Jacques Offenbach (1819-1880)

Jacques (Jakob) Offenbach fut un compositeur et violoncelliste allemand naturalisé français, né à Cologne le 20 juin 1819 et mort à Paris le 5 octobre 1880.

Offenbach naquit en Allemagne en 1819. Issu d'un père musicien chantre juif, Offenbach, qui était déjà très doué pour le violoncelle pour son jeune âge, n'avait alors aucune chance de faire des études de musique. Son père l'envoya donc en France grâce au libéralisme de Napoléon III. Offenbach étudia le violoncelle au Conservatoire de Paris et débuta comme soliste virtuose. Il joua dans l'orchestre de l'Opéra-Comique, puis fut directeur musical de la Comédie-Française. En 1855, il créa son propre théâtre, les Bouffes-Parisiens afin qu'y fussent exécutées ses propres œuvres. Il travaille entre autre avec les librettistes Henri Meilhac et Ludovic Halévy. Emule de Rossini et de Mozart, il inventa l' "opéra-bouffe" français que l'on confondit par la suite avec l' "opérette". Son premier grand succès est Orphée aux Enfers (1858). Il meurt le 5 octobre 1880 à 61 ans.

Nombre de partitions ne nous sont pas parvenues. Le 15 juillet 2004, alors qu'on la croyait détruite, la partition d'orchestre de l'opéra fantastique Les Contes d'Hoffmann a été retrouvée dans les archives de l'Opéra national de Paris. Cette partition, créée le 10 février 1881, avait disparu dans l'incendie de la salle Favart, le 25 mai 1887 ; la partition de la version allemande fut également réduite en cendres lors de l'incendie du Wiener Ringtheater (Vienne), en décembre 1880, conférant à l'œuvre une réputation maudite.



En 1816, Isaac Eberst, violoniste originaire d’Offenbach-sur-le-Main, s’installe à Cologne avec sa femme Marianne et ses enfants. Dans cette ville, il adopte définitivement le nom d’Offenbach.

   Le 20 juin 1819, Marianne donne le jour à son septième enfant, Jacob, le futur Jacques Offenbach. En 1826, Isaac devient chantre à la synagogue.

   On est tous musiciens dans la famille Offenbach, mais le plus doué est sans contexte le jeune Jacob qui fait notamment preuve de dons exceptionnels pour le violoncelle. Tout ce petit monde donne des concerts qui sont fort prisés : Isaac songe alors sérieusement à emmener à Paris, où ils pourront plus sûrement faire reconnaître leur talent, deux de ses fils, Julius et Jacob.

   En novembre 1833, Isaac, Julius et Jacob arrivent dans la capitale française. Le père réussit à faire admettre ce dernier au Conservatoire de Paris dans la classe de Vaslin. Tandis que Isaac repart pour Cologne, Jacob (bientôt Jacques) se perfectionne, mais quitte au bout d’un an le Conservatoire dont l’atmosphère ne lui convient guère.

    Il obtient une place de violoncelliste à l’Opéra-Comique où il restera deux ans. Ses premières compositions (surtout des valses jouées dans l’établissement d’un certain Jullien), ses concerts dans les salons où il est introduit par Flotow lui assurent un début de notoriété.

   En 1839, il compose pour le théâtre une première fois : Pascal et Chambord, comédie mêlée de chant est donnée au Palais Royal sans grand succès.

   En 1844, Jacques épouse Herminie de Alcain qui lui donnera cinq enfants.

   Le jeune musicien connaît quelques années difficiles. Son véritable premier ouvrage lyrique, L’alcôve, est un échec. La révolution de 1848 le conduit à rejoindre quelque temps Cologne avec Herminie et leur fille Blanche… Retour à Paris (février 1949), puis nouveau voyage à Cologne l’année suivante par suite du décès d’Isaac.

   En 1850, il devient chef d’orchestre à la Comédie Française où il compose les ouvertures et entractes pour les spectacles du théâtre. Il restera dans cet établissement jusqu’en 1855.

   Musicien de théâtre dans l’âme, Offenbach cherche des salles d’accueil. Ses tentatives pour être joué à l’Opéra-Comique ayant échoué, il se tourne vers les théâtres privés. La salle Herz donne Le trésor à Mathurin le 7 mai 1853 et le théâtre des Variétés Pépito le 28 octobre de la même année. L’accueil de la presse et du public est excellent. Hervé, qui a obtenu quelques mois auparavant le privilège d’ouvrir un théâtre (Les Folies-Nouvelles), donne Oyayaye ou La Reine des Iles d’Offenbach, ouvrage qu’il interprète lui-même avec son complice Joseph Kelm (juin 1855).

   Après moult démarches, Offenbach obtient en 1855 l’autorisation d’ouvrir une salle, au Carré Marigny, proche de l’Exposition Universelle. Le 5 juillet, l’inauguration de ces " Bouffes-Parisiens " est un triomphe avec au programme deux œuvres du nouveau directeur : Les deux aveugles et Une nuit blanche.

   Le compositeur fait la connaissance de la jeune Hortense Schneider qui, dès octobre 1855, obtient un triomphe personnel dans Le violoneux.

   L’hiver venu, Offenbach installe " ses " Bouffes-Parisiens rue Monsigny, où il donne successivement une série de petits bijoux musicaux en un acte. On citera en 1857 Ba-Ta-Clan, Croquefer, Vent du Soir et Le mariage aux lanternes (nouvelle mouture du Trésor à Mathurin).

   Notons en passant qu’en 1856, Offenbach avait organisé un concours d’opérette qui fut gagné ex-æquo par Charles Lecocq et Georges Bizet.

   L’année 1858 marque un tournant dans la carrière d’Offenbach et, et l’on peut aussi le dire, dans l’histoire de l’opérette française. La réglementation, qui limitait le nombre des personnages sur scène pour un même ouvrage, est assouplie. Offenbach et Hervé, notamment, vont pouvoir laisser aller leur imagination.

   Après une mise en train avec Mesdames de la Halle (5 mars 1858), la première grande opérette française voit le jour le 21 octobre 1858 : Orphée aux Enfers est l’événement de la saison. Le départ est un peu difficile, Offenbach remanie plusieurs fois sa pièce et le succès se dessine enfin (228 représentations consécutives, un triomphe à l’époque). L’année suivante, Geneviève de Brabant (1859) obtient un succès plus mitigé.

   L’année 1860 est assez contrastée : Offenbach obtient la nationalité française, Orphée fait un triomphe à Bruxelles et à Berlin, son ballet Le papillon est un succès à l’Opéra de Paris, mais son premier ouvrage reçu salle Favart est un échec (Barkouf, 24 décembre).


   L’époque de la grande période " Offenbach " approche : en attendant, entre 1861 et 1864, le compositeur devient célèbre à Vienne où ses ouvrages seront régulièrement représentés (il compose même pour l’Opéra de Vienne Die Rheinnixen qui ne sera jamais donné en France) ; il se rend chaque année dans la ville d’eaux de Bad Ems en Allemagne où il créera plusieurs ouvrages en un acte ; il abandonne son poste de directeur des Bouffes et fait la connaissance de la jeune chanteuse Zulma Bouffar avec laquelle il entretiendra une longue mais discrète liaison. Au cours de cette période, les titres suivants sont à retenir : La chanson de Fortunio, Le Pont des Soupirs, Monsieur Choufleuri restera chez lui le…, Les Bavards, Il Signor Fagotto…

   De 1864 à 1870, c’est le trio " infernal " Offenbach, Meilhac et Halévy, souvent appuyé par le talent et les " débordements " de l’exquise Hortense Schneider qui éclairera les dernières années d’un Empire dont les fastes apparents masquent l’état de délabrement réel.

