Carlo Colombara

Carlo Colombara, né à Bologne, a étudié avec Paride Venturi. En 1986 il gagne le Concours “Viotti "de Vercelli et en 1987 Concours As.Li.Co de Milan, et commence rapidement à chanter dans les plus importants théatres italiens. Après ses débuts au Théatre de l'Oeuvre de Rome dans le rôle de Silva (Ernani), au Théatre Communal de Bologne dans celui de Seneca (L’Incoronazione de Poppea) et aux Fenice de Venice comme Creonte dans l'Oedipus Rex de Stravinskij, en 1989 il débute à l'Échelle de Milan, en interprétant le rôle de Procida (les Vespri siciliens ) sous la direction de Riccardo Muette. Il en tourne sur la scène scaligero en 1995 comme Arcibaldo les Amore des trois rois de Montemezzi ; en 1996 comme Zaccaria (Nabucco) et en 1997 comme Banco dans le Macbeth de Verts qui inaugure ces stagione. Ses brillants debuts de carrière sont suivis des apparitons dans les plus grands théatres lyriques du monde (Staatsoper de Vienna, Bayerische Staatsoper de Monaco, Covent Garden de Londres, Opernhaus de Zurigo, Metropolitan de Newyork, Lyric Actionne de Chicago, Théatre Colón de Buenos Aires, Bol’šoj de Mouche) outre tournées à Japon, Chine, Angleterre, Allemagne. Parmi ses grands rôles on trouve Don Carlo à Zurigo, Simon Boccanegra à Paris, à Aida au Mai Musical Fiorentino et au Metropolitan de New York, d'Ernani à Madrid, de Règle au Chicago Lyric Il actionne, le Coiffeur de Séville au New National Theatre de Tokyo, les Bohème (Collines) au New Israeli Actionne de Tel Aviv et all’Arène de Vérone, le Requiem de Verts chanté plusieurs fois en divergés théatres italiens et européens et le Turandot (Timur) dirigée de Zubin Mehta dans la Ville Prohibée de Pékin en 1997, spectaculaire production open-air transmise en mondovisione et publiée en CD et DVD. Au cours des dernières saisons il a été engagé dans Lucia de Lammermoor (Raimondo) al Théatre Lyrique de Cagliari, de Macbeth (Banco) al Théatre Real de Madrid, de la Gioconda (Alvise Badoero) al Grandes Teatre de Liceu de Barcelone et all’Arène de Vérone, Règle à Tokyo. En 2006 il a été au Concert Hall d'Atene pour Don Carlo, all’Oeuvre de la Coruña pour Règle; all’Opernhaus de Zurigo pour la Favorite, Simon Boccanegra, Nabucco et all’Opéra de Lyon pour la Sonnambula. All’j'entame de 2007 a chanté Don Carlo all’Opernhaus de Zurigo et le Stabat Mater de Rossini à Lugano. Dans le cours de sa carrière il a reçu divergés des reconnaissances, entre lesquelles le Prix Lauri Renards (1994), le Prix Orazio Tosi (1995), le Prix Chapeaux (1999) et l'Écheveau d'Or (2002). Dans les saisons 2003 et 2004 il a été Ramfis dans Aida aux Arènes de Vérone. Au cours de la saison des arènes 2007 il interprètera le rôle de Zaccaria dans Nabucco.

source : http://www.arena.it/ITA/front/documenti/bio/colombara.html (traduit de l'italien avec les traducteurs de langue de yahoo)

Don Carlo : https://www.youtube.com/watch?v=sru6Osn9Oz4

Nabucco : https://www.youtube.com/watch?v=R3iCnxGzPqM&feature=related

Carmen : https://www.youtube.com/watch?v=o_gxvsJpvNc&feature=related

Il barbiere di Siviglia : https://www.youtube.com/watch?v=mPkdKn4kaYk&feature=related

C'est un très bon baryton verdien ... ici, il manque parfois de graves mais son investisment scénique est remarquable.

je ne connaissais pas ..très belle voix!

Jean a écrit:

je ne connaissais pas ..très belle voix!

