Sujet: L'opéra à numéro et à développement 2012-08-03, 06:59
Ce sont les dex grandes familles d'opéras, celle à numéros étant la plus ancienne. Numéro voulant dire des scènes complètement séparés avec des musiqus sépares.. L't Italie aurait commencé et suivirent l'opéra fraçai et russe. À mon avis ceux qui ont introduit l'opéra à developpement ce sons les allemands et, le plus grand exposant, c'est Wagner Ttristan c'est du pure développement, des exceptions sont le thème du bateau avant que Tristan rencontre Isolda et le début du tiososième acte où Tristan est agonisant, le thème de la flûte, mais tout converge aud thèmes centraux, l'amour et la mort. L'amour et la Mort sont inséparables, Schreker et Zemlinsky ont suivi la même technique...Loengrin, présente pour l'homme marié une crainte, la marche nuptiale.
A+
martin
joachim Admin
Nombre de messages : 26946 Age : 77 Date d'inscription : 19/08/2006
Sujet: Re: L'opéra à numéro et à développement 2012-08-03, 10:17
myaskovsky2002 a écrit:
Ce sont les dex grandes familles d'opéras, celle à numéros étant la plus ancienne. Numéro voulant dire des scènes complètement séparés avec des musiqus sépares.. L't Italie aurait commencé et suivirent l'opéra fraçai et russe. À mon avis ceux qui ont introduit l'opéra à developpement ce sons les allemands et, le plus grand exposant, c'est Wagner Ttristan c'est du pure développement, des exceptions sont le thème du bateau avant que Tristan rencontre Isolda et le début du tiososième acte où Tristan est agonisant, le thème de la flûte, mais tout converge aud thèmes centraux, l'amour et la mort. L'amour et la Mort sont inséparables, Schreker et Zemlinsky ont suivi la même technique...Loengrin, présente pour l'homme marié une crainte, la marche nuptiale.
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martin
Dis donc, Martin, je pense qu'aujourd'hui tu ne vas pas nous faire remarquer des fautes d'orthographe ou de syntaxe
Sinon, je suis d'accord avec toi : Depuis les baroques jusqu'aux premiers romantiques (en gros de Monteverdi à Weber et les débuts de Wagner), les airs sont séparés par des recitativo secco, voire des dialogues (opéras-comiques), ensuite avec Wagner c'est un développement continu, ce qui occasionne (ce n'est que mon avis) une certaine lassitude, c'est la cas aussi avec le Pelleas de Debussy par exemple.
Invité Invité
Sujet: Re: L'opéra à numéro et à développement 2012-08-05, 20:56
Lassitude? J'adore ça! J'adore tout simplement!... Les goûts ne sont pas à discuter disait un chien qui mangeait de la m... LOL (hihihi). J'adore Wagner, j'aime beaucoup Pelleas, j'adore aussi Schreker et Zemlinsky... Et aussi Korngold