   La Belle Hélène (Variétés, 17 décembre 1864) est un triomphe pour les auteurs et ses interprètes, Hortense (Hélène) et José Dupuis (Pâris). En 1866, Barbe-Bleue est également un succès. Et, le 31 octobre, en prélude à la grande Exposition Universelle de 1867, La Vie Parisienne (avec Zulma Bouffar) déchaîne l’enthousiasme du public au théâtre du Palais Royal.

   Le 12 avril 1867, La Grande Duchesse de Gérolstein (Hortense Schneider) fait une entrée remarquée en pleine exposition. Triomphe de l’ouvrage et d’Hortense que les têtes couronnées du monde entier viennent applaudir sur scène… et lui présenter leurs hommages après la représentation. La même année Robinson Crusoé est créé à l’Opéra-Comique.

   1868 est l’année de La Périchole avec la toujours irrésistible Hortense, José Dupuis étant Piquillo. On citera encore, au cours de cette période Les Brigands qui n’a pas gardé, à tort, la même notoriété que les ouvrages précédents.

   Compte tenu de ses origines, Offenbach est injustement calomnié au cours du conflit franco-prussien. Il se réfugie un temps en Espagne avec sa famille.

   Revenu en France au cours de l’été 1871, il se remet immédiatement au travail. En 1872, son nouvel ouvrage, Le roi Carotte, dont le livret est écrit par Victorien Sardou, est créé sur la scène de la Gaîté. La même année, Fantasio, d’après Musset, est donné à l’Opéra-Comique, dans une indifférence imméritée.

   En 1873, Offenbach prend la direction du théâtre de la Gaîté où il montera sous une forme " à grand spectacle " ses grands succès : Orphée aux Enfers et Geneviève de Brabant. L’échec de La Haine de Victorien Sardou, ruine Offenbach qui abandonne la direction du théâtre. Son successeur, Vizentini créera Le voyage dans la lune (1876). La Périchole, dans une nouvelle version agrandie en 3 actes, fera les beaux soirs des Variétés.

   Au cours de cette période le compositeur sera joué sur d’autres scènes ; il s’adaptera progressivement aux nouvelles exigences du public qui vient de faire un triomphe à La Fille de Madame Angot de Lecocq : La Jolie Parfumeuse avec Louise Théo (1874), Madame l’Archiduc et La boulangère a des écus (dernière collaboration Offenbach-Meilhac-Halévy) et La Créole.

   Ruiné à cause de la Gaîté, Offenbach, malgré une santé qu’il s’altère de plus en plus, accepte d’effectuer une tournée de trois mois aux Etats-Unis (1876) où il dirige ses principales œuvres. Au retour, il peut défrayer tous ses créanciers.

   En 1877, les Variétés présentent Le docteur Ox.

   Malgré les souffrances occasionnées par la goutte, Offenbach travaille d’arrache pied : il tente d’achever la partition des Contes d’Hoffmann commencée quelques années plus tôt., et dont il attend beaucoup ; en même temps, il compose Madame Favart (1878) et La Fille du tambour-Major (1879) qui seront (surtout ce dernier titre) de grands succès. En mars 1880, il se rend à Bruxelles pour la création de La Fille du Tambour-Major. Mais sa santé décline encore… Il s’éteint le 5 octobre 1880, ayant pratiquement terminé ses Contes.

   Les Contes d’Hoffmann recevront un triomphe sur la scène de l’Opéra-Comique le 10 février 1881.

   Humour, verve, truculence, cocasserie, sont quelques-uns des qualificatifs donnés à la musique d’Offenbach. Cette musique joyeuse, spirituelle, tendre parfois, brillante, soignée, qui n’exclue jamais la qualité musicale, rallie encore aujourd’hui tous les suffrages.

Copyright Jean-Claude Fournier

Il est difficile de croire que certaines opérettes d'Offenbach n'existent qu'en version.....................anglaise !! (exemple : Robinson Crusoé)
Les français, préférant les habituelles Belle Hélène, Vie parisienne, Orphée....(néanmoins des purs chefs-d'oeuvres)

j'ai entendu parler, il n'y a pas longtemps, d'une orchestration de la vie parisienne par Igor Stravinsky, lui même !!!

La connaissez vous ?

zeugma a écrit:

j'ai entendu parler, il n'y a pas longtemps, d'une orchestration de la vie parisienne par Igor Stravinsky, lui même !!!

La connaissez vous ?

Jamais entendu parler

Catalogue des oeuvres du Maître de l'opéra bouffe:

BP = Paris, BouffesParisiens, Salle Choiseul
BPSM = Paris, Bouffes-Parisiens, Salle Marigny
CF = Paris, Comédie-Française
FD = Paris, Folies-Dramatiques
G = Paris, Gaîté
OC = Paris, Opéra-Comique
PR = Paris, Palais-Royal
RE = Paris, Renaissance
V = Paris, Variétés
Ems = Bad Ems, Kursaal

