Forum sur la musique classique
 
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  L'histoire de la musique de film

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Bel Canto
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MessageSujet: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 13:37

La musique de film, aussi appelée bande originale, est la musique accompagnant un film, dans le but de supporter l'action qu'il présente en en renforçant les accents émotionnels.

La musique de film a fait sa première apparition le 17 novembre 1908. Camille Saint-Saëns fut le premier compositeur de renom à composer une musique spécialement pour un film, film intitulé 'L'Assassinat du duc de Guise', d'André Calmettes et Charles Le Bargy. Du simple pianiste dans la salle obscure aux bandes originales spécialement composées, très vite, la musique devient une composante essentielle de la dramaturgie cinématographique.

Histoire

L'origine de la musique au cinéma
À l'aube du cinéma, le son n'existait pas. Cependant, la projection de film était souvent accompagnée par un piano ou même par un orchestre, pour des raisons multiples : couvrir le bruit du projecteur, rassurer les spectateurs dans le noir, distraire l'oreille, renforcer le découpage mais aussi le lien entre les différentes scènes du film, prolonger la tradition des spectacles "audiovisuels" antérieurs au cinéma muet (spectacles de cirque, de magie, ballet, lanterne magique...). Mais cet accompagnement renforçait aussi le rythme et l'émotion. C'est ainsi qu'en 1909, les films Edison éditent 'Suggestion for Music, un catalogue dans lequel chaque action ou émotion est associée à une ou plusieurs mélodies extraites du répertoire classique. De même, Playing to Picture (W.T. George, 1912), Sam Fox Moving Picture Music Volumes (J.S. Zamacki, 1913), Motion Pictures Moods for Pianists and Organists : A Rapid-Reference Collection of Selected Pieces (Ernö Rapee, 1924) sont des ouvrages musicaux qui classent minutieusement les pièces classiques et les compositions originales. Mais les musiciens jouant pendant la projection d'un film sont exposés à de nombreux problèmes : fluctuations dans la vitesse de déroulement des films, état des copies qui se détériorent très vite, etc. Ceci oblige les musiciens à achever, changer voire sauter précipitamment un morceau. La synchronisation entre le son et les images est un problème majeur au début du siècle.

L'arrivée du son optique
Dès 1903, le Français Lauste, puis l’Américain Lee De Forest tentent de rassembler musique et images sur un même support. C'est en 1923 que les premières démonstrations des Phonofilms de Lee de Forest émergent : l'industrie du cinéma ne réagit pas. En 1926, le procédé Vitaphone, qui enregistre le son sur un disque et le synchronise avec le projecteur est un triomphe, tout comme le célèbre film sonore 'Le Chanteur de jazz' (1927) d'Alan Crosland qui impose par son succès le cinéma parlant. Cinéastes, producteurs et musiciens prennent conscience du rôle de la voix, des bruits et de la musique dans un film.

Les pouvoirs de la musique
Les premières partitions écrites spécifiquement pour le cinéma jouent généralement le même rôle que les morceaux du répertoire classique qu'elles remplacent : elles ne font que soutenir le discours cinématographique, souvent avec emphase. Cette réduction de la musique à une fonction de doublage amènera le compositeur Igor Stravinski à la considérer comme du papier peint.
Petit à petit, la musique brise le cocon de simple accompagnement sonore. Elle dépasse son rôle d'illustration pour apporter une dimension supplémentaire chargée de sens. Au-delà de son apport esthétique, elle devient utile et participe au récit.
C'est la partition de Hans Zimmer qui agit comme révélateur et transforme l'attente du spectateur en véritable angoisse dans le film de guerre 'La Ligne Rouge' de Terrence Mallik. Le thème musical devient même un leitmotiv induisant l'appréhension à lui seul à plusieurs reprises dans le film.
En 1969, le rock fait son apparition dans la musique de film. La bande originale enchaîne les tubes. La commercialisation des musiques de film devient populaire. Les ventes de bandes originales explosent car elles proposent une compilation de morceaux connus.
La musique devient indissociable de l'image et les réalisateurs y accordent une place croissante. Les thèmes musicaux de certains films deviennent de véritables succès populaires. Des collaborations durables s'installent entre metteur en scène et compositeur qui partagent le même univers, la même sensibilité : Steven Spielberg et John Williams, David Cronenberg et Howard Shore, Alfred Hitchcock et Bernard Herrmann, Sergio Leone et Ennio Morricone, David Lynch et Angelo Badalamenti, Tim Burton et Danny Elfman ou Luc Besson et Eric Serra.
Dans les années 1990, la musique de film interagit avec le récit et l'on peut ainsi voir les personnages de 'Magnolia' (Paul Thomas Anderson, 1999) se mettre à chanter alors que le film n'est pas une comédie musicale.
En 1995, cherchant à renouer avec plus de simplicité et de sincérité, le vœu de chasteté du Dogme95 interdit d'utiliser toute musique qui ne ferait pas partie de l'histoire, c'est-à-dire hors-diégèse (elle ne doit pas être rajoutée au montage, elle doit faire partie de la scène : les personnages peuvent l'entendre, on dit alors qu'elle est diégétique).
Bollywood et ses productions représente un cas particulier proche de la comédie musicale, car en outre de la bande-son habituelle, il y a systématiquement des scènes de groupes chantées et dansées qui interrompent la trame de l'histoire, apportant fraicheur et entrain, ou mélancholie et tristesse... Ces passages sont encore plus particulier car ils sont chantés en play-back par des professionnels alors que les comédiens font semblant de chanter à l'écran !

