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 George ONSLOW (1784-1853)

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Snoopy
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MessageSujet: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2006-08-28, 09:55

George Onslow est un compositeur français né à Clermont-Ferrand le 27 juillet 1784 et décédé à Clermont-Ferrand le 3 octobre 1853.

Entre 1798 et 1806, alors qu'il est exilé en Angleterre pendant la Révolution française, il étudie le piano auprès de plusieurs maîtres, notamment Johann Baptist Cramer et Jan Ladislav Dussek. À 22 ans, la découverte de l'ouverture de Stratonice , un opéra d'Etienne Nicolas Méhul, encourage Onslow dans sa vocation de compositeur. Il transmet alors des œuvres de musique de chambre à l'éditeur et ancien compositeur Ignace Joseph Pleyel. Il prend également des cours de composition auprès de l'un des maîtres de son temps, le Tchèque Antoine Reicha. Son style le rapproche de Felix Mendelssohn à qui on le compare en Allemagne. En 1837, il obtient l'estime d'Hector Berlioz pour son opéra le Duc de Guise.

Opéras:

-Les deux oncles (1806)
-L'Alcade de la Véga (1824)
-Le Colporteur (1827)
-Le Duc de Guise (1837)

Symphonies:

-Symphonie N°1, op. 41 (1830)
-Symphonie N°2, op. 42 (1831)
-Symphonie N°3, sans opus (1833)
-Symphonie N°4, op. 71 (1846)

Musique de chambre:

-36 quatuors
-34 quintettes
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2006-08-29, 09:47

Voici un compositeur très injustement oublié et qu'il faut absolument redécouvrir. C'est je crois le plus important compositeur français de musique de chambre du 19ème, à une époque où l'on ne s'intéressait (en France) qu'à l'opéra, ou presque.

Et curieusement, son opéra Le Colporteur qui avait eu un certain succès à l'époque (au point que plusieurs compositeurs ont effectué des variations sur ses airs), est aujourd'hui complètement mis à l'écart, même au disque.

A vos médiathèques ! Essayez ses quintettes à cordes, quatuors et ses quatre symphonies.
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Snoopy
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MessageSujet: George Onslow   George ONSLOW (1784-1853) Empty2006-11-08, 10:05

George Onslow est un compositeur français né à Clermont-Ferrand le 27 juillet 1784 et décédé dans cette même ville le 3 octobre 1853.

C'est une figure singulière de l'histoire de la musique : très largement et unanimement reconnu de son vivant, il est aujourd'hui pour ainsi dire oublié et son œuvre, essentiellement consacrée à la musique de chambre pour cordes, est quasi absente du répertoire depuis plus d'un siècle en édition moderne.

George Onslow est issu d'une ancienne famille de l'aristocratie anglaise, dont plusieurs membres jouèrent un rôle important dans la vie politique britannique (trois d'entre eux furent speaker à la Chambre des Communes).

Son père, Édouard, est venu s'installer à Clermont-Ferrand en 1781 à la suite d'un scandale familial qui l'avait contraint à quitter son sol natal. Rapidement intégrés dans la notabilité clermontoise, les Onslow mènent une vie paisible jusqu'en 1789, date à laquelle la Révolution vient compromettre leur sécurité. Emprisonné en 1793 en raison de sa nationalité, et en dépit de sa connivence avec Couthon dont il était frère en maçonnerie, il est poussé à l'exil en 1797. Son fils aîné, George, l'accompagne dans ce qui va devenir pour lui un voyage d'étude.
Entre 1798 et 1806, il étudie le piano auprès de plusieurs maîtres, notamment Johann Baptist Cramer, Jan Ladislav Dussek et Nicolas-Joseph Hüllmandel qui enseignent à Londres ; des séjours en Allemagne et en Autriche lui permettent de parfaire sa formation d'instrumentiste. Il ne se destine pas encore à la carrière artistique, et encore moins à celle de compositeur : l'étude du piano n'est qu'un des aspects de son éducation, au même titre que les mathématiques, l'Histoire, l'escrime, l'équitation, le dessin (deux de ses frères se consacrèrent à la peinture), etc. Du point de vue de ses parents, il s'agit davantage d'un talent de salon que d'une compétence professionnelle : du reste, il ne se produisit jamais en récital en tant que pianiste, et ce n'est qu'à Clermont qu'il accepta de temps à autre de faire applaudir ses dons d'improvisateur.