I. Opéras comiques, Opérettes, Opéras bouffes etc.

Meunière et fermière (Édouard Plouvier), duo bouffe 1 Bild (2. April 1843 Paris, Salle Herz)
Le Moine Bourru, ou Les Deux Poltrons (ders.), dass. (24. April 1846 ebd.)
L'Alcôve (Philippe Pittaud de Forges/Adolphe de Leuven/Eugène Roche), opéra comique 1 Akt (24. April 1847 Paris, Salle Moreau-Sainti), deutsche Bearb. Marielle oder Sergeant und Commandant (C. O. Sternau) (9. Jan. 1849 Köln)
La Duchesse d'Albe (Henri Vernoy de Saint-Georges) (1847/48, nicht aufgeführt)
Blanche (ders.) (nicht aufgeführt)
Le Trésor à Mathurin (Léon Battu), dass. (7. Mai 1853 Paris, Salle Herz); rev. Le Mariage aux lanternes (Jules Dubois [= Michel Carré/Battu]), opérette 1 Akt (10. Okt. 1857 BP)
Pépito (Jules Moinaux/Battu), opéra comique 1 Akt (28. Okt. 1853 V)
Luc et Lucette (Pittaud de Forges/Roche), dass. (2. Mai 1854 Paris, Salle Herz)
Oyayaye ou La Reine des îles (Moinaux), anthropophagie musicale 1 Akt (26. Juni 1855 Paris, Folies-Nouvelles)
Entrez, Messieurs, Mesdames (Joseph Méry/Jules Servières [= Ludovic Halévy]), Prolog (5. Juli 1855 BPSM)
Les Deux Aveugles (Moinaux), bouffonnerie musicale 1 Akt (5. Juli 1855 BPSM)
Une Nuit blanche (Plouvier), opéra comique 1 Akt (5. Juli 1855 BPSM)
Le Rêve d'une nuit d'été (Étienne Tréfeu), saynète 1 Akt (30. Juli 1855 BBSM)
Le Violoneux (Eugène Mestépès/Émile Chevalet), légende bretonne 1 Akt (31. Aug. 1955 BPSM)
Madame Papillon ou Le Jeune Homme d'en face (Servières), bouffonnerie musicale 1 Akt (3. Okt. 1855 BPSM)
Paimpol et Périnette (Pittaud de Forges), saynète lyrique 1 Akt (29. Okt. 1855 BPSM)
Ba-ta-clan (Servières), chinoiserie musicale 1 Akt (29. Dez. 1855 BP)
Béranger à l'Académie (Arsène Houssaye), scène bouffe 1 Akt (19. Jan. 1856 BP)
Un Postillon en gage (Jules Adenis [= Jules-Adenis Colombeau]), opérette 1 Akt (9. Febr. 1856 BP)
Tromb-Al-Ca-Zar ou Les Criminels dramatiques (Charles-Désiré Dupeuty/Ernest Bourget), bouffonnerie musicale 1 Akt (3. April 1856 BP)
La Rose de Saint-Flour (Carré/Nuitter [= Charles Truinet]), opérette 1 Akt (12. Juni 1856 BPSM)
Les Dragées du baptême (Dupeuty/Bourget), 1 Akt (18. Juni 1856 BPSM), Gelegenheitsstück anlässlich der Taufe des Kronprinzen
Le "66" (Pittaud de Forges/Laurencin [= Paul-Aimé Chapelle]), opérette 1 Akt (31. Juli 1856 BPSM)
Le Financier et le savetier (Hector Crémieux/Edmond About), opérette bouffe 1 Akt (23. Sept. 1856 BPSM)
La Bonne d'enfant (Eugène Bercioux), dass. (14. Okt. 1856 BP)
Les Trois Baisers du diable (Mestépès), opérette fantastique 1 Akt (15. Jan. 1857 BP)
Croquefer ou Le Dernier des paladins (Adolphe Jaime/Tréfeu), opérette bouffe 1 Akt (12. Febr. 1857 BP)
Dragonette (Mestépès/Jaime), dass. (30. April 1857 BP)
Vent du soir ou L'Horrible Festin (Philippe Gille), dass. (16. Mai 1857 BP)
Une Demoiselle en loterie (Jaime/Crémieux), dass. (27. Juli 1857 BP)
Les Deux Pêcheurs ou Le Lever du soleil (Dupeuty/Bourget), bouffonnerie musicale 1 Akt (13. Nov. 1857 BP)
Mesdames de la Halle (Armand Lapointe), opérette bouffe 1 Akt (3. März 1858 BP)
La Chatte métamorphosée en femme (Eugène Scribe/Mélesville [= Anne Honoré Joseph Duveyrier]), opérette 1 Akt (19. April 1858 BP)
Orphée aux enfers (Crémieux/Halévy), opéra bouffon 2 Akte (21. Okt. 1858 BP); rev. opéra-féerie 4 Akt (7. Febr. 1874 G)
Un Mari à la porte (Delacour [= Alfred-Charlemagne Lartigue]/Léon Morand), opérette 1 Akt (22. Juni 1859 BP)
Les Vivandières de la grande armée (Jaime/Pittaud de Forges), dass. (6. Juli 1859 BP)
Geneviève de Brabant (Jaime/Tréfeu), opéra bouffon 2 Akte (19. Nov. 1859 BP); rev. (Crémieux/Tréfeu), dass. 3 Akte (26. Dez. 1867 Paris, Menus-Plaisirs); rev. (dies.), opéra féerie 5 Akte (25. Febr. 1875 G)
Le Carnaval des revues (Eugène Grangé/Gille/Halévy), Revue 1 Akt (10. Febr. 1860 BP)
Daphnis et Chloé (Clairville [= Louis Nicolaïe]/Jules Cordier [= Éléonore Tenaille de Vaulabelle]), opérette 1 Akt (27. März 1860 BP)
Barkouf (Scribe/Henri Boisseaux), opéra bouffe 3 Akte (24. Dez. 1860 OC); Bearb. Boule de neige (Nuitter/Tréfeu), dass. (14. Dez. 1871 BP)
La Chanson de Fortunio (Crémieux/Halévy), opéra comique 1 Akt (5. Jan. 1861 BP)
Le Pont des soupirs (dies.), opéra bouffon 2 Akte (23. März 1861 BP); rev. opéra bouffe 4 Akte (8. Mai 1868 V)
M. Choufleuri restera chez lui le... (Saint-Rémy [= Charles Duc de Morny]/Crémieux/Halévy), opérette bouffe 1 Akt (31. Mai 1861 Paris, Salons du Corps Législatif; 14. Sept. 1861 BP)
Apothicaire et perruquier (Élie Frébault), dass. (17. Okt. 1861 BP)
Le Roman comique (Cemieux/Halévy), opéra bouffe 3 Akte (10. Dez. 1861 BP)
Monsieur et Madame Denis (Laurencin/Michel Delaporte), opéra comique 1 Akt (11. Jan. 1862 BP)
Le Voyage de MM. Dunana père et fils (Paul Siraudin/Moinaux), opéra bouffe 3 Akte (22. März 1862 BP)
Bavard et Bavarde (Nuitter nach Miguel Cervantes Saavedra: Los dos habladores), opéra comique 2 Akte (11. Juli 1862 Ems); deutsche Bearb. Die Schwätzerin von Saragossa (Carl Treumann), kom. Operette 2 Akte (20. Nov. 1862 Wien, Theater am Franz-Josefs-Kai); rev. Les Bavards, opéra bouffe 2 Akte (20. Febr. 1863 BP)