Rapport de la musique au film

Pour Igor Stravinski, la musique était un « papier peint » pour le film ; il signifiait par là que la musique devait supporter l'image et l'histoire, mais ne pas prendre le pas. Dans les films musicaux, au contraire, la musique est souvent un facteur prépondérant puisque c'est elle qui guide le rythme du film : la diction (chant) des acteurs, leurs mouvements, les mouvements de caméra…
La musique est souvent le « parent pauvre » du film. Les réalisateurs et les producteurs sont conscients de son importance, notamment de l'émotion qu'elle peut susciter chez le spectateur, des pleurs associés aux violons à l'excitation d'une musique saccadée avec un son saturé, en passant par l'inquiétude, l'angoisse ou l'inconfort d'une musique dissonante. La musique est un des signifiants du cinéma. Mais souvent, elle ne fait pas partie de l'élaboration du film et est commandée sur une fin de budget, le compositeur devant s'arranger avec le film déjà monté.
Dans certains cas, le réalisateur est guidé par une musique, une chanson, un morceau qu'il a en tête, et qui pourra faire partie ou pas de la musique du film.
On distingue en général deux tendances :
- une bande originale écrite pour le film ;
- l'utilisation de morceaux déjà existants.
Au moment de la sortie en salles ou juste après, la musique d'un film devient en général un produit dérivé, édité sous le nom de « bande originale ».

L'héritage de la musique classique

Il est assez logique de vouloir lier la musique de film à la musique classique, bien que les genres adoptés par les auteurs de musique de film puissent parfois être très différents — par exemple Eric Serra et Bernard Herrmann. Toutefois, lorsque l'on se livre à une comparaison, il apparaît que la construction est très différente. Ainsi, le « classique » dispose d'une relative liberté de construction — même s'il y a des normes telles que le nombre de mouvements dans une symphonie — alors que le musicien de film doit « coller » à la scène, parfois à la seconde près. Une autre différence est la richesse, qui est plus importante dans la musique classique. Les auteurs de musique de film sont souvent tenus à une certaine récurrence voire une certaine redondance. Il faut rappeler que la musique est faite pour illustrer le film et non l'inverse (à quelques exceptions près, notamment la musique de Paul Dukas reprise dans Fantasia). Ainsi, la même phrase musicale peut être déclinée de différentes manières tout au long du film, souvent avec des instruments différents. On se souviendra par exemple du thème du film Les tontons flingueurs' de Michel Magne, décliné version « grand siècle », mais également « yéyé années 1960 » et avec un banjo, lors du très fameux « bourre-pif » asséné à — Bernard Blier par Lino Ventura.

Certains des compositeurs de musique de films ont été simultanément des compositeurs de symphonies, de concertos et/ou de ballets — Igor Stravinski, Jerome Moross, Arthur Honegger, Aaron Copland etc.. Comme tels, ils ont été classés comme musiciens classiques. Pour les autres, il est indéniable que la plupart d'entre eux, souvent de par leur formation classique — ainsi par exemple Georges Delerue fut l'élève de Darius Milhaud —, ont été influencés par les morceaux du répertoire classique. D'où certaines filiations que le mélomane n'aura aucun mal à reconnaître en écoutant attentivement certaines musiques de film. Elles constituent une sorte d'hommage aux classiques.

source : wikipedia
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Bel Canto
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 13:55

 L'histoire de la musique de film Hanszi12 Hans Florian Zimmer est un compositeur de musiques de films, né le 12 septembre 1957 à Francfort (Allemagne). Naturalisé américain, il vit désormais à Los Angeles.