Il pratique également le violoncelle en amateur afin de compléter un quatuor d'amis avec qui il pratiquait le répertoire des maîtres (Mozart, Haydn, le jeune Beethoven). C'est en entendant l'ouverture de Stratonice, un opéra de Méhul, qu'il découvre sa vocation de compositeur : il est alors âgé de 22 ans. Son premier essai, un recueil de trois quintettes, remporte un tel succès que ses amis, ses interprètes et Camille Pleyel, son éditeur, l'encouragent à persévérer. Quatuors et trios suivent aussitôt, mais il mesure rapidement ses lacunes et décide de compléter ses connaissances théoriques en se remettant aux bons soins d'Anton Reicha qui fut son seul et unique maître de composition. Son influence devait se révéler décisive, tant d'un point de vue esthétique que stylistique.

Il entame alors une brillante carrière qui fait de lui rapidement un compositeur incontournable de la vie musicale de la première moitié du XIXe siècle: les plus grands interprètes l'inscrivent à leur répertoire et son nom côtoie ceux de Mozart, Haydn et Beethoven dont on estime qu'il est le digne et unique successeur. Surnommé le Beethoven français, il est le seul, du moins en France, à se consacrer à la musique de chambre : avec 36 quatuors et 34 quintettes, il laisse une production exceptionnelle qui alimente durant plus de cinq décennies les principales sociétés de concert européennes, tout en faisant les beaux jours des éditeurs jusqu'aux États-Unis (Schirmer).

C'est surtout en Allemagne qu'il rencontre la plus grande faveur : inscrit au panthéon des gloires germaniques, il jouit d'une faveur exceptionnelle auprès des musiciens et du public, dont Mendelssohn et Schumann furent les témoins vivants. Non content de réunir les suffrages de ses contemporains, et de bénéficier d'une diffusion éditoriale peu commune, il jouit également d'une large reconnaissance institutionnelle : membre de la plupart des sociétés philharmoniques d'Europe, il fut élu en 1842 à l'Académie des Beaux-Arts, devant Berlioz notamment.

À une époque où, à Paris notamment, on cultivait surtout le goût du vaudeville et de l'opéra-comique, il incarne la continuité de la grande école classique et sert d'alibi aux tenants d'une décadence de la musique dans un contexte marqué par la "privatisation" de la vie musicale. Les soirées de quatuor de Baillot à Paris, de Lindley à Londres, et de Zimmermann à Berlin étaient considérées comme les derniers refuges de la "véritable musique" et il devint le héraut des défenseurs de la tradition et de l'excellence instrumentales contre les dérives que représentaient, à leurs yeux, les romances, les quadrilles et autres musiques de divertissement. Il n'en compose pas moins trois opéras, poussé à la fois par sa curiosité et le souci d'asseoir sa renommée (L'Alcade de la Véga, 1824, Le Colporteur, 1827, et Le Duc de Guise, 1837) : en dépit de leur programmation à la salle Favart, les témoins de leur création sont unanimes à considérer qu'ils auraient mérité d'être montés à l'Opéra. Ses partitions lyriques étaient d'une densité et d'une complexité inhabituelles pour le public de l'époque et, en l'absence de livret de grande qualité (critère rédhibitoire à l'époque), ils n'obtinrent qu'un succès d'estime, en dépit du fait qu'ils furent salués par la critique, et en particulier Berlioz qui défendit Le Duc de Guise avec enthousiasme.

Dans sa musique instrumentale et orchestrale, il préfigure le romantisme par la richesse de son harmonie, la prépondérance des chromatismes, le tempérament tempétueux et tourmenté de son écriture et la ferveur de ses thèmes lyriques : la difficulté d'exécution de ses quatuors et quintettes, déjà connue de son temps, constitue un des motifs de leur abandon par les interprètes.

