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Sujet: Ezio BOSSO (1971-2020) 2012-11-15, 09:28
Ezio Bosso est un compositeur, contrebassiste et chef d'orchestre italien né le 13 septembre 1971 à Torino. Après des débuts dans la musique en France, dès l'âge de seize ans, il commence une carrière solo au sein de divers orchestres en Europe. Durant cette même période, il compose de la musique pour le Théâtre et la Danse, mais sa rencontre avec Ludwig Streicher modifiera nettement sa vie artistique car ce grand maître le pousse à étudier avec lui, à approfondir l'étude de la composition et de la direction d'orchestre à l'Académie de Vienne. Pendant les années 90, il se forge une réputation solide de contrebassiste virtuose. Il se produit en tant que soliste et chef d'orchestre dans le monde entier, à partir du "Carnegie Hall à New York en passant par le "Palacio de Las Bellas Artes à Mexico ainsi que le "Palais des Beaux-Arts" à Bruxelles. Durant cette période, Ezio Bosso donne des cours au Japon et à Paris, fait désormais partie de la vie musicale contemporaine de ces années, auprès de Gérard Caussee, Pierre-Yves Artaud, Laura Chislett, le Quatuor Schidloff. Parallèlement, il continue à faire connaître sa musique dans les théâtres tels que le "Teatro Nuovo" à Naples, dans lequel de grands réalisateurs comme Mario Martone ont fait leurs débuts, la "Maison Baudelaire" à Paris, le Théâtre IRAA de Melbourne en Australie, le Festival de San Arcangelo et surtout le "Teatro di Torino Juvarra" où il mettra en scène son premier opéra Alcina. La même année, il pénètre l'univers du cinéma en composant des musiques pour des films muets dans les musées du cinéma de Turin et de Bologne.
Commence alors pour le compositeur un nouveau défi qui le scelle au monde de l'image. En 1998, sa première musique pour un film moderne de Gianluca Maria Tavarelli, One Love, ouvre sur lui toutes les attentions d'autres cinéastes européens. (très belle musique par laquelle j'ai découvert ce compositeur). En 2003, avec le film de Gabriele Salvatores Je n'ai pas peur!, la partition de Bosso attire l'attention du grand public et de la critique internationale. Ses compositions pour quatuor à cordes qui illustrent merveilleusement le film de Salvatores lui permettent d'obtenir une " invitation spéciale " à la cérémonie des Oscars...à savoir aussi que cette musique est également à l'origine d'une tournée mémorable, qu'elle fait ses débuts au Teatro Regio de Turin à travers l'Italie. Parmi les nombreux prix ravis par le compositeur, il décroche deux fois de suite (un record) Le Prix Flaiano , L' étoile montante IMAIE , les prix pour le meilleur musicien de l'année 2007 de l'association de l'essai de cinéma, et aussi le seul compositeur classique à avoir été récompensé par le "Grammy" italien.
En 2005, une grave blessure à la main gauche le contraint à se concentrer uniquement sur la conduite et la composition. Dans la même année, il fonde, avec des éléments du Quatuor de Turin, éléments anciens du Quatuor Borciani et de jeunes musiciens européens, la Buxusconsort. En 2005, lors de l'enregistrement de son quatuor pour saxophones et le score pour le film "Quo Vadis Baby" à New York, il croise Philip Glass et commence à produire ses œuvres au "M. Glass Studio" avec ses producteurs et techniciens. Il déménage alors à New York pour une période déterminée.
