sa mort.

En 2017 parait l'album L'Alchimiste, sur lequel il improvise sur les voix isolées de chansons célèbres : Y'a d'la joie de Charles Trenet, La Fille d'avril de Laurent Voulzy, Ne me quitte pas de Jacques Brel… Mêlant Schumann à Renaud, il est parfois accompagné d'autres musiciens tels que Médéric Collignon, Joël Grare ou Paul Meyer.

Il a remporté le 1er février 2017 une Victoire de la Musique Classique.

Ses disques et ses DVD sont édités chez Naïve.

Pianiste et compositeur, Jean-François Zygel improvise régulièrement en concert, pour le cinéma muet, le théâtre ou la danse (Théâtre du Châtelet, Forum des Images, Opéra Bastille, Festival d’Avignon, Auditorium de Lyon, Musée du Louvre, Musée d’Orsay…) ainsi que pour la radio (France Musique) et la télévision (Mezzo, France 2). En compagnie de l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, il présente chaque mois les œuvres du grand répertoire au jeune public salle Olivier Messiaen de la maison de la Radio. Il y est également chargé d’une émission hebdomadaire publique et en direct, « Le cabaret classique de Jean-François Zygel », diffusée sur France Musique le dimanche de 18h à 19h.

Il crée en 2006 pour France 2 une série d’émissions intitulée "La Boîte à musique de Jean-François Zygel" consacrée aux grands compositeurs.

La musique de Zygel est nourrie de la cantillation synagogale. Deux de ses arrière-grands-pères étaient des hazzanim en Pologne.

Son catalogue d'œuvres comprend une cinquantaine de pièces pour voix et piano, instruments seuls, formations de chambre et ensembles instrumentaux, plusieurs œuvres d'orchestre dont le triptyque symphonique La ville ou encore Coup de tonnerre, créées par l'orchestre national des Pays de la Loire, trois grandes œuvres chorales ainsi que de nombreuses orchestrations et plusieurs pièces pédagogiques.

Voici quelqu'un qui met la musique à la portée de tous. qui sait si grâce à lui on ne se mettrait pas à aimer Boulez

Je ne savais pas qu'il était aussi compositeur. Tu sais de quel genre est sa musique, je veux dire, est-elle abordable pour nous qui en restons aux classiques ?

joachim a écrit:

Tu sais de quel genre est sa musique, je veux dire, est-elle abordable pour nous qui en restons aux classiques ?

Non, pas du tout. Je ne connais que « La Boîte à musique de Jean-François Zygel » que je regarde sur Mezzo.

En tout cas il est bon pédagogue et à beaucoup d'humour.

J'ai vu presque toutes ses émissions quand elles passaient sur France 2.

Il n'est pas super télégénique mais c'est effectivement un pédagogue hors pair...

En fait il remplacerait presque avec bonheur l'éducation musicale presque inexistante que reçoivent les gamins dans les collèges et les lycées de France. J'adore la façon limpide qu'il a de parler de musique de chambre (une musique pas forcement évidente et surtout appréciée du grand public), et des différentes techniques musicales utilisées (chez Ravel, Mozart, Bach, etc...), dommage là encore que ce type d'émission passe si tard, pourquoi pas à 20h55 ? à part un ton un peu docte et pincé, c'est vraiment conçu pour le grand public et ça changerait un peu des sempiternels feuilletons ou du film américain obligato...

joachim a écrit:

Voici quelqu'un qui met la musique à la portée de tous. qui sait si grâce à lui on ne se mettrait pas à aimer Boulez

je crois qu'il déteste le style d'avant garde justement.

joachim a écrit:

Je ne savais pas qu'il était aussi compositeur. Tu sais de quel genre est sa musique, je veux dire, est-elle abordable pour nous qui en restons aux classiques ?

à mon avis oui car je crois qu'il est tout à fait néo-tonal.