Jeunesse
Dès l'âge de trois ans, Hans Zimmer se met à étudier le piano, mais l'expérience ne dure que deux semaines. Il n'étudie donc pas le solfège, et apprend la musique de manière autodidacte. À l'adolescence, il s'intéresse à la musique électronique, et quitte l'Allemagne pour s'installer en Angleterre à l'âge de 22 ans, en 1979. Il écrit des jingles pour le studio Air Eidel (où il rencontrera plus tard notamment Patrick Doyle et ses assistants d'alors, John Powell et Gavin Greenaway) et intègre le groupe des Buggles, lancé par Trevor Horn et Geoff Downes, mondialement célèbre pour le titre Video Killed the Radio Star (Zimmer fait d'ailleurs une apparition à la fin du clip vidéo, derrière un clavier). Hans se lance également dans la musique électronique avec Warren Cann, membre du groupe Ultravox.

Débuts
Zimmer fait également connaissance en ce début des années 1980 au Snake Ranch Studio avec Stanley Myers, Nick Glennie-Smith et Richard Harvey (dont les assistants ne sont autres que les frères Rupert et Harry Gregson-Williams). Devenant l'assistant de Myers, Zimmer commence à travailler en 1982 sur le film Travail au noir, qui marque le début d'une longue collaboration entre les deux hommes sur des films comme Castaway de Nicolas Roeg ou My Beautiful Laundrette de Stephen Frears. Il commence à composer seul sur le film Un monde à part de Chris Menges. Cette composition attire l'attention de Barry Levinson, qui l'engage pour son film 'Rain Man'. Zimmer quitte donc l'Angleterre pour s'attaquer à Hollywood. Premier coup réussi, ''Rain Man' marque l'entrée tonitruante du compositeur sur le sol américain avec une nomination aux Oscars.

Media Ventures
Dès son arrivée aux États-Unis, en 1989, Zimmer fonde à Santa Monica un studio avec son ami Jay Rifkin qui révolutionnera les méthodes de composition de la musique de film : Media Ventures. Son objectif est de permettre à de nouveaux compositeurs (venant notamment d'Europe, comme Zimmer lui-même) d'avoir accès à un matériel de haute qualité pour pouvoir percer dans la musique de film. Zimmer veut offrir la même chance aux inconnus que celle que Levinson lui a offerte avec 'Rain Man'. Il s'entoure alors de nombreux compositeurs et techniciens pour l'aider à mettre en place son studio, comme Mark Mancina, Nick Glennie-Smith, Christopher Ward, John Van Tongeren, Jeff Rona, Bruce Fowler ou encore Shirley Walker.

Ascension
Les propositions pleuvent après le succès de Rain Man. Zimmer s'attaque donc à un style qu'il n'avait pas eu l'occasion d'expérimenter en Angleterre : le film d'action. Il débute sur le film 'Black Rain', qui marque le commencement d'une longue entente avec Ridley Scott (1989), et enchaîne avec son frère Tony Scott sur 'Jours de tonnerre'. Si ces compositions ne se sont pas très bien passées avec la production, et si Zimmer lui-même pense que le résultat est plutôt mauvais, le nom du compositeur allemand résonne de plus en plus dans Hollywood. Il enchaîne les projets comme 'Backdraft' de Ron Howard (1991), ou les films de John Badham : 'Comme un oiseau sur la branche' (1990) et 'Drop Zone' (1994). Moins commercial, Zimmer ne se consacre pas seulement à l'action et compose pour des films comme 'La Puissance de l'ange' de John G. Avildsen, 'Fenêtre sur Pacifique' de John Schlesinger ou 'Radio Flyer' de Richard Donner.
Situation curieuse pour lui en 1991, on lui demande de réécrire le score de 'Croc-Blanc' pour remplacer celui de Basil Poledouris. Finalement peu convaincus, les producteurs vont sélectionner les meilleures pistes composées par Poledouris, Zimmer, Shirley Walker et Fiachra Trench (John Powell est présent sur ce travail). Franc Roddam demande cette même année à Zimmer de composer la musique de son film 'K2, mais elle n'est finalement utilisée que dans la version européenne du film.

La consécration
1994 marque un tournant dans sa carrière. Il compose pour son premier film d'animation, 'Le Roi lion', et remporte son premier et unique Oscar à ce jour, mais aussi un Golden Globe et un Grammy Award. En 1995 il compose pour Jerry Bruckheimer et Tony Scott - non sans difficulté - la bande originale de 'USS Alabama' (avec l'aide notamment de Nick Glennie-Smith), qui fera marque dans l'histoire des films d'action hollywoodiens, pour son alliance entre musique électronique, orchestrale, et l'utilisation impressionnante des chœurs (dirigés pour l'occasion par Harry Gregson-Williams, venant à peine d'intégrer le studio Media Ventures). La petite histoire veut que cette musique ait énormément plu à Steven Spielberg - Zimmer n'a jamais pu le confirmer - qui lui a ensuite donné les clés de la direction musicale de son nouveau studio DreamWorks SKG .