Un Amore/One Love est une partition mélancolique que j'aime beaucoup, en voici un extrait:
https://www.youtube.com/watch?v=NolISrIXsh8
Voici le mouvement final de sa première symphonie intitulée Océans:
Dernière édition par Icare le 2021-09-23, 17:03, édité 2 fois
Icare Admin
Nombre de messages : 17380 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
Au fil des ans, la curiosité d'Ezio Bosso pour d'autres formes d'expression musicale l'amène à collaborer avec de nombreux musiciens et artistes. Entre autres: Pino Daniele , Billy Corgan (Smashing Pumpkins), Gustavo Beytelmann (Gotan Project), l'écrivain Roberto Saviano , le rappeur Lucariello , le peintre Jean Michelle Folon. L'engagement social est aussi un principe constant dans sa production et Bosso collabore et dédie certaines de ses compositions à des associations comme Libera, l'UNICEF, le Projet World Smile. En 2009, il lui est commandé par le Festival de Musiques des Dolomites sa deuxième symphonie intitulée "Sous les voix de l'arbre". En 2009, il reçoit le "Lavagnino Premio" en tant que compositeur de l'année dans le monde de la musique classique et du cinéma. En 2010, il achève la saison symphonique du "Teatro Regio" de Turin , par la réalisation de la première mondiale de sa Symphonie n°1, "Les océans" . Un énorme succès avec quelques minutes à guichets fermés et applaudissements ininterrompus! Toujours en 2010, il dirige la première Italienne de "Icare on the Edge of Time" , un événement de Philip Glass et Bryan Green au "Teatro Carlo Felice" de Gênes, à la tête de l'orchestre Philharmonique '900' dont il est «un consultant pour des projets spéciaux »et à laquelle il est tenu par une affection et estime particulière. En 2011, Ezio Bosso est le premier compositeur non australien à se voir attribué à Melbourne le prestigieux "Green Room Award" , de la meilleure composition avec sa Symphonie N°1 "Les Océans". De nos jours, les critiques et les spectateurs du monde entier considèrent Ezio Bosso comme l'un des représentants les plus significatifs du "nouveau" courant "post" minimaliste, ainsi que comme l'un des compositeurs les plus intéressants de sa génération, s'inscrivant en l'un des dignes héritiers du grand courant minimaliste institué par les maîtres du genre...Glass, Adams, Nyman, Reich, Riley...
https://www.youtube.com/watch?v=46A6hngYFnM
https://www.youtube.com/watch?v=7SGsmMVUkm8
Icare Admin
Nombre de messages : 17380 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
Ezio Bosso est un compositeur et instrumentiste qui m'a très vite intéressé. Ce fut tout d'abord par le biais de sa musique de film, notamment Un Amore qui fut ma première entrée dans son univers. Très récemment, je suis tombé sur un double-cd paru chez "Sony Classical" qui s'intitule The 12th Room pour piano solo, Ezio Bosso en étant aussi l'interprète. Je n'ai pu résister à la tentation (trop forte) de me le procurer. Les occasions d'approfondir ce compositeur ne me sont pas si courantes et celle-ci me fut donc incontournable. De plus, en tant qu'interprète, je connaissais surtout Ezio Bosso en tant que contrebassiste, mais pas comme pianiste. Dans le cas de ce double-album, il y joue beaucoup de ses propres compositions, mais pas seulement: il y joue (à sa façon) les Préludes de l'Opus 28; dans l'ordre d'apparition, les n°6, 20 & 4 de F. Chopin, le Prélude BWV 855a, l'Invention n°2 BWV 773 et le Prélude n°1 - Clavier bien tempéré - BWV 846 de J. S. Bach - ce qui fait que je n'aurai pas totalement quitté Bach après ses concertos par Glenn Gould - In a Landscape de John Cage et enfin Melody from the opera "Orfeo" de C.W. Gluck/G. Sgambati. Ses propres compositions s'intitulent Following, a Bird/Split, Postcards from Far Away: il y en a deux versions, une pour piano et bande magnétique et une pour piano seul - Missing a Part/Emily's Room et, sur le second cd, sa Sonata N°1 in G Minor en trois mouvements, une sonate assez imposante puisqu'elle dépasse les quarante minutes, le troisième et dernier mouvement atteignant à lui seul les 23 minutes! La Sonate est la seule composition qu'il me reste à découvrir sur ce double-cd. J'en attends quelque-chose à vrai dire car j'ai beaucoup aimé le contenu du premier cd. Parfois très doux, souvent langoureux, mélancolique, romantique, avec des moments plus passionnés comme, par exemple, dans Split, Poscards from Far Away, des petits moments extrêmement connus qui me font toujours fondre, comme le "N°4" du Prélude Opus 28 de Chopin ou beaucoup moins célèbres mais qui me font tout autant fondre, comme Emily's Room d'Ezio Bosso. Hâte, désormais, de découvrir cette Sonate n°1!!
