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 Carolyn Carlson

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Snoopy
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Carolyn Carlson Empty
MessageSujet: Carolyn Carlson   Carolyn Carlson Empty2020-04-29, 18:02

Carolyn Carlson, née le 7 mars 1943 à Oakland en Californie, est danseuse, chorégraphe, ainsi que poétesse et calligraphe américaine.

Grande figure de la Nouvelle danse française, elle a joué un rôle central dans la promotion de la danse contemporaine en France et en Italie avec le GRTOP à l'Opéra de Paris et le Teatrodanza à La Fenice. Auteure de plus d'une centaine de pièces, elle est la fondatrice de l'Atelier de Paris-Carolyn Carlson à La Cartoucherie en 1999 et elle a été la directrice du Centre chorégraphique national Roubaix - Nord-Pas-de-Calais. Elle a fondé également la Carolyn Carlson Company, associée au théâtre national de Chaillot de 2014 à 2016.

Née de parents d’origine finlandaise en Californie, Carolyn Carlson commence la danse en suivant les enseignements de danse classique à l'école du San Francisco Ballet et à l'Université d'État de l'Utah.

À Salt Lake City, elle suit les cours de Joan Woodbury, élève de Mary Wigman et pilier de l’enseignement chorégraphique à l’Université d’Utah. Elle découvre le travail de la chorégraphe et pédagogue Anna Sokolow, venue pour créer une pièce avec les étudiants. Cette rencontre lui offre l’occasion d’interpréter son premier solo.

Alwin Nikolais, qu’elle définit toujours comme son maître et qu’elle a rencontré à l’Université d’Utah, ensuite suivi à New York, a profondément influencé sa conception du mouvement, de la lumière et de la musique. La rencontre de Nikolais coïncide avec celle du New York des années soixante. En 1965, Carolyn Carlson rejoint le Nikolais Dance Theater dont elle devient rapidement l’une des principales solistes. C’est là, au sein de la compagnie que Nikolais donne à la jeune chorégraphe la possibilité de développer son propre travail. C’est aussi au sein de la compagnie qu’elle rencontre l'éclairagiste John Davis, qui deviendra l’un de ses complices artistiques pour de nombreuses années. Elle participe à cette époque, avec le danseur Emery Hermans, au film Image, Flesh and Voice, d'Ed Emshwiller (1969)

En 1970, Carolyn Carlson s’éloigne du Nikolais Dance Theater et développe ses propres projets. Quelques mois plus tard, elle part pour la France, accompagnée par John Davis. Là, elle rencontre Anne Béranger qui l’engage dans sa compagnie en tant que soliste et chorégraphe. À l’été 1972, au Festival d'Avignon dans la Cour d'honneur du Palais des papes, elle présente Rituel pour un rêve mort, sa deuxième création pour la compagnie. La pièce, manifeste onirique, la révèle au public français. Pour la chorégraphe, Rituel pour un rêve mort, inspiré de ses lectures avec John Davis de Friedrich Nietzsche, représente une sorte de révélation de son désir de créatrice : une danse définitivement tournée vers la philosophie et la spiritualité

C’est au sein de la compagnie Anne Béranger que Carolyn Carlson rencontre le danseur qui sera son double masculin : Larrio Ekson
Ensemble, ils interpréteront plus d’une trentaine de pièces dans le cadre d’une collaboration qui s’étend sur deux décennies.

En 1973, le directeur de l’Opéra de Hambourg, Rolf Liebermann, invite Nicolas Schöffer, Pierre Henry et Alwin Nikolais à créer Kyldex 1 Carolyn Carlson, conviée à participer au projet, fait la rencontre de celui qui quelques mois plus tard devient l’administrateur général de l’Opéra de Paris. Dans les mois suivant, Carolyn Carlson, accompagnée par Larrio Ekson, crée Red Shift pour la London Contemporary Dance Company. Durant les répétitions, elle reçoit la visite d’Hugues Le Gall qui lui propose de participer à une soirée d’Hommage à Edgard Varèse à l’Opéra de Paris. Poursuivant sa recherche inspirée par Nietzsche, elle prépare durant trois mois avec John Davis le solo Density 21,5 marqué d’une figure à mi-chemin entre l’être humain et l’oiseau

