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 Juhan Jürme (1896-1943)

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joachim
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joachim

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MessageSujet: Juhan Jürme (1896-1943)   Juhan Jürme (1896-1943) Empty2023-09-16, 18:29

Juhan Jürme (jusqu'en 1938 Johannes Jürgenson), né le 20 mars 1896 à Tallinn ; mort le né le 25 mars 1943 à Tallin) était un compositeur, chef de chœur et professeur de musiqueestonien.

Juhan Jürme termine ses études de composition avec Artur Kapp et d'orgue avec August Topman au Conservatoire de Tallinn (aujourd'hui Académie estonienne de musique et de théâtre) en 1927. Il a ensuite travaillé comme pianiste (de cinéma), organiste, chef de chœur et compositeur. De 1942 jusqu'à sa mort prématurée, Jürme était maître de conférences au Conservatoire de Tallinn.
En 1943, il fut tué lors d'un bombardement soviétique sur Tallinn.

Juhan Jürme est devenu célèbre principalement en tant que compositeur d'œuvres symphoniques et vocales sur des thèmes bibliques. Il a également écrit l'oratorio Nebuchadnetsar (1937), l'opéra Võõras veri (1939) et les célèbres cantates Pärast püha õhtusöömaaega (1927) et Memento mori (1933). Sa pièce chorale et orchestrale Rukkirääk (1937), présente à chaque festival de chant estonien, est particulièrement appréciée.


Œuvres principales


Datées

1925 Sonate pour piano
1926 'Ouverture-fantasia' pour orchestre symphonique
1927 'Pärast püha õhtusöömaaega (Après la Sainte Communion)', cantate pour solistes, chœur mixte et orchestre symphonique (texte de M. Kaus)
1929 8 chorals pour chœur mixte
1932 'Eluohver (Sacrifice de la vie)', mystère (texte de V. Kuljus)
1933 'Memento mori', cantate pour solistes, chœur mixte et orchestre symphonique (texte de A. Soomre)
1937 'Nebukadnezzar', oratorio pour solistes, chœur mixte et orchestre symphonique (texte de J. Kaljuvee)
1938 Ouverture pour orchestre symphonique
1939 'Võõras veri (Le sang de l'étranger)', opéra basé sur 'Barbara von Tisenhusen' d'Aino Kallas)


Non datées

Orchestre

Ouverture-fantaisie pour fanfare
Marche sur des airs estoniens et finlandais pour chœur d'hommes et fanfare
Menuet pour fanfare
Rukkirääk (Pain de seigle) pour fanfare
Valse à trois (sur les motifs de 'Rukkiräägu') pour orchestre symphonique


Musique de chambre

Jõmpsikate (Danse des Jimps) pour piano
Liblikate tants klaverile (Danse des papillons) pour piano / piano, violon et violoncelle
Sepikojas (dans la forge) pour piano
Tinasõdurite marss (Marche des soldats de plomb pour piano
Adagio pour violoncelle et piano
Andante sostenuto pour violoncelle/cor et piano
Fugue en do mineur pour orgue
Fugue en si mineur pour orgue
Surmatants (Danse macabre) pour orgue


Œuvres chorales

Jõulurahu (paix de Noël) pour chœur mixte
Laulatuseks (pour un mariage, chœur mixte (tekst H. Pärn)
Naljalugu (Tere, tibukene) chœur mixte/chœur d'hommes (tekst rahvaluulest)
Rukkirääk, chœur mixte (tekst Marie Under)
Säältpoolt kaldalt, chœur mixte (tekst A. Kallas)
Üksinda armastan, chœur mixte (tekst rahvaluulest)
Kaugel, chœur de femmes (tekst J. Tamm)
Mitte asjata, chœur de femmes (tekst J. Tamm)
Rukkirääk, chœur de femmes/chœur d'hommes et piano (tekst Marie Under)
Oled väike sõstrasilm, chœur d'hommes (tekst A. Alver)
Peremees kuri, sulane parem chœur d'hommes (tekst rahvaluulest)
All orus hõiskab õitselind, chœur d'enfants (tekst Anna Haava)
Kari mul mängib kaasikussa, chœur d'enfants (tekst rahvaluulest)
Kevadel, tantsusüit, chœur d'enfants (tekst H. Turp)
Legend, chœur d'enfants (tekst A. Alle)
Lüpsil, chœur d'enfants (tekst rahvaluulest)
Pilved sõudvad, chœur d'enfants (tekst Juhan Liiv)


Memento Mori, cantate (1933)



https://www.youtube.com/watch?v=PZv_kYeS9og

Cathédrale de Tallin, le 18 mars 2023

Solistes, chœur et orchestre dirigés par Veljo Reier


Dernière édition par joachim le 2023-09-16, 19:43, édité 1 fois
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Kool