Icare Admin
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Eh ben voilà qui est fait! J'ai écouté pour la première fois la Sonate pour piano solo n°1 d'Ezio Bosso par Ezio Bosso et ce fut un superbe moment musical. La sonate se constitue de trois mouvements; __Adagio doloroso - Verso il brio - Con furore - Al tempo primo __Trio: Sospeso - Dolcemente - Con moto - Agitato __Finale - Allegro molto - Calmo - Presto, come una danza Le premier mouvement démarre très mystérieusement sur deux notes, une sur la touche normale du piano, l'autre directement sur les cordes. Un démarrage qui est donc très minimaliste dans un premier temps et qui évolue très lentement, une évolution qui demeure perceptible au demeurant. Une profonde mélancolie s'installe dans cet égrénement de notes, aussi bien par le son produit que par le silence ainsi maintenu et transpercé. C'est à pas lents vers une éclosion certaine et pressentie que la musique gagne en intensité et en accélération. Elle piétine allègrement le silence afin, peut-être, de se saisir d'espoir, de s'extirper de la mélancolie qui l'étreint...En vain...Elle retrouve, comme anéantie, sans volonté de vaincre son propre fatalisme, l'égrénement du début, juste en plus solennel et en plus résigné. C'est une lente agonie qui s'achève dans les entrailles du piano. Le thème du second mouvement sonne plus clair, comme l'émergence à peine timide d'un nouveau romantisme. C'est presque le mouvement d'une vague hospitalière et amoureuse. Une belle mélodie installe sa volupté sur ce va-et-vient dont le caractère séduisant peut éventuellement évoquer le ruissellement du piano de Ludovico Einaudi. Sauf que je sens plus de profondeur et d'intensité chez Ezio Bosso. La musique, dans ce second mouvement, crie son amour de la vie, son amour de l'amour, son amour du temps musical qui s'écoule sous ses doigts hantés, guidés...Sur une touche préparée, une note au son particulier annonce le troisième mouvement, c'est alors un fleuve qui s'émancipe sur des coups percussifs non identifiés, une merveilleuse mélodie qui sacralise le mouvement continu, une pulsation inébranlable que rien ne semble pouvoir arrêter et cette même mélodie, extrêmement solennelle, qui impose sa raison. Mais rien n'arrête le flux et le reflux d'un piano déchaîné. Sa passion est irraisonnée, inaltérable, inextinguible...Une fuite en avant? Une fuite à travers le temps? Une peur du silence qui, tôt ou tard, reprendra le dessus. On retrouvera ce son du début qui se rapproche, dans l'imitaion, d'un instrument oriental, du même genre que celui dont aime aussi se rapprocher Fazil Say dans ses propres compositions pour piano. Puis, la musique s'emballe à nouveau, portant le souffle du romantisme très haut, dans des sphères où il est bon de se mouvoir et de s'émouvoir. La dernière partie où l'on retrouve un piano préparé percussif des plus transcendants, la Sonate d'Ezio Bosso prend alors une allure de danse inattendue, puissante et déterminée. accélération - apothéose, pour moi, c'est l'extase! Orgasmique!
Icare Admin
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Ezio Bosso est un compositeur et instrumentiste qui m'a très vite attiré dans un monde sonore à la fois séduisant et insolent. Je l'ai déjà dit plus haut, peut-être parce que pas uniquement classique dans ses influences, puis aussi parce qu'il privilégie souvent des formations chambristes, même s"il a déjà composé au moins deux symphonies. Sa musique de film fut toutefois ma première entrée dans son univers, notamment Un Amore. Pas plus tard qu'hier soir, j'ai réécouté la première galette du double-cd paru chez "Sony Classical" qui s'intitule The 12th Room pour piano solo, Ezio Bosso en étant aussi l'interprète. Approfondir est une règle d'or et c'est toujours intéressant de saisir ainsi les diverses évolutions de nos impressions, puissent-elles parfois se figer dans le temps. Les occasions d'approfondir ce compositeur ne me sont pas si courantes et celle-ci me fut donc incontournable. De plus, en tant qu'interprète, je connaissais surtout Ezio Bosso comme contrebassiste, mais pas comme pianiste. Dans le cas de ce double-album, il y joue beaucoup de ses propres compositions, mais pas seulement: il y joue (à sa façon) les Préludes de l'Opus 28; dans l'ordre d'apparition, les n°6, 20 & 4 de F. Chopin, le Prélude BWV 855a, l'Invention n°2 BWV 773 et le Prélude n°1 - Clavier bien tempéré - BWV 846 de J. S. Bach, In a Landscape de John Cage et enfin Melody from the opera "Orfeo" de C.W. Gluck/G. Sgambati. Ses propres compositions s'intitulent Following, a Bird/Split, Postcards from Far Away: il y en a deux versions, une pour piano et bande magnétique et une pour piano seul - Missing a Part/Emily's Room. C'est le meilleur moment du cd, dans ce qu'il y a de plus personnel et passionné dans l'approche d'Ezio Bosso, aussi bien la version avec bande que la version pour piano seul.
