Muzio Clementi (24 janvier 1752 - 10 mars, 1832) fut un compositeur italien. Il est considéré comme le premier à avoir composé spécifiquement pour le piano et il est surtout connu pour son recueil d'études pianistiques Gradus ad Parnassum (dont le titre rappelle le fameux traité de contrepoint de Johann Joseph Fux).
Muzio Clementi, premier de sept frères et sœurs, naquit à Rome de la famille de Nicolo Clementi, honorable orfèvre de souche romaine et de son épouse, la suissesse Magdalena Kaiser. On décela ses talents pour la musique alors qu'il était très jeune : il était déjà si bon musicien et si excellent interprète à sept ans qu'il obtint un poste d'organiste d'église.
En 1766, Peter Beckford (1740–1811), un riche anglais qui était par ailleurs cousin de l'excentrique William Beckford, fut séduit par les talents musicaux du jeune garçon et conclut un marché avec Nicolo, le père, pour emmener Muzio en Angleterre dans son domaine de Steepleton Iwerne, au nord de Blandford Forumdans le comté de Devon. Backford s'engageait à financer l'éduction musicale de Clementi en échange de quoi celui-ci assurerait l'animation musicale de la propriété. Ce fut donc là que Clementi passa les sept années qui suivirent, se consacrant à l'étude et à la pratique du clavecin. Les compositions qui remontent à cette période de jeunesse sont peu nombreuses et d'ailleurs toutes à peu près perdues.
En 1770, Clementi donna son premier concert public de piano. Le public fut très favorablement impressionné par son jeu et ce fut le début d'une des carrières pianistiques les plus prestigieuses. En 1774, il fut libéré de ses obligations vis-à-vis de Peter Beckford, et il partit s'installer à Londres ou, entre autres activités, il donna plusieurs concerts de bienfaisance au bénéfice d'un chanteur et d'un harpiste et dirigea aussi de son clavier, pendant quelque temps des concerts au King's Theater de Haymarket. Sa renommée s'accrut en 1779-1780 avec la publication des sonates de son opus 2, Devenu très célèbre, il était considéré dans beaucoup de cercles musicaux comme le plus grand pianiste de son temps.
Clementi entreprit un voyage en Europe continentale en 1781, qui l'amena en France, en Allemagne, en Autriche. A Vienne, sur proposition de l'empereur Joseph II il accepta de participer à une joute musicale contre Wolfgang Amadeus Mozart pour l'agrément de l'empereur et de ses hôtes. Chacun des musiciens dut improviser et exécuter des œuvres de sa propre composition. Le talent de chacun d'entre eux, comme compositeur et comme virtuose, était tel que l'empereur dut déclarer match nul.
Le 12 janvier 1782, Mozart écrivait à son père : « Clementi joue bien, tant qu'il s'agit de la main droite. Sa plus grande force est dans les passages de tierces. Mis à part cela, il ne vaut pas Kreutzer quant au goût et et à la sensibilité - en clair, c'est une vraie mécanique ». Dans une lettre postérieure il alla même jusqu'à écrire : « Clementi est un charlatan, comme tous les italiens.» En revanche, l'opinion de Clementi quant à Mozart a toujours été très positive.
Cependant le motif principal de la sonate en si bémol majeur de Clementi a capté l'imagination de Mozart si bien que, dix années plus tard, il s'en servait pour l'ouverture de son opéra La Flûte enchantée. Ceci contraria tellement Clementi que ce dernier prit soin, chaque fois que la partition de sa sonate fut éditée, de faire inclure un commentaire expliquant qu'elle avait été composée dix ans avant la Flûte enchantée.
A partir de 1782 et pendant les vingt années qui suivirent, Clementi resta en Angleterre. Pendant les années 1790, ces oeuvres furent jouées lors des concerts Salomon à Londres, avec celles de Joseph Haydn. Jouant du piano, dirigeant des orchestres et donnant des cours, deux de ses élèves acquirent une certaine notoriété, Johann Baptist Cramer et John Field - ce dernier devait à son tour exercer son influence sur Frédéric Chopin. Clementi entreprit aussi la fabrication de piano, mais son atelier fut détruit par un incendie en 1807.
Cette même année, Clementi conclut un contrat avec Ludwig van Beethoven, qui était un de ses admirateurs, ce qui lui octroya tous les droits de reproduction et d'édition de sa musique.