Les critiques
Zimmer devient la cible de nombreuses critiques. Il est accusé d'être crédité compositeur principal sur des œuvres dont il n'est pas l'auteur. Il est notamment crédité comme co-compositeur avec Harry Gregson-Williams de 'The Whole Wide World' (1996) et 'Smilla' (1997), ou encore comme compositeur de 'Millennium' (1992), en réalité de Mancina alors qu'il n'a finalement fait que superviser ces œuvres. Il plaide volontiers coupable et explique qu'il est plus facile de vendre une composition créditée Hans Zimmer plutôt qu'un inconnu.
Autre malentendu, la bande-originale de 'Rock', souvent associée à Zimmer, alors que celui-ci n'a fait que remplacer quelques thèmes principaux de Nick Glennie-Smith qui avaient été rejetés. Refusant de s'octroyer le travail d'un autre, Glennie-Smith a insisté pour que Hans Zimmer et Harry Gregson-Williams soient crédités comme co-compositeurs.

Fin des années 1990
Par la suite l'alternance entre scores d'actions et de comédie continue, avec notamment en 1997 le premier film des studios DreamWorks 'Le Pacificateur' de Mimi Leder et Pour le pire et pour le meilleur de James L. Brooks. Grâce à son studio, Zimmer permet à ses collaborateurs de composer pour de grosses productions. Il laisse sa place à Jeff Rona pour Lame de fond de Ridley Scott mais surtout il lance John Powell, fraîchement débarqué d'Angleterre à Media Ventures, sur le blockbuster de John Woo Volte-face.
En 1998 il s'attaque à l'une de ses pièces maîtresses, 'La Ligne rouge', de Terrence Malick, film pour lequel il compose pas moins de six heures de musiques et reconnu par beaucoup comme le chef-d'œuvre du compositeur allemand. Il met en musique également le dessin-animé au sujet bouillant de DreamWorks, 'Le Prince d'Égypte', cette même année. Tous les films d'animation du studio seront ensuite confiés à Zimmer ou a son équipe, notamment Harry Gregson-Williams, John Powell ou encore Rupert Gregson-Williams.

La relève
À la fin des année 1990 et au début des années 2000 la Media Ventures Team se renouvelle autour de Zimmer. Nick Glennie-Smith, Harry Gregson-Williams, Mark Mancina, Jeff Rona ou Justin Caine Burnett prennent leurs distances avec le studio, veulent s'émanciper de Zimmer. Arrivent dans la nouvelle génération Klaus Badelt, Ramin Djawadi, Steve Jablonsky (via Harry Gregson-Williams), Heitor Pereira, James Michael Dooley, Trevor Morris, Henning Lohner, Clay Duncan, Lorne Balfe, James S. Levine, Blake Neely ou encore Mel Wesson.

Gladiator
Zimmer connaît son plus gros succès commercial avec le film Gladiator de Ridley Scott où il s'associe la chanteuse australienne du groupe Dead Can Dance Lisa Gerrard ainsi que Klaus Badelt.
La bande originale du film est un des plus gros succès du genre. La même équipe s'occupe en cette année 2000 de 'Mission Impossible 2' de John Woo dans l'urgence.
Le succès de Gladiator' renforce la collaboration entre Zimmer et Scott. Les deux travaillent de nouveau ensemble sur des styles très différents les uns des autres : 'Hannibal' - accompagné notamment par Badelt et le compositeur irlandais Patrick Cassidy - puis 'La Chute du faucon noir' (2001) et 'Les Associés' (2003).

Remote control
Après des différends entre Rifkin et Zimmer, ce dernier accusant Rifkin d'avoir détourné des fonds, le compositeur allemand quitte Media Ventures pour créer sa propre maison de production, le studio Remote Control Productions, non sans débaucher quelques compositeurs de Media Ventures.

source : wikipedia

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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 14:06

 L'histoire de la musique de film Jerryg10 Jerry Goldsmith, de son vrai nom Jerrald K. Goldsmith, est un compositeur américain né le 10 février 1929 à Los Angeles en Californie et mort le 21 juillet 2004 à Beverly Hills. Goldsmith a été nommé dix-huit fois aux Oscars et neuf fois aux Golden Globes, et à remporté quatre Emmy Awards. Il a travaillé dans une large variété de films et des genres de télévision, mais ils est plus en évidence associé à l'action, le suspense et des films de science-fiction et/ou horreur.

Formé à la composition classique, il était un musicien érudit, exigeant, volontiers moderniste, empruntant parfois son inspiration aux grands compositeurs du XXe siècle et intégrant dans ses œuvres les innovations de la musique contemporaine. Il faisait figure de musicien d'avant-garde à Hollywood.