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MessageSujet: Re: Juhan Jürme (1896-1943)   Juhan Jürme (1896-1943) Empty2023-09-16, 19:00

Parmi ses œuvres les plus importantes, on peut citer : L'opéra "Elu" (1923) c’est un opéra en trois actes sur un livret de Karl August Hindrey. La symphonie "Üle jõe" (1926) : une symphonie en quatre mouvements. Le concerto pour violon (1927) : un concerto pour violon et orchestre. Le concerto pour piano (1928) : un concerto pour piano et orchestre. Les chants populaires estoniens (1930) : une collection de chants populaires estoniens harmonisés par Jürme.

https://youtu.be/_DZHKqJb4Q0?feature=shared

 Cette œuvre est considérée comme l'une des plus populaires d'Estonie, et je peux comprendre pourquoi.
La chanson raconte l'histoire d'un homme qui se promène dans la forêt et rencontre un rossignol. Le rossignol chante une belle chanson, et l'homme est si ému qu'il en pleure.
La chanson est écrite dans un style simple et direct, qui rend les paroles faciles à comprendre et à retenir. La mélodie est mélodieuse et entraînante, et elle est immédiatement accrocheuse.
J'ai été particulièrement impressionné par la beauté et l'émotion de la musique. Elle est à la fois douce et puissante.
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MessageSujet: Re: Juhan Jürme (1896-1943)   Juhan Jürme (1896-1943) Empty2023-09-16, 19:57

Mrtci, Kool.

J'ai placé ci-dessus la cantate Memento Mori (Pense, Homme, à la mort) interprétée le 18 mars 1933 dan la cathédrale de Tallinn.



Memento Mori, cantate écrite en 1933

Solistes, chœur mixte, chœur de femmes, orgue, orchestre symphonique

Texte : Artur Sommer (Soomre) d'après Luc 16 : 19-31

1. Chorus
2. Aria (l'Homme riche)
3. Arioso (Lazare)
5. Anges, chœur et Lazare
6. Recitative (L'Homme riche)
7. Aria (Abraham)
8. Arioso (L'Homme riche)
9. Recitative (Abraham)
10. Chorus


Commentaire :

La partition a été détruite lors du bombardement soviétique de Tallinn pendant la Seconde Guerre mondiale. Hulgo Lepnurm a restauré les parties de chœur, de soliste et d'orgue en 1952, l'orchestration en 1993.

Le 18 mars 2023, la cantate « Memento Mori » de Johann Jürme (20 mars 1896 – 25 mars 1943, Johannes Jürgenson jusqu'en 1938) a été jouée à la cathédrale de Tallinn. La présentation était dédiée au 80e anniversaire de la mort du compositeur. Cette année marque également le 90e anniversaire de la création de l'œuvre. La cantate a été interprétée par le chœur Laudate Dominum de la paroisse de Toom, le chœur de concert et le chœur de femmes de la paroisse de Karli et le chœur de chambre de la paroisse de Viimsi Jacob. Les chefs de chœur étaient Andrus Kalvet, Piret Aidulo, Partel Toompere et Kersti Petermann. L'orchestre de chambre (le maître de concert Meelis Vahar), l'organiste de la cathédrale Kadri Ploompuu à l'orgue (qui fut également le principal initiateur et leader du spectacle) et les solistes Rafael Dicenta – ténor (Rikas mees), Aare Saal – baryton (Laatsarus), Olari Vikholm – basse (Abraham) y a participé. . . . . La représentation a été dirigée par Veljo Reier.

La première de 'Memento Mori' a eu lieu le soir du jour du Souvenir, le 26 novembre 1933, à l'église Charles. À cette époque, Jürme était organiste et directeur de chœur de l'église Charles. La pièce a été commandée et le concert a été organisé par le chœur mixte de la Kaarli Song Society, devenue un très bon collectif dans les années 1930 sous la direction de Jürme et Alfred Karind. L'auteur du texte était Artur Sommer (Artur Soomre, 2. VI 1890 - 22. IX 1944), professeur de la paroisse de Kaarli, qui parle de l'homme riche et du pauvre Lazare.

La cantate en dix parties impose des exigences élevées aux chœurs et aux solistes (également en termes de gamme de parties vocales). Le texte expressif est soutenu par une musique composée de manière passionnante. Päevaleht écrit après la création en 1933 que le texte a apporté à la musique « un récitatif déclamatoire, en particulier dans les parties des solistes, où les participants à la cantate - l'homme riche, Lazare et Abraham - racontent la narration de leurs longues épreuves. [--- ] le récitatif, cependant, ne permet pas de développer un motif vers la fin et de lui donner une forme définie. En passant, il faut dire que lors de la première représentation, l'orgue Walcker était accordé plus haut et qui, si l'accordage d'origine avait été conservé, n'aurait pas pu sonner avec les instruments à vent de l'orchestre. La première a été dirigée par le compositeur lui-même, Alfred Karindi, à l'orgue. Des présentations à Karli en 1934 et 1938 suivirent.