De lui, je ne connais qu'une orchestration (une oeuvre de Ravel, je ne me rappelle plus laquelle exactement) qui était drôlement bien foutue...

kfigaro a écrit:

En fait il remplacerait presque avec bonheur l'éducation musicale presque inexistante que reçoivent les gamins dans les collèges et les lycées de France. J'adore la façon limpide qu'il a de parler de musique de chambre.

Tout à fait. Dans 95% des cas, les élèves qui apprécient la musique classique le sont plus souvent grâce à un film, un documentaire,un concert vu en live, etc...Qu'avec les cours dispensés par l'éducation nationale...

Mais peut être que la grande différence entre les profs et Zygel, c'est que lui...aime son métier et il a le feu sacré...

exactement !

"Premier prof de musique de France", le pédagogue et pianiste (et aussi compositeur), poursuit sa carrière gagnante. 1 million de téléspectateurs ont suivi chaque vendredi du mois d'août son magazine "La Boîte à musique", diffusé sur France 2. Un chiffre record pour une émission de musique classique (pourtant diffusée en seconde partie de soirée, vers 23h, de surcroît au sein de la grille été). Même score encourageant pour sa collection Leçons de musique, éditée en dvd: 100.000 exemplaires vendus à ce jour depuis 2 ans. Approche thématique sur les compositeurs, et plus récemment "Les clefs de l'orchestre", nouveau concept qui fait participer le pianiste, les musiciens de l'orchestre avec le jeune public (et leurs parents). Réalisés par Stéphane Aubé, les 2 premiers dvd sont déjà publiés, consacré à Haydn (Symphonie n°103) et le dernier, au Boléra de Maurice Ravel .

Le "professeur solfège" a commencé ses premières séances d'explication de la musique à la Mairie du 20ème ardt de Paris, il y a 10 ans. Aujourd'hui, depuis 2006, Jean-François Zygel officie devant un large public désireux d'apprendre sans complexe, au théâtre du Châtelet, en deux horaires, à 15h puis 20h.

Agenda: Samedi 29 septembre 2007: Les Clefs de l'orchestre, Symphonie n°9 de Dvorak (orchestre Philharmonque de Radio France, direction: Myung Whun Chung, salle Pleyel à 11h). France Musique: les 7, 14, 21 et 28 octobre 2007, de 18h à 19h: "Le cabaret classique de Jean-François Zygel". Le lundi 8 octobre 2007: Leçon de musique, Mendelssohn. Théâtre du Châtelet, à 15h et à 20h. Jeudi 11 octobre 2007: Les Clefs de l'orchestre: Symphonie Héroïque n°3 de Beethoven. Orchestre Philharmonique de Radio France, direction: Myung-Whun Chung, Salle Olivier Messiaen, Radio France, à 10h30.

C'est vrai qu'il a un talent de pédagogue extraordinaire outre le fait qu'il est un musicien de haut niveau. Pas étonnante cette réussite lorsque l'on regarde ne serait-ce qu'une seule de ses émissions. On dit souvent que l'on ne peut vulgariser (au sens noble du terme) que si l'on est érudit. Jean-François Zygel en apporte la preuve éclatante... Des gens comme lui ou Frédéric Lodéon manquaient cruellement dans la musique française. Quelle fraîcheur dans la manière d'aborder le répertoire classique sans trahir le discours avec ce respect intuitif de l'autre si rare dans le milieu...
Là, je suis très optimiste !!!

Jean François Zygel présentait hier soir sa "boîte à musique" sur France 2 en deuxième partie de soirée.

Pas simple d'intéresser les téléspectateurs à de la musique classique. Il enregistre donc 561.000 téléspectateurs et 7,9% ce qui est plutôt honorable pour un programme comme celui là.

En outre, Jean François Zygel annonce dans le magazine Closer paru aujourd'hui qu'il travaille sur un programme court, sans doute destiné à France 2, basé sur la musique classique ...