Icare Admin
Nombre de messages : 17380 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
Je ne vais pas réitérer ce que j'avais déjà écrit plus haut sur sa Sonate n°1 pour piano car je ne peux pas dire que ma seconde impression diverge de la première, que ce soit vers le bas ou vers le haut. Non, il s'agit de la même impression enthousiaste, ni plus ni moins, de celles, comme je l'ai écrit ci-dessus, qui restent figées dans le temps. Inutile donc de me paraphraser. Souvent, la première approche d'une oeuvre m'est relativement "tiède", surtout lorsqu'il s'agit d'une symphonie, sans doute parce que même si j'aime la symphonie ou l'oeuvre pour grande formation symphonique, ça n'a jamais été mon domaine de prédilection. J'ai toujours été davantage et naturellement sensible aux petites et moyennes formations instrumentales dans lesquelles j'ai baigné dès le départ. Le départ d'un cheminement aura toujours une incidence d'orientation sur nos choix et notre parcours, c'est en tout cas quelque-chose que j'ai observé dans ma propre expérience de la musique. Mais au-delà de cette précision d'affinité, je mets toujours un certain temps pour apprivoiser une oeuvre, puisse-t-elle être une oeuvre classique, contemporaine, une musique de film, du jazz ou un opéra. Bien sûr, j'ai vécu des premières écoutes qui furent de véritables coups de coeur - heureusement - des coups de coeur qui se sont confirmés lors des écoutes suivantes; la fameuse Sonate n°1 d'Ezio Bosso est de celle-ci! Plus rares - et là aussi heureusement - furent les coups de coeur d'une première approche démentis par les écoutes suivantes...Eh oui, parfois il m'arrive d'être pris d'enthousiasme pour une oeuvre nouvelle et, lors des écoutes suivantes, je ne comprends plus trop les raisons de cet enthousiasme...Or, avec cette imposante sonate de Bosso, je sais exactement ce qui me fascine, ce qui me bouscule, ce qui m'émeut, me fait frémir. C'est certainement une histoire de sons - pas seulement - mais quand même une histoire de sons, de sonorités, d'un piano qui sait aisément passer du romantisme à la mélancolie et de la mélancolie au percussif/percutant, jusqu'à l'insolite.
Icare Admin
Nombre de messages : 17380 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
J'aime cet artiste et sa musique dont la mélancolie qui en émane prend une nouvelle dimension après ce que je viens d'apprendre:
En 2011, à la suite d'une opération liée à l'ablation d'un néoplasme , il a été frappé par un syndrome neurodégénératif qui ne l'a cependant pas empêché de continuer à jouer, composer et diriger, syndrome qui avait été initialement indiqué à tort par les médias. Depuis le printemps 2017, Ezio Bosso est le témoin et ambassadeur international de l'association Mozart, l'héritage officiel des principes sociaux et éducatifs du maestro Claudio Abbado et de sa fille Alessandra.