Tout en ayant eu une brillante carrière internationale, et en dépit des sollicitations toujours plus nombreuses, il reste fidèle à l'Auvergne puisque, né à Clermont-Ferrand, il est également décédé dans cette même ville, ce qui le distingue des artistes "montés à Paris". Très attaché à la capitale auvergnate, apprécié pour sa générosité (concerts de bienfaisance, participation aux bonnes œuvres, etc.), et son caractère courtois et affable, il fait rejaillir sur Clermont tout le prestige de son nom, sans que sa musique n'y soit jamais vraiment appréciée et comprise. Il fut un châtelain respecté et entouré de bienveillance : véritable gentleman farmer, il met autant de talent à gérer ses propriétés qu'à négocier ses contrats avec Breitkopf & Härtel ou Maurice Schlesinger.

Tout en ayant une demeure à la campagne (château de Chalendrat à Mirefleurs puis de Bellerive à Pérignat-sur-Allier), il conserva toujours ses appartements à Clermont : place Michel de l'Hospital tout d'abord (qui s'appelait encore place du Marché aux bois au début du XIXe siècle, puis rue Pascal, au numéro 2, où il décède. Il repose au cimetière des Carmes, à côté de quelques-unes des grandes familles auvergnates et on peut y lire sur une plaque la phrase d'Hector Berlioz(1829) :Depuis la mort de Beethoven, il tient le sceptre de la musique instrumentale.
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2006-11-08, 10:36

Heureusement, on redécouvre Onslow depuis quelques temps. Il a eu le tort de composer une musique principalement instrumentale à une époque où la France ne s'intéressait qu'à l'opéra. Encore qu'il en ait composé trois, dont Le Colporteur, mais qui sont aussi tombés dans l'oubli.

Je possède ses quatre symphonies, qu'il est bon de connaître, je crois.
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2008-02-02, 12:15

Anciennes émissions sur la RSR à écouter en ligne :

a été diffusé sur la Radio Suisse Romande du 1er au 5 mars 2004 (espace2)

http://george.onslow.free.fr/accueil.html

(Vous cliquez sur la flèche "radio" puis sur les petites notes qui défilent)

Emission divisée en 5 parties :

1. Origines, jeunesse d'Onslow, sa formation musicale, premières oeuvres.

2. Années parisiennes, reconnaissance et dénigrement.
La France et la musique de chambre.

3. L'aristocrate auvergnat. Les succès en Allemagne et en Angleterre.
Oeuvres lyriques, symphoniques, pianistiques.

4. L'interprétation d'Onslow.
Petite histoire des quatuors à cordes français.

5. Importance d'Onslow et sa re(con)naissance aujourd'hui.

* * *

Autres extraits :
String Quintet op. 34 A minor / a-moll
Allegro

par le Streichquintett

Coco
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2008-02-02, 18:52

Cette Coco, quand même, elles sait nous trouver des choses intéressantes Very Happy Elles ont l'air très bien, ces émissions. Il faut évidemment prendre le temps d'écouter, ça c'est une paire de manches, mais je vais essayer.

Justement, hier au cours d'un voyage à Paris, j'ai fait évidemment le tour du quartien latin : La Chaumière à Musique, et Gibert Joseph.

Je me suis trouvé 4 CD, parmi lesquels un de Onslow, celui de chez Chardin qui comporte deux oeuvres merveilleuses : le quintette à cordes n° 32 en ut mineur op 78 n° 1, et le quatuor à cordes n° 4 en ut mineur op 8 n° 1.

Donc une des dernières oeuvres et une des premières. Dès ses oeuvres de jeunesse, Onlow avait une parfaite maîtrise des cordes.