Rolf Liebermann impose, durant l'année 1974, Carolyn Carlson à l’Opéra de Paris en la nommant « chorégraphe-étoile », statut créé spécialement pour elle. Elle rassemble un groupe de danseurs qu’elle conduit avec John Davis et qui devient le GRTOP (Groupe de recherche théâtrale de l'Opéra de Paris), installé dans la Rotonde des Abonnés. Le GRTOP se compose de personnalités telles que Larrio Ekson, Odile Azagury, Dominique Petit, Caroline Marcadé, Anne-Marie Reynaud, Peter Morin et Quentin Rouillier. Par la suite, ils sont rejoints par Malou Airraudo et Dominique Mercy. De 1974 à 1980, de Sablier Prison aux Architectes, le GRTOP est une période de grande créativité pour Carolyn Carlson, marquée par des pièces comme L’Or des fous/Les Fous de l’Or ; X-land ; Wind, Water, Sand ; This, That and the Other, the Beginning and the End ; The Year of the horse. Ce cadre permet à Carolyn Carlson de se consacrer à un travail expérimental au sein de l’Opéra ; travail qui participe à l'essor de la Nouvelle danse française.

En 1976, Carolyn Carlson retrouve brièvement en Finlande pour la création de Kaiku avec le Ballet national de Finlande. La pièce marque la naissance de la danse contemporaine dans le pays, et permet à la chorégraphe de rencontrer Jorma Uotinen qui intègre le GRTOP et l’accompagnera durant plusieurs années. Les jazzmen John Surman et Barre Phillips participent à cette création.
En 1979, elle crée le solo Writings on the wall à l’Opéra-Comique en collaboration avec le metteur en scène Petrika Ionesco. La pièce constitue l’occasion pour elle d’explorer les liens entre danse et théâtre. Ces années sont aussi marquées par une nouvelle rencontre majeure, le compositeur René Aubry avec lequel elle entame une collaboration qui débute au Théâtre des Bouffes du Nord avec Running on the sounds of a thousand stones et se poursuit avec Slow, Heavy and Blue pour le Ballet de l’Opéra. Depuis lors, leurs parcours de créateurs seront liés de Blue Lady à Signes, d’Underwood à Steppe, jusqu’à leurs retrouvailles pour Le Roi penché en 2009, puis Now en 2014.

En 1980, Carolyn Carlson s'installe en Italie, pays où elle a créé l'année précédente, Trio avec Larrio Ekson et Jorma Uotinen à la Scala de Milan.
Italo Gomez, le directeur artistique de La Fenice, l'invite à Venise, met à sa disposition le Teatro Malibran et les moyens de constituer une nouvelle compagnie : le Teatrodanza La Fenice. Avec l’aide de Larrio Ekson et de Jorma Uotinen, Carolyn Carlson fonde un groupe qui compte dans ses rangs une part de ceux qui constitueront la première génération de chorégraphes contemporains italiens : Caterina Sagna, Rafaella Giordano, Luisa Casiraghi, Roberto Castello, Michele Abbondanza, Francesca Bertolli et Giorgio Rossi. Le Teatrodanza La Fenice produit Undici Onde (1981), Underwood (1982) et Chalk work (1983).

Cette période est aussi marquée par son travail avec René Aubry à la création de Blue Lady, solo qui deviendra la pièce la plus emblématique de sa carrière, créée après la naissance de leur fils.

À l’invitation de Gérard Violette et du Théâtre de la Ville, Carolyn Carlson revient à Paris en 1985. Avec une compagnie qui se compose de fidèles du Teatrodanza et de nouveaux venus parmi lesquels Toméo Vergès ou Lari Leong, elle crée trois pièces : Still Waters, Dark et Steppe. Elle répond également à des commandes de ballets : A Time exposure pour le Elliot Feld Ballet sur la musique de Joachim Kühn à New York et Shamrock avec le compositeur Gabriel Yared, pour le Het Nationale Ballet à Amsterdam. Elle participe à la pièce Cosmopolitan Greetings dirigée par Bob Wilson à Hambourg.

En 1989, elle entame une longue série d’improvisations avec des musiciens : John Surman qu’elle retrouve et Michel Portal avec lequel elle collaborera plusieurs années durant.

En 1991, son parcours la ramène vers la Finlande. À l’automne elle crée Maa pour le Ballet de l’Opéra national. La pièce marque sa première collaboration avec la compositrice Kaija Saariaho et sa rencontre avec les danseurs Tero Saarinen et Nina Hyvärinen. Cette période finlandaise se prolonge par deux créations Elokuu et Syyskuu, pour la Helsinki City Theatre Dance Company et Sininen porti pour le Aurinkobaletti au Kaupunginteatteri.