Citation :

France Musique, Jean-François Zygel n’a pas réussi à éluder l’excellente prestation du « concert impromptu »

Dimanche 16 avril 2008, 18h

En direct et en public du Grand Foyer du Théâtre du Châtelet à Paris
France Musique, “Le Cabaret classique” de Jean-François Zygel

Yves Charpentier, flûte et piccolo
Édith Rambaud, hautbois, hautbois d’amour et cor anglais
Jean-Christophe Murer, clarinette et clarinette basse
Éric Villevière, cor
François Viault, basson

Ce ne sont pas les musiciens du quintette à vent « Le Concert impromptu » qui ont ouvert l’émission de Jean-François Zygel, mais un enregistrement du « Boléro » de Maurice Ravel, jazzifié par Frank Zappa, afin de dé/montrer la volonté d’ « ouverture » et de « vulgarisation » de la musique classique, prônée par le maître les lieux. De « vulgarisation à vulgaire », il n’y a qu’un pas, et la pente est dangereuse.

À l’écoute du « Boléro » massacré par Zappa, il ne nous restait qu’une envie : fuir France Musique ! Mais les invités étaient là pour nous, en direct, et cela aurait été leur faire injure que de les abandonner aussitôt.
Le débit oratoire de Zygel n’est pas sans intérêt et non dépourvu d’humour, mais sa tendance à monopoliser la parole, occulte quelque peu les invités, qui doivent se contenter de quelques extraits musicaux qui auraient mérité quelques développements.

Ici, le tutoiement est de rigueur, et devant notre poste, privé d’images, la frustration va en s’amplifiant. Qui sont les interlocuteurs du meneur de jeu ? Quel est leur parcours ? Que font-ils parallèlement à leur formation ? Voilà des renseignements qui auraient excité notre imagination et sûrement dévoilé leur personnalité.

Mais Jean-François Zygel a d’autres préoccupations : faire croire, en nous soûlant de paroles, que passer de Bach à Ligetti, est, pour l’auditeur néophyte, un jeux d’enfants et montrer que lui aussi sait jouer du quintette à vent sur son clavier. C’est vrai, il a tous les talents, et c’est pourquoi il devrait, en toute humilité, accorder davantage de places à ses invités et les présenter correctement.

Cela dit, on ne peut que louer les interprétations des musiciens. Ils ont joué dans la truculence Zappa et son King-Kong, dans la virtuosité Ligeti et son ingéniosité, dans la sérénité Jean-Sébastien Bach et son « Art de le fugue ». Les autres œuvres interprétées, ont été, elles aussi, d’une grande qualité.

L’équilibre sonore de l’ensemble est remarquable et nous happe sans difficulté, grâce à une technique sans faille et une remarquable musicalité. « Le Concert impromptu » ne joue pas la facilité, et c’est avec beaucoup de conviction et de talent, qu’il réussit à faire passer et nous faire apprécier des œuvres peu jouées et pas toujours évidentes à écouter. On ne peut que les féliciter.

« Le Concert Impromptu », oui ! Jean-François Zygel, non ! ( )

par cerclefeu, le 8 avril 2008

Je n'ai pas vu l'émission donc je ne peux pas en juger mais 2 choses l'une:

1. Soit, dès qu'on à un peu de succès ( et/ou du talent ), on s'attire irrémédiablement des jalousies, etc...Ce qui conduit à ce style de pamphlet. On l'a vu avec d'autres avant, par exemple Hélène Grimaud, dont on reproche finalement plus la plastique que le jeu. J'ai vu des critiques femmes ( comme par hasard ) la descendre en flèche, c'était agressif, méchant, gratuit. Bref, au final, on a légitimement le droit de douter de ces "critiques" qui semblent écrit plus sous le coup de la jalousie qu'autre chose et qui au final, font perdre toute crédibilité aux propos.

2. Soit, comme tous ceux qui "montent", grâce à leur talent ou non, J-F Zygel a pris la grosse tête d'où les "comportements" énumérés dans cet article, ce qui le justifie ( plus ou moins ).

Enfin, une dernière option qui regroupe l'hypothèse 1 & 2.

Perso, je m'en fous un peu et je préfère qu'une émission comme "la boite à musique" existe et passe à la TV ( quelque soit l'animateur ) qu'un film débile, un énième débat politique qui n'amènera rien ou pire un match de foot...

