Hanns Eisler, pour ne reprendre que lui, a dû s'expatrier en 1933, dés l'avènement du régime nazi, puis, en 1952, s'installa en RDA dont il devint compositeur officiel (il composa d'ailleurs l'hymne national de l'ex RDA).
Concernant les russes qui ont plus ou moins souffert du régime soviétique (notamment Prokofiev et Chostakovitch), j'avoue que je préfère, et de beaucoup, leurs oeuvres contrôlées ou admises par les autorités, que celles composées pendant leur séjour "libre" en occident. (toute politique mise à part, le Chant des forêts ou la symphonie Léningrad de Chostakovitch sont des merveilles).