Sa place dans l'histoire de la musique, en tant qu'éditeur et interprète de Beethoven n'est certainement pas moindre que celle qu'il a pu acquérir en tant que compositeur lui-même. Cependant on a pu lui reprocher certaines libertés éditoriales qu'il s'est autorisé comme lorsque il a opéré des corrections harmoniques de son cru à la musique de son illustre collègue. Le fait que Beethoven a entrepris de composer spécifiquement pour le public anglais, notamment dans le domaine de la musique de chambre est évidemment lié au fait que son éditeur était basé dans ce pays.
En 1810, Clementi arrêta de donner des concerts pour se consacrer à la composition et à la facture de pianos. En 1830 il déménagea pour vivre près de Lichfield puis termina sa vie, un peu oublié, à Evesham. Il y mourut âgé de 80 ans. Il fut inhumé à l'abbaye de Westminster. Il avait été marié trois fois.
Clementi est connu pour son recueil d'études pianistiques Gradus ad Parnassum auquel Claude Debussy fait allusion dans le premier mouvement de sa suite Le coin des enfants qui s'intitule Docteur Gradus Ad Parnassum. De la même manière, ses sonatines ont été le passage obligé dans l'apprentissage du piano pendant tout le XXe siècle. Erik Satie, qui était contemporain de Debussy en a fait une caricature dans sa Sonatine Bureaucratique.
Clementi composa près de 110 sonates pour le piano. Certaines des plus anciennes et des plus faciles furent rééditées sous la forme de sonatines après le succès obtenu par ses sonatines de l'opus 36. Elles continuent d'être très appréciées comme pièces d'exécution assez facile. Il est très rare que ses sonates soient jouées en concert parce qu'elles sont généralement considérées comme des œuvres pédagogiques peu intéressantes. Pourtant les sonates de Clementi sont souvent d'exécution plus difficile que celles de Mozart - ce dernier écrivit dans une lettre adressée à sa sœur qu'il ne lui conseillait pas de jouer les sonates de Clementi à cause des difficultés techniques, de l'écartement des doigts qu'elles nécessitent, et de la difficultés des accords dont il pensait qu'elle pouvait se faire du mal en les jouant.
Outre ses compositions pour piano solo, Clementi a composé une grande quantité de pièces musicales d'autres sortes, y compris des symphonies reconstituées depuis peu, sur lesquelles il a longuement travaillé bien qu'elles donnent une impression d'inachèvement et que l'on commence progressivement à considérer comme des œuvres intéressantes et de qualité. Si Clementi est généralement absent des programmes de concerts, on trouve de plus en plus d'enregistrements discographiques qui lui sont consacrés.
Mozart était animé d'un manque de respect patent pour Clementi - et de façon générale pour tous les musiciens italiens : de ce fait, on les a généralement considérés comme des rivaux irréconciliables. Mais la réciproque n'était pas vraie, autant qu'on puisse en juger, de la part de Clementi, et de toutes façons, les propos peu amènes de Mozart à l'encontre de Clementi n'étaient probablement pas destinés, dans son esprit, à être révélés en public.
Le grand pianiste russe Vladimir Horowitz fut saisi d'une prédilection toute particulière pour Muzio Clementi après que son épouse, Wanda Toscanini lui eût offert les œuvres complètes de celui-ci. Horowitz les mettait au même niveau que les pièces les plus accomplies de Beethoven. C'est en grande partie à lui que Clementi doit d'être à nouveau considéré comme un musicien digne d'intérêt.
Muzio Clementi est injustement sous-estimé dans l'histoire de la musique. Les experts le considèrent en effet comme le vrai créateur du piano moderne et comme celui de la technique pianistique.
Clementi a eu la relative malchance d'être le contemporain des géants de la musique que furent Mozart et Beethoven : à côté d'eux, il passe pour un "petit maitre" - ses œuvres sont un peu délaissées en concert - et pourtant il a joué un rôle capital dans le développement de la musique pour le piano et tout spécialement dans celui de la sonate.