Dans le Kultuulileh (29 mars 1996), vous trouverez l'article de Hugo Lepnurme sur l'art de l'orgue de Jürme : 'Pendant nos études, nous ne pouvions pas avoir de contact. [---] J'ai relativement peu de souvenirs de l'art de l'orgue de Jürme. Dans Il avait le même caractéristiques dans ses créations écrites : beaucoup de mineur naturel, un peu d'air folklorique estonien et la riche dynamique de l'orgue [---] En tant que compositeur, Jürme a laissé une assez longue lignée de chants spirituels et quelques chants choraux profanes. [- --] Écrites par un véritable chef de chœur, ses chansons sont relativement faciles à chanter malgré leur difficulté.[--- ] En raison du coût d'impression, ses chansons ont été conservées sous forme de reproductions manuscrites - la plupart d'entre elles dans les archives de Tallinn Kaarli Par conséquent, certaines chansons qui méritent une plus grande reconnaissance sont restées peu connues. [---] En 1951, l'organiste et chef de chœur Arnold Allvee, qui dirigeait la vie musicale de l'Église du Saint-Esprit à Tallinn, m'a approché : pourrais-je restaurer les parties chorales de la cantate 'Memento Mori' et écrire les parties manquantes airs et récitatifs pour les solistes. Comme j'avais entendu l'interprétation de la cantate en 1943 et que j'en avais un vague souvenir, j'ai osé 'sauter en l'air' et j'ai réalisé cette œuvre au cours de l'été 1952. Le programme a été écrit uniquement pour l'orgue, que j'ai moi-même joué sur un récital le jour des Morts en 1952 dans l'église du Saint-Esprit.' Lepnurm a écrit que la cantate a été interprétée de cette manière quelques fois plus tard avec Rolf Uusvälja à l'orgue.

Lepnurm a accidentellement perdu la vie l'année 1943, il se trouvait à l'arrière de l'Union soviétique. Il est également peu probable qu’un chœur mixte de la taille requise ait pu se constituer pendant les années de guerre. En 1938, lors de la présentation, il n'était pas à Tallinn, car il se rendit à Paris en septembre pour se perfectionner. Par conséquent, il a entendu l'exécution de la grande œuvre en 1933 ou 1934, ce qui signifie qu'outre les parties chorales préservées, les parties d'accompagnement et les solos ont été restitués dans l'impression d'il y a 17-18 ans ! Je pense que nous devrions écrire sur Lepnurme en tant que co-auteur d'un ouvrage existant ! Le « Lexique biographique de la musique estonienne » (EMBL) de 2007 y fait également référence. Le caractère récitatif et narratif décrit ci-dessus est bien capturé et également caractéristique du propre travail de Lepnurme.

Le 30 octobre 1983, la première partie des travaux est réalisée dans la cathédrale. Lepnurm a progressivement restauré les parties d'orchestre, le chœur de la cathédrale et le chœur d'étude de l'Institut d'études religieuses ont chanté. L'organiste de la cathédrale, Jaanus Romandi, était dirigé par Hugo Lepnurm, qui jouait de l'orgue. La cantate a été jouée dans son intégralité dans la cathédrale le 25 novembre 1984 et le 27 mars 1988 avec la même composition. Lepnurm écrit : « L'organiste de la cathédrale, Johannes Kappel, avait organisé un orchestre pour l'église, que nous avons également décidé d'utiliser à cette occasion. [---] J'ai orchestré le premier et le dernier chœur, l'air de l'homme riche et le pauvre Lazarus, les autres parties ont été laissées à l'orgue. Pour le 50ème anniversaire de la mort de Jürme en 1993, j'ai décidé d'orchestrer la pièce dans son ensemble - bien que pour une composition beaucoup plus petite que ce que le compositeur lui-même souhaitait - en considérant les possibilités futures de nos églises ! Sous cette forme, l’œuvre a été acquise cette année par la Fondation culturelle estonienne. Les parties d'orchestre n'ont pas pu être trouvées lors de la préparation de la représentation de cette année. Meelis Vahar a mis la pièce aux cordes, en utilisant le piano et les notes.

Je voudrais saluer le niveau de la performance, le chœur avait l'air très professionnel et le niveau des instrumentistes et solistes professionnels était impeccable. La grande forme a été conçue dans son ensemble par la main précise du chef d'orchestre Veljo Reier. La prestation expressive des chanteurs de renom Aare Saal et Olari Viikholm a été un succès à tous points de vue. L'artiste choriste de l'Opéra national d'Estonie, le ténor Rafael Dicenta, né à Madrid, ne se produit ici que depuis 2020. De 2012 à 2020, il a vécu à Vienne. Sa liste de rôles et de formes majeures interprétées est impressionnante, tout comme le rôle exigeant qu'il a interprété dans la cantate de Jürme.