Un compositeur à découvrir absolument : je me répète, mais il en vaut la peine Wink
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2008-02-17, 09:30

Catalogue de ses œuvres

Opéras

Titre Librettistes 1re représentation Composition Commentaires

Les deux Oncles (Opéra) 1806 un exemplaire daté du 6/12/1806
L'Alcade de la Vega (Drame lyrique) Bujec Opéra, 10 août 1824 1822-1824
Le Colporteur ou l'Enfant du bûcheron (Opéra-comique) Planard Opéra-Comique, 22 novembre 1827 1826
Guise ou les États de Blois (Drame lyrique) Planard, Saint-Georges Opéra-Comique, 8 septembre 1837 1835-1836
Caïn maudit ou la mort d'Abel, scène dramatique, 1845


Quatuors à cordes

N° 1 à 3 Si bémol Majeur; Ré Majeur, La mineur, op. 4 1810
N° 4 à 6 Do mineur, Fa Majeur, La Majeur, op. 8 1815
N° 7 à 9 Sol mineur, Do Majeur, Fa mineur, op. 9 1815
N° 10 à 12 Sol Majeur, Ré mineur, Mi bémol Majeur, op. 10 1815
N° 13 à 15 Si bémol Majeur, Mi mineur, Mi bémol Majeur, op. 21 1823
N° 16 à 18 Mi mineur, MI bémol Majeur, Ré Majeur, op. 36 1828, arrangement des trois trios de l'opus 14
N° 19 à 21 Fa dièse mineur, Fa Majeur, Sol Majeur, op. 46 1833
N° 22 Do Majeur, op. 47 1833
N° 23 La Majeur, op. 48 1834
N° 24 Mi mineur, op. 49 1834
N° 25 Si bémol Majeur, op. 50 1834
N° 26 Do Majeur, op. 52 1834
N° 27 Ré mineur, op. 53 1834
N° 28 Mi bémol Majeur, op. 54 1835
N° 29 Ré mineur, op. 55 1835
N° 30 Do mineur, op. 56 1835
N° 31 Si bémol Majeur, op. 62 1841
N° 32 Ré mineur, op. 63 1841
N° 33 Do mineur, op. 64 1841
N° 34 Sol mineur, op. 65 1842
N° 35 Ré Majeur, op. 66 1844
N° 36 La Majeur, op. 69 1845
Duc de Guise, op. 60 1838 arrangé en deux suites


Quintettes

N° 1 à 3 Mi mineur, Mi bémol Majeur, Ré mineur, op. 1 1806 à deux altos (celui en Mi b à deux violoncelles)
N° 4 Sol mineur, op. 17 1821
N° 5 Ré Majeur, op. 18 1821
N° 6 Mi mineur, op. 19 1821
N° 7 Mi bémol Majeur, op. 23 1821
N° 8 Ré mineur, op. 24 1824
N° 9 Do Majeur, op. 25 1824
N° 10 Fa mineur, op. 32 1828 avec contrebasse
N° 11 Si bémol Majeur, op. 33 1824 avec contrebasse
N° 12 La mineur, op. 34 1824 avec contrebasse
N° 1 3 Sol Majeur, op. 35 1824 avec contrebasse
N° 1 4 Fa Majeur, op. 37 1829 à deux violoncelles
N° 15 Do mineur, op. 38 1829 dit "La Balle" à deux violoncelles
N° 16 Mi Majeur, op. 39 1829 à deux violoncelles
N° 17 Si mineur, op. 40 1830 à deux violoncelles
N° 18 Mi bémol Majeur, op. 43 1832 à deux violoncelles
N° 19 Do Majeur, op. 44 1832 à deux violoncelles
N° 20 Ré mineur, op. 45 1832 à deux violoncelles
N° 21 Sol mineur, op. 51 1834 à deux violoncelles
N° 22 Mi bémol Majeur, op. 57 1835 à deux violoncelles
N° 23 La mineur, op. 58 1836 à deux violoncelles
N° 24 Ré mineur, op. 59 1837 à deux violoncelles
N° 25 Fa mineur, op. 61 1839 à deux violoncelles
N° 26 Do mineur, op. 67 1844 violoncelle et contrebasse
N° 27 Ré Majeur, op. 68 1845 à deux violoncelles
N° 28 Sol mineur, op. 72 1847 à deux violoncelles
N° 29 Mi bémol Majeur, op. 73 1847 à deux violoncelles
N° 30 Mi mineur, op. 74 1848 à deux violoncelles
N° 31 La Majeur, op. 75 1848 à deux violoncelles
N° 32 Ré mineur, op. 78 1848 à deux altos
N° 33 Do mineur, op. 80 1851 à deux altos
N° 34 Mi Majeur, op. 82 1851 à deux altos