Tout à fait, mais sur Hélène Grimaud, je ne suis pas trop d'accord :

https://www.dailymotion.com/video/x2kwvu_helene-grimaud-making-of-du-nouvel_music

Citation :

J'aime pas "la belle et ses loups !

Au dernières nouvelles, son disque, concerto l'Empereur de beethoven. Ca se passe de commentaires.

Ci-joint, le "making of" de son nouvel album. Eh oui, ça se joue Star'Ac.

Hélène Grimaud est l'incarnation de tout ce que je n'aime pas dans la musique. C'est brillant, ça tape à l'oreille, Son Beethoven est "romantique" à souhait, sirupeux, globuleux, emphatique et prétentieux ! Une publicité entièrement basée sur l'image (il suffit d'ouvrir la pochette du disque Beethoven pour rire). Du concert qui tient plus du "spectacle" qu'autre chose. Ah oui, les fans diront qu'elle vit sa musique. Je ris !

Une adepte de la philosophie de comptoir. Si vous avez du temps à perdre, je (ne) vous invite (pas) à lire ses lamentations dans son livre variations sauvages. Elle a récidivé dans Leçon Particulière.

Je vous laisse "savourer" cette video, si vous arrivez à la supporter plus de 5 secondes...

Peut-être est-elle excusable après tout ?

Eusebius.

" Leibowitz, le compositeur et son double.


De tout cela il ressort encore une fois que le jeune interprète d'aujourd'hui est réduit à une sorte d'esclavage nocif à son développement personnel ainsi qu'à celui de la vie musicale. Au public qui lui assure son pain quotidien, le jeune interprète ne peut que rendre un mauvais service puisqu'il lui livre, pour la plupart du temps, une marchandise sans qualité réelle, une sorte d'ersatz ou de mimique du grand art de l'interprétation dont il n'arrive, précisément, qu'à mimer les gestes alors qu'il n'est que rarement capable d'en faire vivre l'esprit.
Doit-on, peut-on condamner sans rémission ces jeunes gens souvent fort doués, presque toujours très compétents et même parfois extrèmenent intelligents et sensibles qui parcourent le monde en y perpétuant ces gestes vides, pour la plupart du temps, de sens musical réel ? Ce serait aller un peu vite en besogne car les contingences actuelles sont telles qu'il n'y a souvent pas d'autre issue que celle que nous avons décrite ici. C'est ainsi que le fait de gagner un concours et de pouvoir s'embarquer, aussitôt après, dans la voie de la carrière internationale, tout cela constitue, pour la plupart des jeunes virtuoses, une sorte de planche de salut (car nombreux sont ceux qui, n'ayant pas eu la même chance, vivotent plus ou moins misérablement), une promesse d'avenir telle qu'il faudrait être un saint, ou être supérieurement lucide pour avoir le courage de s'y refuser.
Existe-il des remèdes ? Je n'en sais vraiment rien et j'ignore aussi s'il est des gens que ce problème interesse et préoccupe de nos jours. tout ce que l'on peut dire, c'est que notre vie musicale n'est plus une vie pour la musique. "

La citation de Lebowitz lui colle parfaitement à la peau Trop de communication tue la communication, surtout quand le reste ne suit pas!

C'est bien dommage ! mais libre à nous de ne pas l'écouter et libre aux organisateurs plus intéressés par une salle pleine que par la qualité de l'interprète de continuer à l'inviter contre des sommes pharaoniques...

Bientôt, cela se transformer en un making-off d'André Rieux ?

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Pour recentrer, je crois que Zygel considère ses improvisations comme des oeuvres à part entière !

https://www.youtube.com/watch?v=VdkUhvM7Tps


Improvisation sur "Elise"

https://www.youtube.com/watch?v=tuUDu2yhIHU

Bof, pas génial. La pièce pour violoncelle, très bof, bof.

La variation sur "Elise" est déjà plus sympa mais rien d'extraordinaire non plus. C'est de l'impro "facile".