Jacqueline (Pol d'Arcy [= Crémieux/Halévy]), opérette 1 Akt (14. Okt. 1862 BP); deutsche Bearb. Dorothea (G. Ernst [= Ferdinand Gumbert]), kom. Operette 1 Akt (12. Sept. 1871 Wien, Strampfertheater)
La Baguette [Fédia] (Henri Meilhac/Halévy) (1862 nicht aufgeführt)
Il Signor Fagotto (Nuitter/Tréfeu), opéra comique 1 Akt (11. Juli 1863 Ems; 18. Jan. 1864 BP)
Lischen et Fritzchen (P. Dubois [= Paulin-Louis Boisselot]), opérette 1 Akt (21. Juli 1863 Ems); als "conservation alsacienne" 5. Jan. 1864 BP)
L'Amour chanteur (Nuitter/Ernest L'Épine), dass. (5. Jan. 1864 BP)
Die Rheinnixen (Alfred von Wolzogen nach Nuitter), romantische Oper 3 Akte (4. Febr. 1864 Wien, Hofoper)
Les Géorgiennes (Moinaux), opéra bouffe 3 Akte (16. März 1864 BP)
Le Soldat magicien (Nuitter/Tréfeu), opéra comique 1 Akt (12. Juli 1864 Ems); rev. Le Fifre enchanté ou Le Soldat magicien, opérette bouffe 1 Akt (30. Sept. 1868 BP)
Jeanne qui pleure et Jean qui rit (dies.), opérette 1 Akt (19. Juli 1864 Ems; 3. Nov. 1865 BP)
La Belle Hélène (Die schöne Helena; Meilhac/Halévy), opéra-bouffe 3 Akte (17. Dez. 1864 V)
Coscoletto ou Le Lazzarone (Nuitter/Tréfeu), opéra comique 2 Akte (11. Juli 1865 Ems)
Les Refrains des bouffes (Offenbach?), fantaisie musicale 1 Akt (21. Sept. 1865 BP)
Les Bergers (Crémieux/Gille), opéra comique 3 Akte (11. Dez. 1865 BP)
Barbe-bleue (Blaubart; Meilhac/Halévy), opéra bouffe 3 Akte (5. Febr. 1866 V)
La Vie parisienne (dies.), dass. 5 Akte (31. Okt. 1866 PR); rev. 4 Akte (25. Sept. 1873 V)
2002 Rudolf Bibl; Festival Orchestra Mörbisch
Oehme Classics OC 252
La Grande-Duchesse de Gérolstein (dies.), dass. 3 Akte (12. April 1867 V)
La Permission de dix heures (Mélesville/Pierre Carmouche), opéra comique 1 Akt (9. Juli 1867 Ems; 4. Sept. 1873 RE)
La Leçon de chant électromagnétique (Bourget), bouffonnerie musicale 1 Akt (20. Juli 1867 Ems; 17. Juni 1873 Paris, Folies-Marigny)
Robinson Crusoé (Eugène Cormon/Crémieux nach Daniel Defoe), opéra comique 3 Akte (23. Nov. 1867 OC)
Le Château à Toto (Meilhac/Halévy), opéra bouffe 3 Akte (6. Mai 1868 PR); rev. 2 Akte (16. Dez. 1868 PR)
L'Île de Tulipatan (Henri Chivot/Alfred Duru), dass. 1 Akt (30. Sept. 1868 BP)
La Périchole (Meilhac/Halévy nach Prosper Mérimée), dass. 2 Akte (6. Okt. 1868 V), rev. 3 Akte (25. April 1874 V)
Vert-vert (Meilhac/Nuitter), opéra comique 3 Akte (10. März 1869 OC)
La Diva (Meilhac/Halévy), opéra bouffe 3 Akte (22. März 1869 BP)
La Princesse de Trébizonde (Nuitter/Tréfeu), dass. 2 Akte (31. Juli 1869 Baden-Baden, Kurtheater); rev. 3 Akte (7. Dez. 1869 BP)
Les Brigands (Meilhac/Halévy), dass. 3 Akte (10. Dez. 1869 V; rev. 25. Dez. 1878 G)
La Romance de la rose (Tréfeu/Jules Prével), opérette 1 Akt (11. Dez. 1869 BP)
Le Roi Carotte (Victorien Sardou nach E. T. A. Hoffmann), opéra bouffe féerie 4 Akte (15. Jan. 1872 G)
Fantasio (Paul de Musset nach Alfred de Musset), opéra comique 3 Akte (18. Jan. 1872 OC)
Fleurette oder Näherin und Trompeter (Julius Hopp/F. Zell [= Camillo Walzel] nach Pittaud de Forges/Laurencin), kom. Operette 1 Akt (8. März 1872 Wien, Carltheater)
Der schwarze Korsar (Richard Genée nach Nuitter & Tréfeu & Offenbach), dass. 3 Akte (21. Sept. 1872 Wien, Theater an der Wien)
Les Braconniers (Chivot/Duru), opéra bouffe 3 Akte (29. Jan. 1873 V)
Pomme d'api (Halévy/William Busnach), opérette 1 Akt (4. Sept. 1873 RE)
La Jolie Parfumeuse (Crémieux/Ernest Blum), opéra comique 3 Akte (29. Nov. 1873 RE)
Bagatelle (dies.), dass. 1 Akt (21. Mai 1874 BP)
Madame l'Archiduc (Halévy/Albert Millaud), opéra bouffe 3 Akte (31. Okt. 1874 BP)
Whittington (Henry Brougham Farnie nach Nuitter/Tréfeu), grand-opéra-bouffe-féerie 3 Akte (26. Dez. 1874 London, Alhambra Theatre); als Le Chat du diable (Nuitter/Tréfeu), féerie 3 Akte (19. Okt. 1893 Paris, Châtelet)
Les Hannetons (Grangé/Millaud), revue de printemps 3 Akte (22. April 1875 BP)
La Boulangère a des écus (Meilhac/Halévy), opéra bouffe 3 Akte (19. Okt. 1875 V; rev. 27. April 1876 V)
Le Voyage dans la lune (Eugène Letterrie/Albert Vanloo/Arnold Mortier), opéra féerie 4 Akte (26. Okt. 1875 G; rev. 28. Febr. 1876 G)
La Créole (Millaud/Meilhac/Halévy), opéra comique 3 Akte (3. Nov. 1875 BP)
Tarte à la crème (Millaud/Halévy), valse 1 Akt (14. Dez. 1875 BP)
Pierrette et Jacquot (Jules Noriac/Gille), opérette 1 Akt (13. Okt. 1876 BP)
La Boîte au lait (Grangé/Noriac), opéra bouffe 4 Akte (3. Nov. 1876 BP)
Le Docteur Ox (Mortier/Gille nach Jules Verne), dass. 3 Akte (26. Jan. 1877 V)
La Foire Saint-Laurent (Crémieux/Albert de Saint-Albin/Blum), dass. (10. Febr. 1877 FD)
Maître Péronilla (X [= Offembach]), dass. (13. März 1878 BP)
Madame Favart (Chivot/Duru), opéra comique 3 Akte (28. Dez. 1878 FD)
La Marocaine (Paul Ferrier/Halévy), opéra bouffe 3 Akte (13. Jan. 1879 BP)
La Fille du tambour-major (Chivot/Duru), opéra comique 3 Akte (13. Dez. 1879 FD)
Belle Lurette (Blum/Édouard Blau/Raoul Toché), dass. (30. Okt. 1880 RE); beendet von Delibes
Les Contes d'Hoffmann (Hoffmanns Erzählungen; Jules Barbier, nach dem gleichnamigen Schauspiel von Jules Barbier und Michel Carré, 1851), opéra fantastique 4 (10. Febr. 1881 OC; 5 Akte: 13. Nov. 1911 OC); Instrumentation von Guiraud
Mam'zelle Moucheron (Leterrier/Vanloo), opérette bouffe 1 Akt (10. Mai 1881 RE); beendet von Delibes