Sonates pour violon et piano

N° 1 à 3 Ré Majeur, Mi bémol Majeur, Fa mineur, op. 11 1816
N° 4 Fa Majeur, op. 15 1818
N° 5 Mi Majeur, op. 29 1824
N° 6 Sol mineur, op. 31 1825


Sonates pour violoncelle et piano

N° 1 à 3 Fa Majeur, Do mineur, La Majeur, op. 16 partie violoncelle prévue pour alto, 1820


Trios pour violon, violoncelle et piano

N° 1 à 3 La Majeur, Do Majeur, Sol mineur, op. 3 1809
N° 4 à 6 Mi mineur, Mi bémol Majeur, Ré Majeur, op. 14 1818
N° 7 Ré mineur, op. 20 1822
N° 8 Do mineur, op. 26 1823
N° 9 Sol Majeur, op. 27 1823
N° 10 Fa mineur, op. 83 1851-1852


Œuvre pour hautbois et piano

Andantino sans opus 1843 inédit (album de G. Vogt)


Quintettes pour violon, alto, violoncelle, contrebasse et piano

N° 1 Si mineur, op. 70 1846 partie second violoncelle prévue (à la place de la contrebasse)
N° 2 Sol Majeur, op. 76 1847 arrangement de la symphonie n° 4
N° 3 Si bémol Majeur, op. 79 bis 1851 partie second violoncelle prévue (à la place de la contrebasse)


Quintette à vent (flûte, hautbois, clarinette, cor et basson)

Fa Majeur, op. 81 1851


Sextuors pour flûte, clarinette, cor, basson, contrebasse et piano

N° 1 Mi bémol Majeur, op. 30 1824
N° 2 La Majeur, op. 77 bis 1848 arrangement de Nonette


Septuor pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson, contrebasse et piano

Si bémol Majeur, op. 79 1849


Nonette pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson, violon, alto, violoncelle et contrebasse

La mineur, op. 77 1848


Œuvres pour piano

Sonate Do mineur, op. 2 1806
Airs écossais varié Mi bémol Majeur, op. 5 1810
Toccata Do Majeur, op. 6 1810
Duo (Sonate) n° 1 pour piano à quatre mains Mi mineur, op. 7 1816
Variations sur l'air "Charmante Gabrielle" La mineur, op. 12 1816
Introduction, variations et finale Sol mineur, op. 13 1816 sur l'air "Aussitôt que la Lumière"
Duo (Sonate) n° 2 pour piano à quatre mains Fa mineur, op. 22 1823
Thème anglais varié La Majeur, op. 28 1824
Andante pour piano, sans opus, 1824 album de M. Szymanouwska
Allegro agitato pour piano Sol mineur, sans opus, 1844, inédit (album de F. Mendelssohn)
Allegro agitato pour piano Si bémol mineur, sans opus, sans date inédit
Allegro moderato Fa dièse mineur, sans opus, sans date, inédit
Andantino con moto pour piano Mi mineur, sans opus, 1844 inédit (album de J.P. Dantan)
Mijmering, sans opus, 1844 Edition particulière hollandaise
Six pièces Mi bémol Majeur, La Majeur, La bémol Majeur, Si bémol Majeur, Mi Majeur, Mi Majeur, sans opus, sans date, Flaxland, ed 1864
Fantaisie composée sur l'Ange gardien Si bémol Majeur, sans opus, 1849 romance d'Adolphe Favre (1847)
Sonate n°2, sans opus, sans date, inédite
Pièce en trio, sans opus, 1841, inédite