Cette carrière, étalée sur plus de cinquante ans et près de 300 oeuvres, se partage entre bandes originales de longs métrages et de séries télévisées. Des classiques parmi lesquels la musique de 'La Planète des singes', 'Alien', 'Le huitième passager', 'Star Trek' (le film), 'Basic Instinct', 'Chinatown', 'Total recall', ou encore 'La Malédiction', qui lui fit remporter l'Oscar en 1977. Dans les années 90, il travaille sur 'La Momie', 'L' Homme sans ombre' ou encore 'Les Looney Tunes' passent à l'action, sa dernière contribution.

sources : wikipedia et allocine

un site : http://www.jerrygoldsmithonline.com/

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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 14:12

 L'histoire de la musique de film Michae10 Michael Kamen est un compositeur de musique orchestrale né à New York aux États-Unis le 15 avril 1948 et décédé le 18 novembre 2003.

Il a étudié dans la prestigieuse école de musique de Juilliard à New York où il a appris le hautbois.

Il est rapidement devenu chef d'orchestre. C'est un des musiciens qui a le mieux réussi à marier la musique classique et rock.

Il a collaboré avec Pink Floyd sur l'album The Wall, mais aussi avec Sting, Eric Clapton, David Bowie, Kate Bush, Bryan Adams, Queen, Eurythmics, Queensryche, Metallica, Rush, Herbie Hancock, Aerosmith ou encore Lenny Kravitz.

Kamen a écrit onze ballets et a composé aussi de nombreuses bandes originales de film comme 'Brazil, 'Highlander', 'X-Men', 'Robin des Bois : Prince des voleurs', 'Permis de tuer', 'L'Arme fatale, la série des 'Die Hard' et beaucoup d'autres. Il a aussi composé la musique des séries TV produites par HBO 'Band of Brothers' et 'De la Terre à la Lune'. En 1991, il a travaillé avec Metallica sur le Black Album (Nothing else matters) et en 1999 sur le concert symphonique d'où est tiré l'album S&M.

En 1998, Michael Kamen publie un concerto pour guitare électrique dont le soliste est le guitariste japonais Tomoyasu Hotei

Michael Kamen a été nommé deux fois aux Oscars et a remporté 4 Grammy Awards, 2 Golden Globe Awards, 2 Ivor Novello Awards, un Annie et un Emmy Award.

Son rôle dans 'Professeur Holland', dans lequel un compositeur frustré s'accomplit comme un professeur de musique, a poussé Kamen à créer The Mr Holland Opus Foundation en 1996. La fondation soutient l'enseignement de la musique à travers la donation d'instruments de musique neufs ou usagés, pour les étudiants américains. En 2005 la fondation a créé un fond d'aide pour les écoles et les étudiants victimes de l'ouragan Katrina.

Il souffrait d'une sclérose en plaques. Il mourut d'une crise cardiaque dans son appartement londonien, laissant seules, sa femme, Sandra Keenan-Kamen et deux filles, Sasha et Zoé.

Il travaillait sur l'album de Kate Bush Aerial, sorti en novembre 2005.

source : wikipedia

un site : http://www.michaelkamen.com/

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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 14:30

 L'histoire de la musique de film Glenie10 Nick Glennie-Smith est un compositeur de musique de film né à Londres en Angleterre le 3 octobre 1951. Il rejoint la Media Ventures Team en 1992. Dorénavant, il n'y travaille que ponctuellement et reste en de très bon termes avec l'équipe de Hans Zimmer.

En 2002, Nick Glennie Smith signe la musique du spectacle "La Cinéscénie" du Puy du Fou (Vendée, France) et 2005 il compose la musique du Grand Parc du Puy du Fou.

Quelques films parmi sa nombreuse filmographie :

- Les Simpson - Le Film de David Silverman (musique de Hans Zimmer) (musiques additionnelles et chef d'orchestre)
- Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde de Gore Verbinski (musique de Hans Zimmer) (musiques additionnelles et chef d'orchestre)
- Pirates des Caraïbes : Le secret du coffre maudit de Gore Verbinski (musique de Hans Zimmer) (musiques additionnelles)
- Da Vinci Code de Ron Howard (musique de Hans Zimmer) (musiques additionnelles, direction des chœurs et arrangements)
- Pirates des Caraïbes : La malédiction du Black Pearl de Gore Verbinski (musique de Klaus Badelt) (musiques additionnelles)
- Nous étions soldats de Randall Wallace
- Mission : Impossible 2 de John Woo (musique de Hans Zimmer) (musiques additionnelles)
- L'Homme au masque de fer de Randall Wallace
- Le Roi lion 2 : L'Honneur de la tribu de Darrell Rooney (film vidéo)
- Rock de Michael Bay
- Neuf mois aussi de Chris Columbus (musique de Hans Zimmer) (musiques additionnelles)
- Le Roi lion de Roger Allers (musique de Hans Zimmer) (orchestrateur)
...

