Pépites musicales

"La valse des fleurs" de Chostakovitch

Compositeur que j'ai découvert aujourd'hui et que j'aime beaucoup

J'ai toujours adoré cette mélodie et pas seulement la mélodie en elle-même mais aussi son habillage, plus exactement l'orchestration , le hautbois solo d'une grande mélancolie, à la fois d'une belle légèreté et d'une vraie profondeur. Une alchimie pour laquelle le compositeur transalpin fut un orfèvre.

Autre exemple de cette alchimie parfaitement réussie.

Approche plus classique et concertante du compositeur pour violoncelle solo et orchestre dans un style passionné et romantique.

Un petit dernier du même compositeur, version concert cette fois.

Pas pu résister à cet hymne pour l'abolition de l'esclavage. Version concert.

Voilà la parfaite conclusion, à la fois un hommage d'Ennio Morricone à Jean-Paul II et à J. S. BACH. Je le dédie à Jean.

superbe!!!merci Icare

Icare a écrit:

Voilà la parfaite conclusion, à la fois un hommage d'Ennio Morricone à Jean-Paul II et à J. S. BACH. Je le dédie à Jean.

C'est très beau mais très sombre aussi.
Merci pour cette découverte , je ne connais Morricone que par les anciens westerns qu'il a illustrés.

une pétite...(pour moi!!)...qui musicalement me parait aller tellement plus loin que le texte très "bucolique"....(un peu comme le célèbre "Ombra mai fu" du même Haendel)

C'est vraiment très beau, ce qui me donne envie de creuser ce compositeur que finalement je ne connais encore que trop peu.
Il y a une espèce de grâce, de révérence dans cette pièce, je ne sais pas comment expliquer cela.

L'accompagnement piano me semble superflu sur ce morceau

Ce n'est pas la version originale, mais voici la version intrafilmique:

Je sais pas pourquoi, ça me fait penser à "The man is love" de Gershwin

Version non originale par YO YO MA avec orchestre, cette fois, composé, orchestré et dirigé par Ennio Morricone.

Snoopy a écrit:

Je sais pas pourquoi, ça me fait penser à "The man is love" de Gershwin

Oui, dans l'esprit, il y a un peu de ça. Vu l'intrigue du film et surtout l'époque et le lieu où elle se déroule, l'influence de Gershwin est possible. Dans le film, le pianiste est censé improviser un morceau qui va être enregistré. Il commence par improviser sur un rythme un peu jazzy puis lorsqu'il aperçoit le visage de Mélanie Laurent, il joue cette mélodie que le visage de la jeune femme lui inspire. La mélodie est conditionnée par le visage qui apparaît, s'approche, disparaît puis réapparaît avant de disparaître définitivement derrière les hublots...lesquels suggèrent des portraits dès que le visage de Mélanie se fige. La mélodie s'intensifie lorsque le visage est proche de la vitre et se dilate dès qu'il s'éloigne.

: je suis fou de ces concertos pour orgue de Haendel!!!merci...et superbe interprétation exubérante!!

J'étais sûr que ça te plairait. Mais c'est vrai qu'ils sont chouettes ses concertos pour orgue

Mon coup de coeur de la semaine :





Je ne suis pas passée depuis un moment (beaucoup de choses à faire ...) mais je suis de retour encore plus motivée .... j'ai repris les cours de violon !

A bientôt !