L’année 1993 marque les retrouvailles avec la France et deux créations : le solo Don’t look back pour Marie-Claude Pietragalla et Commedia, spectacle mêlant danse, théâtre et musique, conçu avec Michel Portal pour le Schauspielhaus à Hambourg.

Elle accepte la direction du Ballet Cullberg pour une année. Avec la compagnie suédoise, elle crée Sub rosa en janvier 1995.
En juin, Carolyn Carlson retrouve le public du Théâtre de la Ville pour un nouveau solo majeur : Vue d’ici qui constitue une sorte de second chapitre de la narration débutée avec Blue Lady, douze années plus tôt.

En 1997, elle crée Signes avec le peintre Olivier Debré et René Aubry pour le Ballet de l'Opéra national de Paris. De la rencontre entre la chorégraphe et le peintre nait un ballet porté par les étoiles Marie-Claude Pietragalla et Kader Belarbi. À l’image des productions des Ballets russes de Diaghilev, Signes rassemble une chorégraphe, un peintre et un compositeur de renom à la recherche d’un théâtre total.

En 1998, Carolyn Carlson revient au Théâtre de la Ville pour Dall’Interno, pièce inspirée par la musique de Bob Dylan.

En 1999, Paolo Baratta lui propose la direction artistique de la première Biennale de la Danse de Venise. L’aventure se double de la création d’une école de danse, l'Academia Isola Danza, conduite en collaboration avec Simona Bucci. À Venise, elle chorégraphie des pièces liées à des lieux particuliers de la ville : Light bringers, créé en extérieur au Teatro Verde sur l’Île de San Giorgio Maggiore et J.Beuys song, conçu dans l’immense espace de l’Arsenal. Cette période est aussi marquée par plusieurs solos regroupés en deux programmes Solo Donna et Solo Men. Parmi eux, Man in a room, interprété par Tero Saarinen et inspiré par la peinture de Mark Rothko, constitue une expérience saisissante, une plongée dans la folie créatrice. En 2002, le second séjour vénitien se clôt comme le premier par la création d’un solo Writings on Water.

Parallèlement à l’expérience de Venise, elle fonde en 1999 avec Pierre Barnier, l’Atelier de Paris-Carolyn Carlson à La Cartoucherie, avec le soutien de la Ville de Paris. Outre ses propres masterclasses, Carolyn Carlson convie les plus prestigieux artistes de la scène internationale à enseigner comme Susan Buirge, Meredith Monk, Lucinda Childs, Trisha Brown, Benoît Lachambre ou Josef Nadj…

Soucieuse de rassembler maîtres de la danse, jeunes talents et publics, elle lance en 1999 le festival « June Events » sur un rythme biennal.
Pendant cette même période, elle crée le solo Kan (2001) interprété par Yutaka Takei, qui sera l’un des interprètes clefs de cette période et le trio Tigers in the tea house (2004), fruit de l’inclinaison de la chorégraphe pour l’Orient et le bouddhisme zen en particulier. Quelques mois plus tard, elle revient à Salt Lake City et chorégraphie Down By the River pour la compagnie de Joan Woodbury et Shirley Ririe, puis Wash the Flowers en 2005 pour le Ballet de Luzern.

En 2005, Carolyn Carlson est nommée à la direction du centre chorégraphique national Roubaix - Nord-Pas-de-Calais. En novembre, elle signe Inanna, inspirée par les images de Francesca Woodman et les murs de la ville qu’elle découvre. Quelques mois plus tard elle crée, avec le duo d’artistes visuels Electronic Shadow, le solo Double Vision. La même année, elle chorégraphie If to leave is to remember pour le Ballet de Munich.

L’arrivée à Roubaix correspond, à la constitution d’une nouvelle compagnie Carolyn Carlson, tissée d’anciennes danseuses d’Isola Danza, d’interprètes de l’ex-Ballet du Nord et de danseurs rencontrés par la chorégraphe au cours de ses pérégrinations. Hidden, pièce d’inspiration chamanique sur la musique de Kaija Saariaho, et Eau, ballet écologique et contemporain sur les images d’Alain Fleischer, sont les pièces principales de cette période. Comme au GRTOP ou à Venise, la compagnie constitue une pépinière de jeunes créateurs que la chorégraphe soutient et encourage. En 2005, elle invite Juha Marsalo à chorégraphier Scène d’amour pour la compagnie. En 2008, elle transmet son solo Blue Lady à deux hommes, Tero Saarinen et Jacky Berger.