source : wikipedia

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Snoopy
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 14:42

Michael Kamen a de faux airs a Demis Roussos je trouve  L'histoire de la musique de film 231625
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 14:48

 L'histoire de la musique de film 573px-10 John Towner Williams est un compositeur, chef d'orchestre et pianiste américain, né le 8 février 1932 à New York, États-Unis. Il est principalement connu pour ses musiques de films. On lui doit le renouveau des bandes originales symphoniques avec ce qui reste son œuvre la plus célèbre, la musique de la saga 'La Guerre des étoiles'. Il a souvent collaboré avec Steven Spielberg et George Lucas. Dans une carrière qui s'étend sur six décennies, Williams a composé un grand nombre des plus célèbres musiques de films à Hollywood, l'histoire, y compris 'Star Wars', 'Superman' et 'Harry Potter. En outre, il a composé la musique de quatre Jeux olympiques, NBC Nightly News, la cérémonie d'investiture du président Barack Obama, et de nombreuses séries télévisées et de pièces de concert. Il a servi en tant que principal chef d'orchestre du Boston Pops Orchestra de 1980 à 1993, et est aujourd'hui le chef d'orchestre, lauréat de l'orchestre. Williams est cinq fois vainqueur de l'Academy Award. Il a aussi remporté 4 Golden Globe Awards, 7 BAFTA Awards et 21 prix Grammy. Avec 45 nominations des Academy Award, Williams est, avec le compositeur Alfred Newman, la deuxième personne désignée après Walt Disney. Il a été intronisé en Hollywood Bowl Hall of Fame en 2000, et a été récipiendaire du Kennedy Center Honors en 2004.

Formation

Fils d'un percussionniste, pour CBS Radio et dans le Raymond Scott Quintet, il découvre très tôt la musique et dès quinze ans mène déjà son propre groupe de jazz et s'essaie à l'arrangement ; déterminé à faire carrière, il crée à 19 ans sa première œuvre, une sonate pour piano.
Il rejoint l'UCLA et le Los Angeles City College ; il étudie l'orchestration avec Robert van Eps, de la MGM, et auprès de Mario Castelnuovo-Tedesco, et profite de trois ans à l'US Air Force pour diriger. Il suit ensuite l'enseignement de Rosina Lhevinne, à la Juilliard School, afin de perfectionner ses talents de pianiste. Il vit alors de ses cachets de pianiste de jazz, mais elle l'encourage à se consacrer à l'écriture. Il retourne dès lors à Los Angeles.
À Hollywood, il commence comme pianiste de studio, et il accompagne des séries TV - comme 'Peter Gunn' (1958) - ou des films, comme 'South Pacific' (1958), 'Some Like It Hot' (1959), 'The Apartment' (1960) et 'To Kill a Mockingbird' (1962). Il se lie d'amitié avec Bernard Herrmann, le compositeur d'Hitchcock. À 24 ans, il intègre l'équipe d'arrangeurs de la Columbia, puis de la Twentieth Century Fox où il travaille pour Alfred Newman et Lionel Newman, Dimitri Tiomkin, Franz Waxman, et d'autres compositeurs de l'Âge d'Or. Parallèlement, il travaille avec Vic Damone, Doris Day, et Mahalia Jackson, et rencontre Barbara Ruick, actrice et chanteuse qu'il épouse.

Les débuts du compositeur

Son travail d'arrangeur lui ouvre les portes de l'écriture, et il commence à composer pour la télévision : 'Checkmate' (1960), 'Alcoa Premiere' (1961), 'Gilligan's Island' (1964), 'Lost in Space' (1965), 'Land of the Giants' (1968), et surtout 'Heidi' (1968) et 'Jane Eyre' (1970), qui lui vaudront d'être récompensé aux Emmy Awards.
Il passe au cinéma, avec 'Daddy-O' (1959) et 'Because they're Young' (1960), ce qui le confine pour un temps aux comédies. Mais grâce à William Wyler et son How to Steal a Million (1966), il s'ouvre les portes de projets plus ambitieux. Il continue pourtant les arrangements, et gagne son premier Oscar en 1971, pour son adaptation de 'Fiddler on the Roof' (1971).