Symphonies

N° 1 La Majeur, op. 41 1830
N° 2 Ré mineur, op. 42 1831
N° 3 Fa mineur, sans opus, 1833 arrangement du quintette opus 32
N° 4 Sol Majeur, op.71 1846


Œuvres vocales

La Garde du corps, (romance), 1815
La jeune Grecque, (romance avec choeurs), 1826 Paroles de Jean-Joseph Vaissière
Le premier Baron chrétien, (nocturne), 1826 Paroles de Charles Hubert Millevoye
Ave Maria à quatre voix, 1838 Paroles de J. J. Vaissière
Caïn ou la mort d'Abel pour basse et orchestre 1846 grande scène dramatique - paroles de Saint-Hilaire
Cantique à la Sainte-Vierge, sans date, partition au château d'Aulteribe
Le Printemps, nocturne vocal, 1826
Accompagnement d'une romance, Souvenirs d'Auvergne 1841
Les Regrets; romance, sans opus, 1839, Mme Guérin
Le Dante dans le Paradis, ballade vocale, sans opus, 1835 inédit (album de Rossini)


Dernière édition par joachim le 2018-06-23, 11:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-03-18, 09:16

Decouverte extraordinaire : l'intégrale des trios pour piano et cordes en cours chez CPO.
Toute sortie de Cd de ce compositeur ne m'a jamais déçu.
son surnomde Beethoven français n'est pas usurpé !!! I love you
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Jean

Jean

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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-03-18, 10:21

je partage ton enthousiasme!! surtout pour la musique de chambre!
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joachim
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-03-18, 19:42

Je n'ai entendu que les quatre derniers, j'ai beaucoup aimé également.

Mais à mon avis, ses chefs d'oeuvres sont d'abord dans les quintettes à cordes. Ses quatre symphonies sont très intéressantes aussi.

Si tu ne connais pas, feleo, comme tu apprécies particulièrement le piano, je te conseille les sonates à quatre mains op 7 et 22. La romance de l'op 7, profondément romantique, devait particulièrement plaire au compositeur car on la retrouve dans le quintette op 78 n°1 et dans la quatrième symphonie.
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-03-19, 10:27

Tu parles que je connais ......Ca fait plus de 20 ans que je repère ce musicien.
Il y a également un Cd de sa musique pour piano 2 mains par Martin.
En ce qui concerne la période 1750-1850 , je pense être incollable.....Mais par contre il est vrai
que pour les autres périodes je ne m'y interesse que sporadiquement  ,contrairement à toi et bien
d'autres sur ce forum qui ont des connaissances plus étendues que moi nottament sur le 20° siècle,
Et avant le 18° .
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-05-06, 20:41

Les deux dernières oeuvres de Onslow sont absolument magnifiques : le trio opus 83 en fa mineur et le quintette opus 82 en mi majeur.

Dans les mouvements lents en particulier, Onslow fait des prodiges.
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-05-28, 10:49

http://www.jpc.de/jpcng/classic/detail/-/art/Georges-Onslow-Guise-ou-les-Etats-de-Blois-f%FCr-Streichquartett/hnum/8167036

Pour ceux qui aiment Onslow ,c'est vraiment une curiosité : C'est la transcription par Onslow
lui-même de son propre opéra ,pour quatuor à cordes .Il s'agit en fait de l'OP 60 qui manquait
au catalogue et qui a été redécouvert récemment.
L'ouverture semble perdue mais le reste forme une belle suite pour quatuor à cordes digne de ses
meilleures oeuvres : je viens de recevoir.
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Jean

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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-05-28, 10:55

merci ...çà semble en effet superbe!!
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joachim
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2009-05-31, 13:05

Je viens de le recevoir ! C'est en effet une curiosité. On n'y retrouve évidemment pas les mouvements habituels de quatuors à cordes. Il y a en tout 10 mouvements réunis en 2 Suites. Le premier, relatif au premier morceau du 1er acte, (intitulé Introduction), je me demande si ce n'est pas l'ouverture ? un andante suivi du tempo di marcia, ce serait possible, tu ne crois pas ?