https://www.youtube.com/watch?v=H1lyME0zKBA
Icare Admin
Nombre de messages : 17380 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
Depuis l’apparition d’une néoplasie en 2011, Ezio Bosso est handicapé par une dégénérescence neuropathique, initialement diagnostiquée par erreur comme une maladie de Charcot (SLA), qui ne l’empêche cependant pas de diriger dont des orchestres de premier plan comme le "London Symphony Orchestra". (d'après Wikipédia)
Snoopy Admin
Nombre de messages : 31015 Age : 49 Date d'inscription : 10/08/2006
Sa symphonie n° 1 "Océans" per violoncello solista e orchestra
https://www.youtube.com/watch?v=AyiJL6Gj9k0
1. Allegro Giusto "To Plough the wawes (atlantic) 15:39 2. Trio "Nostalgija, an Immigrant song (Arctic) 11:19 3. Scherzo "Oceania (Pacific) 7:22 4. Adagio "White Ocean" (Antarctic) 10:37 5. Cadenza 7:51 6. Landfall, We Unfold (Indian) 12:49
Filarmonia del Teatro Regio di Torino Dir. Ezio Bosso (cello: Relja Lukic)
Ses œuvres
Symphonie n°1 « Océans » pour violoncelle seul et orchestre Symphonie n°2 « Sous les voix des arbres »pour orchestre à cordes Symphonie n°3 « Quatre lettres »pour quatuor à cordes et orchestre Symphonie n° 4 « Alma Mater » pour chœur et orchestre Petite Symphonie for a pair of glasses pour orchestre
Concertos et autres œuvres orchestrales
Concerto pour violon n°1 "ESOCONCERTO" pour violon, cordes et timbales Concerto pour violon n°2 « Oceans » pour violoncelle seul et orchestre (version I, cordes uniquement) Triplo Concerto pour piano, violon, violoncelle et orchestre Fantaisie pour violon et orchestre Adagio pour violoncelle et orchestre Divertimento concertantefl, ob, cl, bsn, orch et piano Domes of Freedomfor Children Choir et orchestre et orchestre de mandolines Angeli 2 pour orchestre Sea Song 2 Sea Prayer pour violoncelle et cordes Sea Song 3 Waves and Hope pour violon, violoncelle et orchestre à cordes Sea Song 6 Isles pour orchestre à cordes Sea Song 8 Fishes speechpour 2 violons et cordes Sea Song 9 sea rain pour PIano (ou violon) et orchestre à cordes Avant la merpour violoncelle et orchestre Ciel africain pour contrebasse et cordes Variations de la signalisation routière pour 11 instruments Entrée pour alto solo, orgue trompette trombone et violoncelle et orchestre La cathédrale dans le désert pour sax soprano et cordes Limitation de vitesse, balade nocturne pour quatuor à cordes et piano Toutes les directions pour saxophone, trompette, trombone, piano, el bass el guit et cordes Fusionner, un câlin de mal pour les cordes Arrêtez, n'arrêtez jamais la résidence pour sax, trompette, trombone, piano, el basse el guitare et quatuor à cordes Exit, Run 44 part 2 pour sax, trompette, trombone, piano, el. basse, él. guitare et quatuor à cordes La voie des 1000 et 1 comète version orchestrale Soirées africaines pour basse solo (alto ou violoncelle) et quatuor à cordes (également orchestre) Ciel africain pour contrebasse et cordes Angeli 3 pour 2 hautbois et cordes Will et la chance pour la voix et l'ensemble Andante pour choeur d'orchestre de piano et "cartes postales" électroniques en direct Chemin de fer indien pour contrebasse et vents My Thay pour orchestre à cordes
Musique de chambre
Sonate « Inconditionnée » n° 1 pour violon et piano Sonate pour piano et violoncelle "Les racines" Sonate pour violon et piano "Les racines" Cadenza pour violon et contrebasse "Nuages" pour violon et piano Duo pour violoncelle et contrebasse Hermanos pour guitare et basse Sonate (Anges 1) pour sax contralto et contrebasse Sonatine pour contrebasse et piano Grains pour violoncelle (alto) et piano Sea Song 1 « Avant la mer » pour violoncelle et piano Sea Song 4 "Anamì" pour violon et piano Introduction à la Patagonie pour contrebasse et percussions Suite (un oiseau) pour violon ou violoncelle et piano Aigre-doux pour violon et piano
Split, cartes postales lointaines pour trio avec piano et électronique live Rain, In your Black eyes pour trio avec piano Diversion pour trio avec piano Les choses qui restent pour le trio de piano Trio No. 4 Trois dessins sur les pas manqués pour trio avec piano La vie que j'aime pour contrebasse, accordéon et piano ZeNo pour violoncelle, flûte et vibraphon Round about pour alto violoncelle et contrebasse Piano Trio No. 1 "No Man's Land" pour trio avec piano Lever du soleil par temps clair Tonnerres et éclairs