Le compositeur

Il consacre alors les années 1970 aux films catastrophes : 'L'Aventure du Poseidon' (The Poseidon Adventure, 1972), 'Tremblement de terre' (Earthquake, 1974) et 'La Tour infernale' (The Towering Inferno, 1974). Toutefois, c'est son travail particulièrement innovant sur 'Reivers' (The Reivers, 1969) et 'Images' (1972) qui impressionne Steven Spielberg, lequel prépare alors son premier film, 'Sugarland Express' (The Sugarland Express, 1974).
Avec 'Les Dents de la mer' (1975), qui lui fait gagner son deuxième Oscar de la meilleure musique de film, Williams devient un compositeur de premier plan ; les deux hommes ne se sépareront plus, établissant la plus formidable équipe du cinéma.
En 2005, cette association totalisait 12 films parmi les 100 plus grands succès (21 pour Williams, qui totalisait 11 des 30 plus grands succès).

Star Wars

George Lucas envisageait, pour 'Star Wars', de recourir à une bande originale proche de celle de 2001 : l'odyssée de l'espace, à savoir une collection de morceaux préexistants ; il pensait que seules des œuvres classiques pouvaient convenir au genre de la saga épique. À l'image de 2001, il avait songé à un film quasi muet, idée que l'on retrouve dans sa mise en scène, mais Steven Spielberg put le convaincre d'utiliser les talents de Williams. Le conseil fut bon, puisque la bande originale, la meilleure vente jamais réalisée d'une musique de film, transfigure complètement le film : réalisé avec peu de moyens, des acteurs parfois peu convaincants voire réticents (Sir Alec Guinness détestait ouvertement son rôle d'Obi-Wan Kenobi, dont il qualifiait les lignes de banales), des effets spéciaux spectaculaires pour l'époque, le film remporte un succès mondial, en partie grâce à John Williams.

Lucas était attaché à son idée de départ d'œuvres classiques. Il demande à Williams de s'inspirer de Felix Mendelssohn, Piotr Tchaïkovski, Gustav Holst et surtout Richard Wagner : l'affaire tombe à pic, puisque Williams, alors que l'époque est au rock et à la musique expérimentale, a déjà réintroduit dans ses propres productions le concept du leitmotiv, développé par Wagner et qui avait investi les musiques des films de l'âge d'or (Erich Wolfgang Korngold, Miklós Rózsa, Max Steiner), avec Les Cowboys (The Cowboys, 1972), la Tour infernale (The Towering Inferno, 1974), Les Dents de la mer (Jaws, 1975) par exemple.

Avec toutes ces références, Williams compose un véritable chef-d'œuvre, et la musique prend une place prépondérante, interagissant avec les images, appelée parfois à soutenir l'action et à préparer le spectateur avant celle-ci (The Asteroid Field), à créer l'émotion (avec l'incrustation du thème de la Force dans Binary Sunset) ou des atmosphères (avec les trompettes de Imperial March)… Le compositeur déploie et module ses thèmes, les assemble ou les confronte pour figurer au mieux les événements relatés à l'écran.

L'homme des succès

Les cinq ans qui suivent sont marqués par sa musique toujours grandiose et cuivre : 'Furie' (The Fury, 1978), 'Superman' (1978), 1941 (1979), 'Les Aventuriers de l'arche perdue' (Raiders of the Lost Ark, 1981). Une expérience, 'Heartbeeps' (1981), échoue.

Avec 'E.T. l'extra-terrestre' (E.T.: The Extra-Terrestrial, 1982), Williams obtient son quatrième Oscar. Il travaille sur 'La Rivière' (The River, 1984), 'Empire du soleil' (Empire of the Sun, 1987), 'Voyageur malgré lui' (The Accidental Tourist, 1988), et 'Né un 4 juillet' (Born on the Fourth of July, 1989). En parallèle, il retourne à la télévision. Il continue bien sûr à travailler avec Spielberg : 'Twilight Zone The Movie' (1983).

Attiré par une retraite bien méritée, il se fait plus rare, d'autant qu'il vient d'achever 'Jurassic Park' (1993) et une grande partition, 'La Liste de Schindler' (Schindler's List, 1993). Mais son travail trouve un regain d'intérêt (il se voit parodié dans 'Les Simpson' (1989)), et il reparaît avec deux 'Maman, j'ai raté l'avion' (Home Alone 1&2, 1990, 1992), 'JFK' (1991), 'Nixon' (1995), 'Sleepers' (1996), 'Sept ans au Tibet' (Seven Years in Tibet, 1997), 'Il faut sauver le soldat Ryan' (Saving Private Ryan, 1998), 'Les Cendres d'Angela' (Angela's Ashes, 1999), et enfin 'La Menace fantôme' (Star Wars: Episode I - The Phantom Menace, 1999).