Tu vas faire de la peine à Calbo là ...

aïe...je ne savais pas qu'elle faisait des infidélité à Pertusi

Mais ce n'est pas parce que j'apprécie de nouvelles voix et de nouveaux répertoires que j'oublie les artistes que j'ai été amenée à rencontrer .

J'ai beaucoup de respect et d'affection pour Pertusi mais cela ne m'empêche pas d'aller voir ailleurs

Encore une femme infidèle!

Je suis toujours fidèle à mes amis Môssieur . Et ce n'est pas parce que je vais vers de nouveaux répertoires que je néglige mes premières amours

Après deux tentatives infructueuses, dont une en février dernier ou j'ai attendu deux heures sous la flotte, j'ai enfin pu rencontrer Colombara. C'est un homme d'une gentillesse sans égale. Autant mon ami Mimi a pu être réservé, voire timide, la première fois que je l'ai vu autant Colombara est chaleureux et assez bavard que j'ai pu tutoyer sans aucun problème dès la première rencontre.

Mais comment, diable, fais tu pour réussir à les approcher, au point de pouvoir leur parler. Je suppose que comme les vedettes du cinéma ou de la chanson, ils ont des gardes du corps pour les protéger.

Mais il suffit de les attendre à la sortie des artistes après chaque concert. Et détrompe toi, ils sortent sans gardes du corps en toute simplicité et en plus il est très facile de leur parler.

Concernant Colombara nous avions déjà échangé sur facebook; et comme j'ai une photo sur mon profil il lui était facile de m'identifier ....

joachim a écrit:

Mais comment, diable, fais tu pour réussir à les approcher, au point de pouvoir leur parler. Je suppose que comme les vedettes du cinéma ou de la chanson, ils ont des gardes du corps pour les protéger.

Des gardes du corps? J'ai déjà approché certains compositeurs et musiciens très célèbres, ils n'ont jamais été entourés de gardes du corps et se sont souvent montrés très accessibles. Des pop-stars comme Justin Bieber ou Lady Gaga sont effectivement entourés de gardes du corps parce que le danger est souvent plus important.

Icare a écrit:

joachim a écrit:

Mais comment, diable, fais tu pour réussir à les approcher, au point de pouvoir leur parler. Je suppose que comme les vedettes du cinéma ou de la chanson, ils ont des gardes du corps pour les protéger.

Des gardes du corps? J'ai déjà approché certains compositeurs et musiciens très célèbres, ils n'ont jamais été entourés de gardes du corps et se sont souvent montrés très accessibles. Des pop-stars comme Justin Bieber ou Lady Gaga sont effectivement entourés de gardes du corps parce que le danger est souvent plus important.

Oui c'est vrai pour des pop-stars mais pas pour des Colombara ou des Cavana

En général, les amateurs d'opéra sont assez pacifiques ...

Bel Canto a écrit:

En général, les amateurs d'opéra sont assez pacifiques ...

Nettement plus que les amateurs de pop ou de rap

calbo a écrit:

Bel Canto a écrit:

En général, les amateurs d'opéra sont assez pacifiques ...

Nettement plus que les amateurs de pop ou de rap

Je vois mal les amateurs d'opéras casser les fauteuils de l'opéra comme si c'était Johnny Halliday

Mais quand même, vous pensez que vous auriez pu aborder la Callas ou même Pavarotti aussi facilement ?

Oui bien sur . En ce qui concerne Callas ça flattait son ego (déjà considérable) quant à Pavarotti, je crois qu'il était aussi accessible que ses collègues.

J'ai eu assez peu de problèmes en fait et à part Herreweghe qui est aussi aimable qu'une pierre tombale et le baryton russe Dmitri H qui part sans s'arrêter j'ai toujours eu la chance de pouvoir discuter même quelques secondes avec les chanteurs, les instrumentistes et les chefs que j'allais saluer.

Personnellement, je n'ai jamais essayé de rencontrer les interprètes parce que cela ne m'intéresse pas mais d'en avoir cotoyé fortuitement l'un ou l'autre, je dirais que cela dépend plus de leur personnalité que de leur célébrité !

J'ai aussi rencontré d'illustres inconnus avec qui je suis toujours en contact.