En 2009, le compagnonnage s’intensifie avec l’accueil d’une compagnie dont l’équipe du CCN a la charge administrative, la compagnie Zahrbat du danseur hip hop Brahim Bouchelaghem. Carolyn compose plusieurs poèmes pour sa création What did you say?, véritable source d’inspiration pour Brahim.

Carolyn crée Le Roi Penché en 2009 également, une pièce pour le jeune public, imaginée à partir d’un conte écrit par Marie Desplechin sur une musique de René Aubry.

En 2010 et 2011, elle dédie deux solos à deux interprètes hors norme, Mandala pour Sara Orselli, danseuse et assistante de Carolyn sur de nombreuses pièces, et Wind Woman pour Céline Maufroid. La même année, Carolyn s’associe à Bartabas avec We Were Horses, pièce dans laquelle danseurs et écuyers dialoguent. En 2012, elle crée Synchronicity, puis en 2013, année prolifique et la dernière en tant que directrice du CCN de Roubaix, trois pièces dont Dialogue with Rothko, un solo hommage au peintre Mark Rothko. Elle chorégraphie également Woman in a room pour la danseuse étoile Diana Vishneva, puis All that falls, pour Céline Maufroid et Juha Marsalo.

En 2014, elle fonde sa propre compagnie, la Carolyn Carlson Company, présidée par Bernard Faivre d'Arcier, dirigée par Claire de Zorzi – qui accompagne la chorégraphe depuis 2001 –, et accueillie en résidence au théâtre national de Chaillot de 2014 à 2016.

Très inspirée par l’œuvre de Gaston Bachelard, elle crée Pneuma en mars 2014 pour le Ballet de l’Opéra de Bordeaux, ainsi que Now, pièce pour sept danseurs de sa compagnie sur une musique de René Aubry, dont les premières représentations sont programmées à Chaillot en novembre 2014.

En 2015 elle transmet son solo mythique, Density 21.5, à l’une de ses fidèles danseuses, Isida Micani, puis crée Burning, pour le danseur coréen Won Myeong Won. En 2016 elle crée à Chaillot une pièce pour le jeune public, Seeds (retour à la terre) autour de l’écologie. Cette pièce pour 3 danseurs a un quatrième interprète virtuel, Elyx, petit bonhomme dessiné ambassadeur des Nations Unies et de la COP21, créé par Yacine Aït Kaci.

En 2017 elle revisite son spectacle Synchronicity, inspiré par Carl Gustav Jung en 2012 en créant Crossroads to Synchronicity.
Son œuvre a été récompensée à de nombreuses reprises, en particulier par le premier Lion d'Or attribué par la Biennale de Venise à un chorégraphe. Carolyn Carlson est aussi Commandeur des Arts et Lettres et officier de la Légion d’Honneur.

Activités connexes

Outre ses créations chorégraphiques, elle développe un travail d’écriture et de calligraphie. Elle a publié Le Soi et le Rien (Éditions Actes Sud, 2002), Solo, Poèmes et encres (Éditions Alternatives, 2003), Inanna (Éditions CCN, 2007) avec le scénographe et plasticien Euan Burnett-Smith, Brins d’herbe (Actes Sud, 2011), Dialogue avec Rothko, texte poétique à l’origine de son solo Dialogue with Rothko (Invenit, 2011), Traces d’encre (Actes Sud, 2013) et tout dernièrement Writings on Water (Actes Sud, 2017), catalogue de sa première exposition d’encres et dessins présentée au Musée La Piscine de Roubaix à l’été 2017.

En 2013, la BnF organisait Carlson, écriture et mouvement, afin de présenter au public une sélection de pièces et documents emblématiques de la danseuse-chorégraphe, qui faisait alors le don de ses archives à l'institution. L'exposition voyagea ensuite pour la maison Jean Vilar en Avignon8. Cette exposition fut l’occasion de présenter des carnets et une poignée de dessins ou calligraphies de l’artiste parmi un fonds public et privé très riche, jamais exposés.