II. Beiträge zu Bühnenwerken anderer Komponisten/Bearbeitungen

Elodie ou Le Forfeit nocturne (Musik: Paul Amat; Battu/Crémieux), bouffonnerie musicale 1 Akt (19. Jan. 1856 BP)
Les Petits Prodigues (Musik: Émile Jonas; Tréfeu/Jaime), folie musicale 1 Akt (19. Nov. 1857 BP)
Bruschino (Musik nach Rossini; Pittaud de Forges nach Giuseppe Foppa), opéra bouffe 2 Bilder (28. Dez. 1857 BP)
Les Musiciens de l'orchestre (Musik mit Delibes, Jules Erlanger und Aristide Hignard; Achille Bourdois/Pittaud de Forges), opérette bouffe 2 Akte (25. Jan. 1861 BP)
La Chatte blanche (Neueinstudierung: Hippolyte und Théodore Cogniard/Victor Koning), féerie 3 Akte (10. Juni 1875 G)


III. Vaudevilles und Schauspielmusiken

Pascal et Chambord (Auguste Anicet-Bourgeois/Édouard Brisebarre), comédie mêlée de chants 1 Akt (2. März 1839 PR)
Un Mariage sous la Régence (Léon Guillard), comédie 3 Akte (21. Sept. 1850 CF)
Le Joueur de flûte (Émile Augier), comédie en vers 1 Akt (19. Dez. 1850 CF)
Valéria (Jules Lacroix/Auguste Maquet), drame en vers 5 Akte (28. Febr. 1851 CF)
Mademoiselle de la Seiglière (Jules Sandeau [= Léonard Slyvain Julien]/Régnier de La Brière [= F. J. P. Tousez]), comédie 4 Akte (4. Nov. 1851 CF)
Le Malade imaginaire (Molière), comédie-ballet Prolog 3 Akte (1852 CF)
Le Bonhomme jadis (Henri Murger), comédie 1 Akt (21. April 1852 CF)
Le Barbier de Séville ou la Précaution inutile (Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais), dass. 5 Akte (Sept. 1852 CF)
La Mariage de Figaro ou La Folle journée (ders.), dass. (Sept. 1852 CF)
Murillo ou La Corde du pendu (Aylic-Langlé [= M. A. F. Langlois]), comédie en vers 3 Akte (18. Okt. 1853 CF)
Romulus (Alexandre Dumas/Octave Feuillet/Paul Bocage), comédie 1 Akt (13. Jan 1854 CF)
Le Songe d'une nuit d'hiver (Plouvier), dass. 2 Akte (12. Juni 1854 CF)
Le Décameron ou La Grotte d'azur (Joseph Méry), légende napolitaine 1 Akt (April/Mai 1855 Paris, Salle Herz)
La Demoiselle de Nanterre (Eugène Grangé/Lambert Thiboust), vaudeville 3 Akte (14. Jan. 1862 PR)
Le Brésilien (Mailhac/Halévy), comédie-vaudeville 1 Akt (9. Mai 1863 PR)
Les Chaînes de fleurs (Aurélien Scholl), comédie 1 Akt (25. Juli 1863 Ems)
La Succession Bonnet (Saint-Rémy), comédie-vaudeville 1 Akt (14. April 1864 Paris, Salons du Corps Législatif)
La Fille de l'air (H. und Th. Cogniard), féerie 5 Akte (24. Dez. 1864 FD)
Le Gascon (mit Louis Albert Vizentini; Théodore Barrière/Louis Davyl [= Ludovic Poupart]/Léon Beauvallet), drame 5 Akte (2. Sept. 1873 G)
La Haine (Sardou), dass. (3. Dez. 1874 G)

Catalogue NON complet : il manque les ballets (dont Le Papillon), les valses et marches, les multiples mélodies (dont les Fables de La Fontaine), et toutes les pièces pour violoncelle (3 concertos, une douzaine de Duos...).

Je vais essayer de faire un recensement, mais c'est pas évident.

De son vrai nom Jacob Eberst, il a pris le pseudo d'Offenbach, la ville où habitait son père.

Oeuvres instrumentales


Ballets

1855 Arlequin Barbier
1855 Pierrot Clown
1855 Polichinelle dans le monde
1856 Les Bergers de Watteau
1860 Le Papillon


Violoncelle, seul ou avec orchestre ou piano

1833 Divertimento über Schweizerlieder pour violoncelle et quatuor à codes, op 1
1839 Rêveries pour violoncelle et piano (en collaboration avec Flotow)
1839 Chants du soir, pour violoncelle et piano (en collaboration avec Flotow)
1839 Grosse Duo über Motive aus Die Stumme von Portici, pour violon et violoncelle (en collaboration avec Julius Offenbach)
1839 Introduction et valse mélancolique pour violoncelle et piano, op 14
1839 Fantasie über Themas polnischer Lieder (ou Fantasie zur des thèmes russes), pour violoncelle seul
1839 Ecole du violoncelle I, pour 2 violoncelles, op 18
1839 Ecole du violoncelle II, pour 2 violoncelles, op 19
1840 Ecole du violoncelle III, pour 2 violoncelles, op 20
1840 Ecole du violoncelle IV, pour 2 violoncelles, op 21
1840 Grande scène espagnole (Pr!ère et Boléro), pour violoncelle et orchestre, op 22
1841 Caprice sur "Le Cor des Alpes" de Proch, pour violoncelle seul, op 15
1842 Musette, Air de ballet du 17ème siècle, pour violoncelle et orchestre, op 24
1843 Hommage à Rossini (Konzerphantasie über Motive Rossinis), pour violoncelle et orchestre
1843 Caprice sur la romance de Joseph en Egypte de Méhul, pour violoncelle seul, op 27
1843 Grosse Konzerphantasie, pour violoncelle et orchestre
1844 Deux âmes au ciel, Elégie pour violoncelle et piano, op 25
1844 Danse bohémienne pour violoncelle et piano
1844 Quatre Mazurkas de salon, pour violoncelle et piano, op 26
1845 Adagio et Scherzo pour 4 violoncelles
1845 Fantaisie (ou caprice) sur I Puritani de Bellini, pour violoncelle et piano, op 33
1845 Fantaisie (ou caprice sur la Sonnambula de Donizetti, pour violoncelle et piano, op 32
1845 Fantaisie sur Anna Bolena pour violoncelle seul
1845 Fantaisie sur Norma pour violoncelle seul, op 73
1845 Fantaisie sur le Nozze di Figaro pour violoncelle seul, op 72
1845 Fantaisie sur Richard Coeur de Lion, pour violoncelle seul, op 69
1845 Le Sylphe, romance pour violoncelle seul, op 30
1846 Chants du Crépuscule, 6 pièces pour violoncelle et piano, op 29 : Ballade, L'Adieu, Le Retour, Pas villageois, Sérénade, Souvenir du bal
1846 Marche chinoise, pour violoncelle et piano, ou triangle
1846 Ecole du violoncelle : Trois grands duos concertants, pour 2 violoncelles, op 34
1847 Las Campanillas, pour violoncelle et cloches
1847 Chant d'adieu, pour violoncelle et piano
1847 Cours méthodiques de duos : 6 Duos pour 2 violoncelles, op 49 à 54
1847 Mélodie en si bémol, pour violoncelle et piano
1848 Rêverie au bord de la mer, pour violoncelle et piano, op
1848 Concerto Militaire pour violoncelle et orchestre
1848 Phantasie über Themas aus der Nachtwandlerin, pour violoncelle seul
1848 La Tarantelle, chant sans paroles pour violoncelle et piano
1849 La Course en traîneau, étude-caprice pour violoncelle et piano
1849 Quatuor pour 4 violoncelles
1850 Le Bananier, transcrition de la pièce de Gottschalk pour violoncelle et piano
1850 Harmonies du soir, pour violoncelle et piano, op 68
1850 Les Plaintes de la Châtelaine, rêverie pour violoncelle seul
1850 Réminiscences de la Lucie, pour violoncelle et orchestre
1850 Le Tambour de Basque, pour violoncelle et orchestre
1851 Caprice du Tambourin, sur un thème de Les Mariniers Galants de Rameau, pour violoncelle seul, op 76
1851 Concerto-Rondo (Adagio et Rondo) pour violoncelle et orchestre
1852 Fantaisie sur Robert le Diable, pour 7 violoncelles
1852 Fantaisie facile sur différents motifs, pour violoncelle seul
1852 Fantaisie facile sur Jean de Paris de Boieldieu, pour violoncelle seul, op 70
1852 Fantaisie facile sur Le Barbier de Séville de Rossini, pour violoncelle seul, op 71
1853 Fantaisies caprices pour celle seul : Anna Bolena, Beatrice di Tenda, L'Elisir d'amore, La Dame blanche, Parisina
1853 Gaîtés champêtres, pour violoncelle et piano
1853 Harmonies des Bois (Le Soir - Les Larmes de Jacqueline), pour violoncelle et piano
1853 La Chanson de Berthe pour violoncelle et piano
1854 Fantaisie sur Guillaume Tell, pour violoncelle seul
1854 Danse des sorcières (Hexentanz), pour violoncelle et piano
1854 Romance sans paroles, pour violoncelle et piano
1855 Fantaisie facile et brillante pour violoncelle
1855 Tambourin d'après Rameau pour violoncelle, op 75
1855 20 petites Etudes pour violoncelle et contrebasse, op 77
1855 12 Etudes pour violoncelle et contrebasse, op 78
1862 Réminiscence des Alpes, pour violoncelle seul
Sans date : Chaconne pour violoncelle et piano -