Quatuor n°1 (mort de Medoro) Quatuor n° 2 « Quattordici danze per bambini intorno a un buco » pour quatuor à cordes Quatuor n°3 « The way of 1000 and 1 comet » pour quatuor à cordes (AKA Wine Trances) Quatuor n°4 « Les quatre lettres » Quatuor n° 5 « Music For The Lodger »pour quatuor à cordes Le ciel vu de la lune pour quatuor à cordes Le dernier noir pour quatuor à cordes La Gibigianna pour quatuor à cordes Gagarine pour quatuor à cordes One way pour quatuor à cordes Je suis né enfant… pour quatuor à cordes Qui se soucie des airs de Bluebird pour quatuor à cordes Merge, one harm hug pour quatuor à cordes New York Suite pour quatuor de saxophones Mmm ! pour contrebasse, piano, clarinette et percussions Le jeu de la femme photographe pour quatuor à cordes
6 respirations pour 6 (ou 12) violoncelles et piano Sea Song 7 "Deep seas" pour 3 altos 3 violoncelles 2 contrebasses (8 violoncelles) Scherzo pour 4 accordéons Fuga pour percussions Mozart Human Variation pour voix et bande Bach 855a pour piano, chœur et cordes
Piano ou autre instrument seul
Sonate n° 1 en sol mineur, La 12e salle pour piano seul Missing a Part, The Waiting Room G pour piano solo Neige pour piano solo Smiles for Y… pour piano seul Suivre (un oiseau) pour piano solo Split, Postcards From Faraway pour piano seul Doux et amer pour piano seul Concerto pour contrebasse seule Mmdu (Humans) pour contrebasse solo Suite en si mineur pour violoncelle seul Cadenza pour violoncelle seul Sourires oubliés pour violon solo Colloqui con se stesso pour contrebasse seule AmOx pour contrebasse solo Introduction à la Patagonie pour contrebasse solo
Opéras
Orlando 2002 Simone et le mago 2000 Mercuzio 1997 Alcine 1994
Autres Œuvres avec voix
Cross, un Alléluia pour quintette voix et piano Laudate pour 4 sopranos Une berceuse de shakespeare pour choeur Neuf histoires d'humains et d'amour (paroles de Pete Smith et Bosso) pour voix, 6 violoncelles et claviers Placer un quintette pour voix et piano Réconciliation du sommeil pour voix et quatuor à cordes Tu ne seras jamais Lee Marvi n pour voix et quatuor à cordes Nos multiples moi survivent pour quintette voix et piano Réconciliation du sommeil pour voix et quatuor à cordes Je ne suis pas un cygne pour voix, violoncelle et piano Off the handle pour voix, violon et piano Emily real #15 (d'après 15 poèmes d'Emily Dickinson) pour actrice 2 claviers et cordes et guitare électrique Cappotto di legno (D'après un texte de Roberto Saviano) pour rappeur, cordes et el. basse Suite del Regresopour voix solo Air sur la première étoile de la nuit pour trio soprano et piano Hommage a Demetrio pour contrebasse et voix
Musique de Danse
LandForms 2011 (Bonachela, Sydney Dance Company) 6 respirations 2010 (Bonachela, Sydney Dance Company) Nous déplions 2009 (Bonachela, Sydney Dance Company) Le pays du oui et le pays du non (Bonachela, BDC, Southbank) Dans l'heure d'or 2008 (C.Wheeldon San Francisco Ballet) AmOx 2008 (R.Bonachela, Sadlers Wells) Riapertura 2007 (C.Wheeldon, Ballet Boyz, Royal Festval Hall) Tenderhook 2007 (L.Lorent-Scottish Dance Theatre) Moments 2006 (Ballet Boyz, Sadlers Wells) Le corps et la basse 1998 (T.Yap, Art Council Melobuorne) Le souffle du thramp 1997 ( R, Castello, Danse scenen Copenhaghen) Voyageur 1995 (TMRotella, Teatro di Dioniso) 6 novembre 1994 (P. Bianchi Agar) Flautus 1994 (gélose P. Bianchi)
Musiques de film
o Invisibile 2014 Il dolce e l’amaro 2007 The Moon on the Lake 2006 Quo Vadis Baby? 2005 Rosso come il cielo 2004 Io non ho paura 2003 Ribelli per caso 2001 Qui non è il paradiso 1999 Un amore 1998
Pour films muets
The lodger (1926 Alfred Hitchcock) 2006 62 short movies of melies 1995 Die tolle lola 1996 Ecrin du marajah 2004 Il diavolo Zoppo 2004 Voyage sur jupiter 2004 Marriage dans la lune 2004 Tango Tangeles 2004 The man with the camera 1996 Voyage dans la lune 1996 Voyage au Soleil 1995 Voyage en Italie 1995
Courts métrages
Tre vite perfette 2002 L’ospite 2002 Cecchi Gori Cecchi Gori 2001 Will and chance 1998 Una casa poco solida 1995 Svelarsi al silenzio 1989
Icare Admin
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