En 2015, le recueil de poèmes de l'écrivain français Erik Poulet-Reney intitulé La Femme de craie est préfacé de calligraphies de Carolyn Carlson. Il s'agit d'un hommage poétique de l'écrivain à la sensibilité et à la sensualité de Carolyn Carlson.

En 2017, sous l'impulsion de la commissaire d'exposition Hélène de Talhouët et de la Carolyn Carlson Company, La Piscine - musée d’art et d’industrie de Roubaix, présente l’exposition Writings on water (écrits sur l’eau), de la pièce éponyme de Carolyn Carlson, qui regroupe plus d’une centaine de dessins et encres, posés sur le papier tout au long de la vie de la danseuse et chorégraphe. En 2018, l'exposition voyagera au Musée Toulouse-Lautrec d'Albi sous le titre La femme peinte.

Principales chorégraphies

1972 : Rituel pour un rêve mort
1973 : Density 21.5
1973 : Enivrez-vous
1974 : Sablier prison
1974 : Il y a juste un instant
1975 : L'Or des fous, Les fous d'Or sur une musique de Igor Wakhévitch
1975 : X-Land
1977 : This, That, the Other, the Beginning and the End sur une musique de Igor Wakhévitch
1978 : The Year of the Horse
1979 : Trio
1979 : Writings on Water
1980 : Slow, Heavy and Blue
1980 : The Architects
1981 : Undici onde
1982 : Underwood
1983 : Chalk Work (L'Orso e la Luna) sur une musique de Igor Wakhévitch
1983 : Blue Lady sur une musique de René Aubry
1986 : Still Waters
1987 : A Time Exposure
1988 : Dark
1988 : Cosmopolitan Greetings avec Bob Wilson
1990 : Steppe sur une musique de René Aubry
1990 : Cornerstone sur une musique de John Surman
1991 : Maa sur une musique de Kaija Saariaho
1992 : Elokuu sur une musique de Mikko Mikkola
1992 : Going Home sur une musique de René Aubry
1992 : Syyskuu sur une musique de Mikko Mikkola
1992 : Siininen oui (Blue Gate)
1993 : Commedia sur une musique de Michel Portal
1993 : Don’t look back
1995 : Vue d'ici, the view
1996 : Avant-premières
1997 : Signes sur une musique de René Aubry et des décors d'Olivier Debré
1999 : Hydrogen Jukebox sur une musique de Philip Glass
1999 : Parabola
1999 : Seven woman seven women
2000 : Man in a room
2000 : Light Bringers sur une musique de Philip Glass
2001 : J. Beuys Songs
2001 : Spiritual Warriors et Kan (Prisoner of Freedom)
2002 : Writings on Water sur une musique de Gavin Bryars pour la Biennale de Venise
2002 : Des vices et des vertus- Short Story
2002 : Le oreazioni sur une musique de Gavin Bryars
2002 : Dreaming Over Breakfast
2003 : Out of Focus pour le Ballet de Marseille
2004 : Paper Rain
2004 : Tigers in the Tea House
2004 : Down by the River sur une musique de René Aubry
2004 : Page #7
2005 : Inanna
2006 : Double Vision avec Electronic Shadow
2006 : If to Leave Is to Remember pour le Ballet de Munich
2007 : Hidden
2007 : Li - Short Story
2008 : eau sur une musique de Joby Talbot, images et dispositif d'Alain Fleischer à l'Opéra de Lille
2008 : Blue Lady - Revisited pour les danseurs Tero Saarinen et Jacky Berger
2009 : Le Roi penché sur une musique de René Aubry
2010 : Man in a Room pour Tero Saarinen
2010 : Mundus Imaginalis à La Piscine-Musée de Roubaix
2010 : Mandala - Short Story
2010 : Present memory
2010 : Immersion - Short Story
2011 : Wind Woman - Short Story
2011 : we were horses en collaboration avec Bartabas
2012 : Synchronicity
2013 : Dialogue with Rothko avec le compositeur et violoncelliste Jean-Paul Dessy
2013 : Woman in a Room pour la danseuse étoile Diana Vishneva
2013 : All That Falls - Short Story
2014 : Pneuma pour l'Opéra National de Bordeaux
2014 : Now
2015 : Density 21.5 - Short Story
2015 : Burning - Short Story
2016 : Seeds (retour à la terre) sur une musique d'Aleksi Aubry-Carlson
2017 : In the Night - Short Story
2017 : Crossroads to Synchronicity
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