Piano

1836 Les Fleurs d'hiver, suite de valses allemandes
1838 Les Plaisirs du Printemps, quadrille
1841 Les Arabesques, valses
1841 Madeleine, polka-mazurka (revu en 1850)
1842 Les Roses du Bengale, 6 valses
1844 Pièce caractéristique : Andante non troppo
1844 Herminien-Walzer
1844 The celebrated Polka Dance
1844 Souvenirs de Londres, polka
1845 Valse composée au château de Val le 9 août 1845
1847 Berthe, valses
1850 Les Contes de la Reine de Navarre, grande valse
1852 Le Postillon, galop
1855 Les Cinq Soeurs, valses
1855 Décaméron dramatique, album du théâtre français : 10 danses
1857 Polka des mirlitons, pour piano, trompette, et trois mirlitons
1864 Polka du mendiant (Beggars Polka)
1865 Jacqueline, valses
1873 Polka burlesque
1873 Valse triomphale du château de Digoenne
1876 Les Belles Américaines
1876 Burlesque Polka
1877 Valse des Etoiles
Sans date : Cachucha - La Chabrillant, polka - La Fée aux Moissons, polka-mazurka - Kissi kissi, polka -  Parade militaire - Polka de singes - Polkas en mi majeur et en ut - Sum sum, polka - Taxopholite ou Les Refrains du Tyrol, polka-mazurka - Valse à quatre mains - Valse favorite

La Prière de Moïse d'après Rossini, pour piano, 2 violons, et orgue.


Orchestre

1836 Les Amazones, valses
1836 Die Jungfrauen, valses
1837 Brunes et Blondes, valses
1837 Rébecca, valses sur un motif juif de la synagogue
1837 Les Trois Grâces, valses
1843 Ouverture à grand orchestre (dite aussi Ouverture romantique)
1852 Refrains du Tyrol, 3 Ländler (les boules de neige- polka-mazurka- toxopholite)
1860 Schüler- Polka
1863 Abendblätter, valse (Feuilles du soir, ou journaux du soir, ou The Times)
1873 Souvenir d'Aix les Bains, valse
1876 American Eagles Waltz (ou Offenbach Valse, ou Le Fleuve d'or)
sans date :
1876 Offenbachiana, pot pourri
1877 Aus bester Quelle, valse
Sans date : Transcription pour orchestre de Ochsenmenuett de Haydn, et Marguerite au rouet, plainte de la jeune fille, la Poste, le roi des aulnes, Sérénade, Sur l'eau en chantant de Schubert


Danses pour orchestre transcrites pour piano

Décameron dramatique, album du Théâtre Français (1854);
Rachel, grande valse;
Emilie, polka mazurka;
Madeleine, polka villageoise;
Delphine, rédowa;
Augustine, schottisch;
Louise, grande valse;
Maria, polka mazurka;
Elisa, polka trilby;
Nathalie, schottisch du tambourin;
Clarisse, varsoviana
6 singly pubd suites of waltzes (1836–8): Brunes et blondes, Les fleurs d’hiver, Les Amazones, Les jeunes filles, Les trois Grâces, Rébecca
Over 10 singly pubd pieces (1844–76), incl.: Abendblätter, Walzer; Herminie, valse; Les belles américaines, suite de valses; Offenbach valse; Polka burlesque

Après la mise à jour des oeuvres instrumentales (ci dessus) voici les mélodies et chansons :


Cantates et divers

1846 Le Désert (Citrouillard au désert) ode-symphonie pour solistes, choeur et orchestre
1846 Les Moissonneurs, choeur d'introduction et ballade pour soliste et choeur
1848 Le Peuple souverain, chant républicain pour baryton solo, choeur à 5 voix et orchestre
1848 Ständchen, pour ténor, choeur d'hommes et 4 cors (appelé aussi Ständchen, Gedich ou Sérénade)
1856 Le Berceau, cantate dramatique
1856 La Paix du Monde, cantate dramatique