Selon le Centre d'information sur la musique estonienne, le compositeur, chef de chœur et professeur de musique Juhan Jürme a étudié la musique sous la direction d'Anton Kasemets et Peeter Süda, et est diplômé du Conservatoire de Tallinn en 1925 avec une spécialisation en orgue dans la classe d'August Topman et en 1927 en composition. dans la classe d'Artur Kapi. En 1926-1927, il fut boursier de la capitale Konstantin Türnpu.

Jürme était organiste et chef de chœur de la congrégation EELK Tallinn Toompea Kaarli (1924-1940), professeur de musique au lycée commercial pour filles de Tallinn et à l'école de métiers pour garçons de Tallinn (1929-1942), et maître de conférences au Tallinn. Conservatoire (1942-1943). Il a également travaillé comme pianiste dans des cinémas. L'activité de Jürme avec le chœur Kaarli Luluseltsi fut active : sous sa direction, le chœur donna des concerts dans la salle Börsi et la salle de concert d'Estonie, se produisit lors de concerts en plein air, participa aux journées de la chanson du comté et au XIe Festival général de la chanson (1938). ). Depuis 1939, le chœur de la société de chant s'appelle le chœur de l'oratoire de Kaarli.

En 1940, les travaux à Kaarli furent interrompus. Dans sa lettre du 13 janvier 1942 au conseil de la paroisse de Kaarli, Jürme demande à être réintégré comme organiste et raconte comment, le 1er décembre 1940, le Commissariat du peuple à l'éducation l'a approché avec une proposition d'abandonner soit l'église, soit le poste d'enseignant, car dans un pays communiste, il n'est pas permis d'occuper les deux postes en même temps. Il raconte également comment, quelques mois après avoir commencé ses études, il a été invité au Commissariat du Peuple à l'Éducation pour expliquer pourquoi les étudiants « participent si lentement aux études « internationales ». Quelques jours plus tard, il a été arrêté par un policier. Un agent du NKVD et un interrogatoire de deux heures ont suivi pour la même raison.

À l'été 1941, il se cache dans la campagne face à la mobilisation des Russes. Son dernier concert eut lieu le 21 mars 1943 à l'église de Rakvere avec le baryton Evald Oja.

Selon l'EMBL (2007) et le Centre estonien d'information sur la musique, Juhan Jürme a créé environ 400 œuvres, dont 100 chants choraux, chants solos et musique d'orgue. La majeure partie de l'œuvre de Jürme est constituée d'œuvres vocales symphoniques sur des thèmes bibliques : les cantates 'Après la Cène' et 'Memento mori' et l'oratorio 'Nabuchodonosor'. La plupart des compositions chorales de Jürme sont spirituelles. Le public connaît mieux la chanson chorale 'The Corncrake' ('Rukkirääk') composée sur les paroles de Marie Under, arrangée par Jürme lui-même et d'autres musiciens pour d'autres ensembles. 'The Corncrake' ('Rukkirääk') pour fanfare a été inclus dans le programme de la soirée générale de la chanson de 1938.

L'énorme quantité contenue dans la lettre - 400 œuvres - attend encore d'être découverte. Le nombre d'ouvrages n'est pas indiqué dans le lexique biographique de 1990. Sur le site Internet du centre d'information, j'ai trouvé un total de 127 œuvres, dont plusieurs arrangements différents de 'The Corncrake' ('Rukkirääk'). Beaucoup de choses ont peut-être été détruites, mais ce grand nombre suscite encore des doutes : d'où vient-il ? Juhan Jürme a réussi à être musicien professionnel pendant moins de 20 ans, car malheureusement ce musicien talentueux a été tué lors du bombardement de Tallinn le 25 mars 1943 et toutes les partitions de sa maison ont également été détruites dans l'incendie.
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Kool



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MessageSujet: Re: Juhan Jürme (1896-1943)   Juhan Jürme (1896-1943) Empty2023-09-16, 20:31

. Merci Joakim  Wink

 Memento mori

La cantate est divisée en trois parties, chacune correspondant à un aspect de la mort. La première partie, "Le jour de la mort", décrit la mort comme une réalité inéluctable. La deuxième partie, "La mort comme passage", considère la mort comme un passage vers un autre monde. La troisième partie, "La mort comme renaissance", voit la mort comme une nouvelle naissance.
La cantate est écrite dans un style simple et direct. La musique est belle et émouvante, et elle exprime parfaitement les différentes facettes de la mort.
J'ai été particulièrement impressionné par la beauté et l'émotion de la cantate. La voix du ténor est à la fois puissante et touchante, et elle parvient à toucher le cœur de l'auditeur. La cantate est une réflexion profonde sur la mort, qui nous invite à réfléchir.
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