Habituellement on trouve des transcriptions d'opéras pour ensemble à vents, je crois que des transcriptions pour cordes doivent être très rares, en tout cas je n'en vois pas d'autres.
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joachim
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2010-04-29, 12:13

Encore un CD à conseiller, un Brillant Classics, donc à petit prix (5 € 59 sur le marketplace d'Amazon)

http://www.amazon.fr/Hummel-Dussek-Onslow-Piano-Quintets/dp/B000U1ZJOQ/ref=sr_1_fkmr1_2?ie=UTF8&qid=1272535064&sr=8-2-fkmr1

Outre Hummel (quintette opus 87) et Dussek (quintette opus 41), ce CD comporte le second des deux quintettes avec piano d'Onslow, celui en sol majeur opus 76, où l'on retrouve comme troisième mouvement la romanza déjà utilisée dans la sonate à quatre mains op 7 et dans la 4ème symphonie op 71 (romance de jeunesse qui décidément devait plaire au compositeur) ainsi que le finale "coup de vent" qui réellement est inspirée par une levée de coup de vent !
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2010-04-29, 13:19

Je partage ton enthousiasme pour ce cd : trois oeuvres superbes de trois compositeurs... "secondaires"?...pas tant que çà!
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2011-06-11, 17:55

Je me régale avec les volumes 3 et 4 chez CPO des trios violon, violoncelle, piano ...difficile d'en préférer l'un ou l'autre, comme dans les deux premiers volumes!!

Onslow est vraiment un grand dans la musique de chambre!
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2011-08-30, 00:56

joachim a écrit:
C'est je crois le plus important compositeur français de musique de chambre du 19ème, à une époque où l'on ne s'intéressait (en France) qu'à l'opéra, ou presque.

Et curieusement, son opéra Le Colporteur qui avait eu un certain succès à l'époque (au point que plusieurs compositeurs ont effectué des variations sur ses airs), est aujourd'hui complètement mis à l'écart, même au disque.

Ce qui me semble prouver que même s'il avait composé plus d'opéras ou de musiques de scène (à moins d'y intégrer une marche nuptiale ? Wink ), sa renommée posthume n'aurait pas changé d'un millimètre : l'étiquette de compositeur de musique de chambre (donc forcément trop sérieux) lui avait déjà été attribuée de son temps, et avait eu le malheur d'être écrite avec de l'encre (pas si) sympathique... Tout s'est rapidement effacé avec le temps.

Je vois 4 facteurs déterminants pour cette injustice (je remercie Camille Saint-Saëns de me servir de comparateur, en ce sens que j'apprécie tout autant leur oeuvre... que j'adore.) :

1) Le berceau de la musique de chambre est en Germanie (Allemagne et Autriche), pas en France. L'effet "Jean-Jacques Rousseau" est hélas tenace : en France, le compositeur a pour mission de créer de la musique "distrayante" pour oublier les précédentes, pas de la musique "sérieuse" qui marque son histoire comme des quatuors à cordes. Par contre-coup, je pense à Saint-Saëns s'est peut-être interdit de publier son Carnaval des Animaux, de crainte que toute son oeuvre en soit déconsidérée.

2) Son origine anglaise. Issu d'une famille chassée de ses terres par le déshonneur, en exil loin de tout mais chez "l'ennemi", aristocrate en pleine Révolution française : bonne pioche pour la famille "pas-si-simple, il va falloir composer". Ptdr
Quant au bouche-à-oreilles, reconnaissons que son nom (prononcer "onzlo"... avec l'accent auvergnat Wink ) a moins d'effet poétique pour les français que celui de "Saint-Saëns".

3) Son point d'attache loin de tout. Je pense que la mésaventure de son père ainsi que les difficultés subies à la Révolution l'ont marqué au point de préférer à tout prix la stabilité d'un terroir auvergnat dans lequel il veut s'enraciner, à la vie trépidante et superficielle de Paris, passage pourtant obligé pour la scène... et la renommée.