Il renonce alors à ralentir la cadence. Sa collaboration avec Spielberg et Lucas s'intensifie : 'A.I. Intelligence artificielle' (Artificial Intelligence: AI, 2001), les derniers 'La Guerre des Etoiles' (Star Wars: Episode II - Attack Of The Clones, 2002 et Star Wars: Episode III - The Revenge Of The Sith, 2005), 'Minority Report' (2002), 'Arrête-moi si tu peux' (Catch Me If You Can, 2002), et le quatrième 'Indiana Jones'.

Comme ceux de beaucoup de grands compositeurs classiques, les thèmes de John Williams se caractérisent à la fois par leur évidence et par leur (apparente) simplicité. John Williams a toujours beaucoup aimé et pratiqué le jazz, et l'on retrouve le dynamisme propre à ce genre de musique dans nombre de ses partitions, y compris dans Star Wars.

Son ultime collaboration avec Lucas, 'Revenge of the Sith' (2005), qui marque la fin de la Saga, introduit une tonalité sombre cadrant bien avec l'intrigue tragique de ce film. Certains morceaux s'apparentent à des lamentations : l'orchestre, plutôt que de condamner la "trahison" d'Anakin Skywalker, pleure sur son tragique destin et sur celui de tous ceux qui vont connaître le malheur par sa faute.

Avec John Barry, Jerry Goldsmith, Ennio Morricone, ou encore Elmer Bernstein, il a grandement contribué à populariser l'usage de l'orchestre symphonique dans la musique de film ; ses œuvres en ont d'ailleurs fait un genre musical majeur.

Harry Potter

Aujourd'hui, il se tourne plus vers ses œuvres concertantes et symphoniques, d'autant qu'il a arrangé son travail pour Harry Potter. Il a composé la bande originale de 'Harry Potter à l'école des sorciers' (2001), 'Harry Potter et la Chambre des secrets' (2002) et plus sombre, 'Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban' (2004) . Il laissa la place à Patrick Doyle pour 'Harry Potter et la Coupe de feu' (2005), et à Nicholas Hooper pour 'Harry Potter et l'Ordre du phoénix' (2007) et 'Harry Potter et le Prince de sang-mêlé' (2009). Il a annoncé son intérêt pour composer le dernier opus de la saga 'Harry Potter et les Reliques de la Mort'.

source : wikipedia





suite du sujet sur J Williams dans la rubrique "compositeur"


Dernière édition par Bel Canto le 2010-04-21, 11:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 14:55

Snoopy a écrit:
Michael Kamen a de faux airs a Demis Roussos je trouve  L'histoire de la musique de film 231625
Hehe
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 14:59

 L'histoire de la musique de film Aila_e10 Danny Elfman ou Daniel Robert Elfman est un compositeur américain de musique de films, né le 29 mai 1953 à Los Angeles (Californie). Il est marié à la comédienne Bridget Fonda et a un fils prénommé Olivier.

Il est le compositeur préféré (et quasi attitré) de Tim Burton dont il aura composé la plupart des livrets parmi lesquels la bande originale de 'Pee-Wee Big Adventure', d''Edward aux mains d'argent' et de l''Étrange Noël de Monsieur Jack', film dans lequel Danny Elfman a par ailleurs prêté sa voix à trois personnages : Jack (pour les chants), Gram (l'un des trois enfants) et le clown. Après trois années de brouille avec Burton liées au tournage de ce film d'animation, il compose la musique de 'Mars Attacks!', puis celle de 'Sleepy Hollow'. Il prête à nouveau sa voix à des personnages dans 'Charlie et la chocolaterie' où il interprète les voix des Oompas Loompas pendant les chants et dans 'Les Noces funèbres' pour la voix de Bonejangles.

Il a composé les thèmes de la série animée télévisée 'Les Simpson' de Matt Groening ainsi que des séries 'Les Contes de la crypte' et 'Desperate Housewives'.

Dans les années 1980, il menait un groupe de rock appelé Oingo Boingo.

source : wikipedia

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Snoopy
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2009-11-18, 15:52

Et voici un lien ou vous pouvez telecharger gratos des centaines de B.O. C'est ICI  L'histoire de la musique de film 231625
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https://musiqueclassique.forumpro.fr
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2010-04-21, 11:29

Bernard Herrmann

> voir la rubrique "compositeur"
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joachim
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2010-04-21, 12:13

Il me semblait bien qu'on avait dit quelque part que la toute première musique de film conservée, c'est celle de Saint Saens pour le film muet "l'assassinat du duc de Guise" de André Calmettes, en 1908. C'est son opus 128.
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MessageSujet: Re: L'histoire de la musique de film    L'histoire de la musique de film Empty2011-06-27, 23:01

J'aime décidément bien les musiques d'Hans Zimmer !



à partir de 2'45 ... la musique vocale !!!  L'histoire de la musique de film 333455  L'histoire de la musique de film 333455  L'histoire de la musique de film 333455
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