Mélodies

C'est un ange de plus, romance (1837)
Mourir de peur, ballade pour voix de basse et piano (1837)
Si jeunesse savait, chansonnette (1837)
La Fleur de Zirka, mélodie (1838)
Pauvre prisonnier, romance (1838)
La petite pleureuse (1838)
Ronde tyrolienne (voix, piano et hautbois) (1838)
Le Sylphe, romance (voix, piano et violoncelle) (1838)
J'aime la rêverie, romance (1838)
Jalousie ! romance dramatique (1839)
L'Attente (1839)
Rends moi mon âme, romance dramatique (1839)
In grünen Mai pour soprano, choeur d'hommes et orchestre (1840)
L'Arabe à son coursier, pour voix de basse et piano (1842)
L'Aveu du Page, romance (1842)
Dors mon enfant, berceuse (1842)
La Croix de ma mère, chansonnette (1842)
Doux ménestrel, romance (1842)
Six Fables de La Fontaine, cycle pour voix et piano (1842) : Le Berger et la Mer - Le Corbeau et le Renard - La Cigale et la Fourmi - La Laitière et le Pot au Lait - Le Rat des Villes et le Rat des Champs - Le Savetier et le Financier
Virginie au départ, romance dramatique (1842)
Voix de la nuit, romance (collaboration avec Flotow) (1842)
A toi, romance (1843)
Le Moine bourru ou les deux poltrons, duo bouffe pour ténor, basse et piano (1843)
Le Sérénade, trio bouffe (1845)
Le Langage des Fleurs, 6 Romances (1846) : Branche d'oranger - Rose - Ne m'oubliez pas - Marguerite - Eglantine -Pâquerette
Meunière et Fermière, duo bouffe pour deux sopranos et piano (1846)
Le Rendez vous, trio (1846)
Le Réveil, choeur et chanson (1846)
Sarah la Blonde (1846)
Sérénade, avec choeur (1846)
Le Sergent recruteur (1846)
La sortie du bal, canzonetta (1846)
Valse du bal (Voici du bal), chant pour soliste et choeur (1846)
Le Muletier, chanson espagnole (1847)
Silence (1847)
Les Sylphes des Amours (1847)
Venise, barcarole pour voix, choeur d'hommes et piano (1847)
Bürgerwehrlied, pour voix soliste et choeur (1848)
Der deutsche Knabe (1848)
Im grünen Mai (1848)
Lebewohl, herzliebster Schatz (1848)
Leidvolle Liebe, pour ténor et choeur d'hommes (1848)
O bleib bei mir, Vaterländische Lied (1848)
Das Vaterland (1848)
Du Röslein purpurrot (1849)
Si j'étais un petit oiseau, romance (1849)
Sérénade du Torero (1850)
L'Etoile (1851)
Oye!, oye! ah! ah! psst! psst! atchum! atchum!, valse chantée (1851)
Promenade du soir (1851)
Les Voix mystérieuses, 6 Mélodies (1852) : L'Hiver - Chanson de Fortunio - Les Saisons - Ma belle amie est morte - La Rose foulée - Barcarolle
Lieder und Gesänge, cycle de Lieder (1853)
Le Décaméron ou la grotte d'azur, légende napolitaine à cinq voix (1854)
Sérénade (1854)
Béranger à l'Académie (1855)
La Chanson de ceux qui n'aiment plus (1859)
Bibi Bambou, chanson nègre (1860)
La Cigale et la Fourmi (1860)
Dieu garde l'Empereur, hymne pour choeur (1862)
Der kleine Trommler, pour ténor et choeur d'hommes (1863)
Jeanne la Rousse 1864)
La Vieille Chanson (1864)
Ça ne s'est jamais vu, chansonnette (1865)
La Pêche (1865)
Ballade à la Lune (1866)
Valse pour Mademoiselle Désirée (1868)
Hymne (1871)
Dieu sauve la France (1871)
Espoir en Dieu ! pour soprano et choeur à 5 voix (1871)
Dernier Souvenir, ou Valse de Zimmer (1872)
Ronde savoyarde (1873)
Vive la Suisse, pour choeur d'hommes à 4 voix (1873)
Ihr seid so schön wie eines Jünglings Traum, lied (1879)

Sans date :  Absence - Aimons - An Minna - Au pays qui me prend ma belle - Ce noble ami - Ce que j'aime - C'est charmant -C'est la B chevron - Comme une ondine - Cotillon - De ton pays, la plage désolée - Deux Fleurs - Dieu sauve la France - Douce brise du soir (duo) - Duo des deux grenadiers (duo) - L'émir du Bengale - En répétant ce doux refrain - Espère enfant, demain et puis demain encore - Fanchette - Fi des amours - Gardez toujours le coeur fidèle - Hier la nuit d'été - Je suis la bohémienne - J'étais pour être honnête homme - Jobin - Lass mich schlummern - Lève toi - Liebchen, hat dich Schlaf umfangen ? - Lied des deutsche Knaben Minuit - Mon bien-aimé n'est plus - Le mystère de minuit - Nocturne à deux voix (duo) - O du meine Mond - Oui je t'aime - Pablo - Pâquerette jolie - Le Pâtre - Pauvre cocotte - Pedrigo - Près du lac bleu - Qui frappe à la porte ? - Le ramier blessé - Roses et Papillons - Seul dans le monde (valse chantée) - Si j'étais la feuille - Silence - S'il est - Sous la blanche colonnade - Ständchen - Sur la grève (Am Ufer : Notturno nach Heinrich Heine) - Sur l'épine ou sur la rose - Le tambour du collège -La tramontane - Tristesse - Un ange au doux visage - Venez trinquer - Das Voglein singt im kühlen Wald -


Source : http://www.j-o-g.org/index2.html

Si évidemment le principal de l'oeuvre d'Offenbach est l'ensemble des opérettes et autres opéras-bouffes plus quelques opéras tout court et des ballets, le reste est loin d'être négligeable. On en a un aperçu avec ces trois CD que j'ai retrouvés, avec notamment les deux concertos pour violoncelle, d'autres morceaux pour violoncelle, une ouverture à grand orchestre, la valse souvenir d'Aix les Bains...

Un autre aspect d'Offenbach qu'il est intéressant de connaître.








https://www.youtube.com/watch?v=ulq965lUpB4&spfreload=10

Merci à vous, très intéressant tout ça, même si bien sûr, je n'ai pas eu le temps de lire "toute la liste"...
J'ai eu la très agréable surprise de découvrir en fin d'AM sur Brava, le "Grand concerto pour violoncelle et orchestre", dit "Militaire"... Je l'ai trouvé vraiment beau, avec en particulier une très belle part donnée aux solos du violoncelle, soutenu discrètement par les percussions (ça, c'est du grand art.. !), notamment sur l'Andante et l'Allegro final : Grande virtuosité, ce qui ne m'a plus surprise lorsque j'ai lu la bio de Jacques Offenbach ce soir sur Wikipédia -j'ignorais presque tout d'Offenbach, à part bien sûr "les Contes d'Hoffmann" et les opéras-bouffe....
Netherlands Symphony Orchestra, et un magnifique violoncelliste, que l'on entend sur nos chaînes trop rarement :
"Raphael Wallfisch, né à Londres le 15 juin 1953, est un violoncelliste anglais.

Biographie[modifier | modifier le code]

Raphael Wallfisch est né à Londres de parents musiciens, la violoncelliste Anita Lasker-Wallfisch et le pianiste Peter Wallfisch. Guidé très tôt par les professeurs Amaryllis Fleming, Amadeo Baldovino et Derek Simpson, il choisit de se consacrer au violoncelle. Après des études avec le violoncelliste russe Gregor Piatigorsky à la Thornton School of Music de l'Université de Californie, il remporte à 24 ans, le Concours international de violoncelle Gaspar Cassadó à Florence. Il poursuit depuis une carrière internationale et se produit avec plusieurs orchestres. Il est également un invité régulier des festivals à Londres (The Proms), Édimbourg, Aldeburgh, Spolète, Prades, Oslo etSchleswig-Holstein en Allemagne.
Passionné par l'enseignement, Raphael Wallfisch tient des classes de maître partout dans le monde. Il est professeur au Zürich Winterthur Konservatorium et au Royal Northern College of Music à Manchester" (source : Wikipédia).
A noter qu'il joue sur un violoncelle de Jean-Baptiste Guillaume 1865 et un Gennaro Gagliano (!!) de 1760..
Il possède beaucoup de sensibilité et de virtuosité, et je regrette qu'à part Benjamin Britten (of course), et beaucoup de compositeurs anglais..., il n'ait pas plus exploré le répertoire Bach-Mozart-Haydn, mais il a le temps... ( ).
Désolée, je ne veux pas être HS, mais je n'allais pas être sur deux fils (compositeur ET interprète) pour ce même sujet... 