4) Il n'était pas virtuose, à l'inverse de Saint-Saëns, et sa vie était bien trop sage (Saint-Saëns n'était vraiment pas un saint. No ), donc ce n'est forcément pas un créatif. Donc tout ce qu'il va composer devra être considéré sous l'aspect d'une musique sérieuse, dépourvue de passion. Triste logique sans valeur, appliquée par quelques "spécialistes" de l'époque.

Reste que son oeuvre est un monument. Sa musique de chambre me semble même d'une richesse comparable à celle de Schubert, c'est tout dire. D'ailleurs, le mouvement lent de son fameux quintette à cordes opus 78 (merci de l'avoir si bien cité Mains ) me fait penser à celui de Schubert à 2 violoncelles (les violoncelles, justement). Au point de me demander si Schubert l'avait entendu avant de composer le sien...

PS : Je n'y suis pas allé avec le dos de la cuillère dans mon argumentation, mais je suis paré pour vos commentaires George ONSLOW (1784-1853) 131822 Wink
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2013-02-02, 13:30

Profitant des soldes:

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La transcription, par Onslow lui-même, pour quatuor à cordes , de son opéra (dit "comique" George ONSLOW (1784-1853) 10321 !!) "Le duc de Guise!....C'est très réussi et çà fait un quatuor à corde pas ordinaire , d'environ 1 heure, avec beaucoup d'ambiance variée...
Cd dont parlait Féléo (qui nous manque beaucoup!!) un peu plus haut

NB J'ai dû savoir le pourquoi d'appellation "opéra-comique"...dont bien peu me semble t'il , et certainement pas celui-ci, engendrent le rire!!?....mais j'ai oublié le bien fondé de cette "expression"!

C'est un peu comme le "Paris-Dakar" qui depuis peut être 10 ans se passe en amérique du sud George ONSLOW (1784-1853) 231625


Dernière édition par Jean le 2013-02-02, 13:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2013-02-02, 13:34

Ca donne envie en tout cas Very Happy
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2013-02-02, 13:41

Snoopy a écrit:
Ca donne envie en tout cas Very Happy

j'espère que ton envie ne trainera pas trop dans sacs postaux Wink
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Snoopy
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2013-02-02, 13:50

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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2013-02-02, 13:58

Jean a écrit:
NB J'ai dû savoir le pourquoi d'appellation "opéra-comique"...dont bien peu me semble t'il , et certainement pas celui-ci, engendrent le rire!!?....mais j'ai oublié le bien fondé de cette "expression"!

Opéra-comique ne signifie pas que l'œuvre sera comique et que le dénouement sera heureux mais il correspond à des œuvres où les scènes chantées alternent avec des dialogues parlés (avec des apartés au public). L’opéra-comique aborde des sujets de la vie quotidienne et n’hésite pas à faire référence à des sujets d’actualité.

source : Wikipedia
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MessageSujet: Re: George ONSLOW (1784-1853)   George ONSLOW (1784-1853) Empty2013-02-02, 14:13

Bel Canto a écrit:
Jean a écrit:
NB J'ai dû savoir le pourquoi d'appellation "opéra-comique"...dont bien peu me semble t'il , et certainement pas celui-ci, engendrent le rire!!?....mais j'ai oublié le bien fondé de cette "expression"!

Opéra-comique ne signifie pas que l'œuvre sera comique et que le dénouement sera heureux mais il correspond à des œuvres où les scènes chantées alternent avec des dialogues parlés (avec des apartés au public). L’opéra-comique aborde des sujets de la vie quotidienne et n’hésite pas à faire référence à des sujets d’actualité.

source : Wikipedia

Merci Bel Canto de palier ..à ma flemme d'aller voir sur wikipédia Wink

En fait pour les "mélomanes" c'est d'entendre des dialogues parlés dans un opéra qui est comique...et pour la grosse majorité des gens c'est l'inverse: que le texte soit majoritairement chanté, plutôt que parlé Hehe
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