P.S. : Eh oui Joachim, tu avais mis cette vidéo de 43 mn "on line" et j'irais écouter cette version que tu nous as envoyée. Mais vraiment, ce soir, c'était super.

https://www.youtube.com/watch?v=vyXuuJbqBUo

Enfin un peu de fraîcheur merci ! Très sympa et quelle direction -très inspirée !-.
Ah, si seulement la chaîne Classica pouvait nous rediffuser certains Offenbach très réussis en mise en scène, au lieu de nous bassiner avec les mêmes opéras toutes les trois semaines !!! Ils n'ont qu'à aller piocher dans leurs vieux stocks...............

Orphée il devait bien rigoler finalement, aux Enfers......
https://youtu.be/36_CFaCwvpI

Merci pour le cancan d'Orphée aux Enfers.

Orphée aux Enfers est mon préféré des opéras-bouffes d'Offenbach, avec l'autre "mythologique", la Belle Hélène...

La Belle Hélène est pas mal aussi en effet. La Périchole, j'adore. En fait beaucoup d'opérettes d'Offenbach sont très amusantes

"La Belle Hélène", extraits (vidéo 8 mn 46). Mise en scène à Liège en 2014. Je vous en ai pas mal parlé.
Je l'ai vu trois fois, et qu'est-ce-que j'ai ri !!
Magnifique remède à la morosité , regardez-vite !!!
https://youtu.be/ZSA-W-TV830

La vidéo est géniale,ne loupez surtout pas à partir de la 7 mn, la danse des "tralala-itou", avec Paris déguisé qui va partir pour Cythère avec la bénédiction de tous... en particulier du mari............ !!

Vite, qu'on nous rediffuse ça !!

On trouve maintenant cet enregistrement de 1987 (intégral !) avec notamment Jacques Martin dans le rôle de Ménélas. En 1987, c'est la première fois que je voyais la Belle Hélène à la TV, je l'avais naturellement en disque, mais vu avec les personnages, c'était autre chose !



https://www.youtube.com/watch?v=KbcSsa2CPds

C'est clair ! C'est un opéra-bouffe qui nécessite d'être "vu".
Ce qui m'a enchantée dans la version de Liège 2014, c'est que la mise en scène était un peu moderne mais pas trop (vous avez vu les costumes sur la vidéo), et les acteurs-chanteurs ressemblaient physiquement à leur personnage (peut-être Paris pas tout-à-fait jeune premier ! mais bon..comme il est tout le temps déquisé).. (il faut les voir partir à la fin dans leur bateau à moteur soi-disant pour des petites vacances à Cythère..., -Paris donc déguisé en vieux chaperon- avec la bénédiction du bon roi Ménélas et sous les "à bientôt" etc... ! ).......

joachim a écrit:

On trouve maintenant cet enregistrement de 1987 (intégral !) avec notamment Jacques Martin dans le rôle de Ménélas. En 1987, c'est la première fois que je voyais la Belle Hélène à la TV, je l'avais naturellement en disque, mais vu avec les personnages, c'était autre chose !



https://www.youtube.com/watch?v=KbcSsa2CPds

Petite info, si vous cliquez sur le lien, la vidéo est visible contrairement à ce qui est indiqué sur la photo vidéo.

Oui, merci !

Anouchka a écrit:

"La Belle Hélène", extraits (vidéo 8 mn 46). Mise en scène à Liège en 2014. Je vous en ai pas mal parlé.
Je l'ai vu trois fois, et qu'est-ce-que j'ai ri !!
Magnifique remède à la morosité , regardez-vite !!!
https://youtu.be/ZSA-W-TV830

La vidéo est géniale,ne loupez surtout pas à partir de la 7 mn, la danse des "tralala-itou", avec Paris déguisé qui va partir pour Cythère avec la bénédiction de tous... en particulier du mari............ !!

Vite, qu'on nous rediffuse ça !!

La mise en scène à Liège était signée des humoristes Shirley et Dino.


J'avais fait l'impasse sur cette production ... Alexise Yerna en Hélène, non, merci !
J'ai déjà du mal à supporter ses mimiques vulgaires dans un rôle secondaire, alors toute une opérette ; sans compter qu'elle n'a pas du tout la voix du rôle : c'est une contralto.

J'avoue humblement que n'étant pas une spécialiste des voix d'opéras, ça m'a beaucoup plu et j'ai bien ri (c'est vrai que je trouvais qu'Hélène n'était pas vraiment soprane, mais bon...). L'essentiel est le plaisir que j'y ai pris, et à mon avis la mise en scène était réussie !

Comme le spectacle dure quand même presque deux heures, j'irai avec grand plaisir revoir "La Belle Hélène " avec Jacques Martin quand je reviendrai de vacances.
Merci pour l'envoi de cette vidéo Joachim, cela va me rajeunir, car j'ai découvert cette oeuvre à la télé dans cette version-là ! (moi aussi). Je m'aperçois que ce n'est pas excellent côté images, mais bon, c'est cher de restaurer une oeuvre.

Bel Canto a écrit:

J'avais fait l'impasse sur cette production ... Alexise Yerna en Hélène, non, merci !
J'ai déjà du mal à supporter ses mimiques vulgaires dans un rôle secondaire, alors toute une opérette ; sans compter qu'elle n'a pas du tout la voix du rôle : c'est une contralto.

C'est étrange car sur les rares sites de musique classiques/opéras qui font une biographie d'elle, tous l'indiquent comme mezzo-soprano  (Après ça ne m'étonnerait pas non plus qu'ils se copient les uns les autres)

Snoopy a écrit:

Bel Canto a écrit:

J'avais fait l'impasse sur cette production ... Alexise Yerna en Hélène, non, merci !
J'ai déjà du mal à supporter ses mimiques vulgaires dans un rôle secondaire, alors toute une opérette ; sans compter qu'elle n'a pas du tout la voix du rôle : c'est une contralto.

C'est étrange car sur les rares sites de musique classiques/opéras qui font une biographie d'elle, tous l'indiquent comme mezzo-soprano  (Après ça ne m'étonnerait pas non plus qu'ils se copient les uns les autres)

C'est sur les programmes de Liège que je l'ai lu ainsi mais j'avoue ne pas vraiment faire la différence.
Elle a une voix assez stridente et fort abîmée ... je la connais sur scène depuis que je vais à Liège (1983) et de toujours, je lui ai connu une attitude assez vulgaire, tant dans le chant que dans l'attitude.
Je dirais qu'elle n'a pas une voix suffisamment ample et puissante pour Hélène - c'est une honnête chanteuse d'opérette ou de second rôle, sans plus.

Ses attitudes ne me gênent pas plus que ça, mais je t'avoue que je n'ai pas été subjugué par sa voix non plus. Elle manque en effet de puissance et de fluidité. Elle semble même en effet "cassée" par moment. Une voix tout à fait commune en fait.

Mais c'est vrai qu'à la première écoute, même sans être spécialiste, je ne la trouvais pas à niveau. Par rapport à ce qu'on peut entendre ailleurs, le contraste est flagrant.

Maintenant peut être que sur d'autres registres elle s'en tire mieux, je ne sais pas.

Patricia Janečková, née de parents slovaques le 18 juin 1998 (23 ans) en Allemagne, à Münchberg (Bavière), est une chanteuse d'opéra slovaque dont la famille est installée à Ostrava (République tchèque).

Les contes d'Hoffmann - "Les oiseaux dans la charmille"


https://www.youtube.com/watch?v=ybPQKhrQaJ4