joachim Admin
Nombre de messages : 26879 Age : 77 Date d'inscription : 19/08/2006
Opus 1 : Six sonates (1771) Opus 1 bis : Cinq sonates et Un duo pour 2 pianos (1780-1781) Opus 2 : Six sonates pour piano et violon (ou flûte) (1779) Opus 3 : Trois duos à 4 mains et Trois sonates pour piano et violon (ou flûte) (1779) Opus 4 : Six sonates pour piano et violon violon (ou flûte) (1790) Opus 5 : Trois sonates pour piano et violon et Trois fugues (1780-1781) Opus 6 : Un duo à 4 mains, Deux sonates pour piano et violon et Trois fugues (1780-1781) Opus 7 : Trois sonates (1782) Opus 8 : Trois sonates (1782) Opus 9 : Trois sonates (1783) Opus 10 : Trois sonates (1783) Opus 11 : Une sonate et Une toccata (1784) Opus 12 : Quatre sonates et Un duo pour 2 pianos (1784) Opus 13 : Six sonates, dont trois avec violon (ou flûte) (1785) Opus 14 : Trois duos à 4 mains (1786) Opus 15 : Trois sonates pour piano et violon (1786) Opus 16 : Sonate « La Chasse » (1786) Opus 17 : Capriccio (1787) Opus 18 : Deux symphonies (1787) Opus 19 : Clementi's Musical Characteristics (1787) Opus 20 : Sonate (1787) Opus 21 : Trois trios (1788) Opus 22 : Trois trios (1788) Opus 23 : Trois sonates (1790) Opus 24 : Deux sonates (1788) Opus 25 : Six sonates (1790) Opus 26 : Sonate (1791) Opus 27 : Trois trios (1791) Opus 28 : Trois trios (1792) Opus 29 : Trois trios (1793) Opus 30 : Sonate pour piano et violon (rév. de l'opus 2 n°2) (1794) Opus 31 : Sonate pour flûte et piano (rév. de l'opus 2 n°4) (1794) Opus 32 : Trois trios (1793) Opus 33 : Trois sonates (1794) Opus 34 : Deux sonates et Deux capricci (1795) Opus 35 : Trois trios (1796) Opus 36 : Six sonatines (1797) Opus 37 : Trois sonates (1798) Opus 38 : Douze valses (1798) Opus 39 : Douze valses (1800) Opus 40 : Trois sonates (1802) Opus 41 : Sonate (1804) Opus 42 : Introduction to the Art of Playing on the Piano Forte (1801) Opus 43 : Clementi's Appendix à l'opus 42 (1811) Opus 44 : Gradus ad Parnassum (1817, 1819, 1826): Recueil de 100 études pour piano Opus 46 : Sonate (1820) Opus 47 : Deux capricci (1821) Opus 48 : Fantaisie avec Variations sur l'Air « Au Clair de la Lune » (1821) Opus 49 : Douze monferrines (1821) Opus 50 : Trois sonates (1821)
Et celles sans opus :
18 Composizioni senza numero d'opera Op-sn 1-18 (WO 2, 3, 5, 8, 10, 11, 13-23) per Clavicembalo o Pianoforte
5 Duetti per piano a quattro mano (WoO 24-28
Clementi's Selection of Practical Harmony WO 7 per Organo o Pianoforte
Sonata per piano, violino o flute e violoncello in do maggiore (WoO 6)
Musica vocale: 2 Canzonette Op-sn 24 (WO 4) per Soprano e Clavicembalo o Pianoforte; Melodies of different Nations Op-sn 25 (WO 9) per Voce e Pianoforte
Nonetto WO 30-31 per Flauto, Oboe, Clarinetto, Fagotto, Corno, Violino, Viola, Violoncello e Contrabbasso; Canone finito a tre WO 29 per 2 Violini e Viola
2 Ouvertura in Do e in Re, e Minuetto Pastorale (WO 36) per Orchestra
Sinfonia [n. 1] Op-sn 34 in Do maggiore (WO 32)
Sinfonia n. 2 (WO 33) per Orchestra
Sinfonia n. 3 (WO 34) per Orchestra
Sinfonia n. 4 Op-sn 37 in Re maggiore (WO 35)
Concerto Op-sn 30 in Do maggiore per Pianoforte e Orchestra (WoO 12) (ms. Johann Schenk, 1796) d'après sonate op. 33 n° 3
Oratorio: Martirio de' gloriosi santi Giuliano e Celso (WoO 1) perdito, 1764
Muzio Clementi. Studies and Prospects
Dernière édition par joachim le 2021-01-13, 19:13, édité 1 fois
Snoopy Admin
Nombre de messages : 30847 Age : 49 Date d'inscription : 10/08/2006
Oui, mais il n'y a presque que du piano, du moins dans les oeuvres qui ne sont pas perdues. Car il y avait un foutoir monstre dans ses manuscrits. Il y aurait eu au moins une vingtaine de symphonies et autant de concertos.
Je suis sûr que tu connais au moins ses sonatines.
Snoopy Admin
Nombre de messages : 30847 Age : 49 Date d'inscription : 10/08/2006
Oui, mais il n'y a presque que du piano, du moins dans les oeuvres qui ne sont pas perdues. Car il y avait un foutoir monstre dans ses manuscrits. Il y aurait eu au moins une vingtaine de symphonies et autant de concertos.
Je suis sûr que tu connais au moins ses sonatines.
Les symphonies sont perdues . Les seules qui subsistent sont les 4 reconstituees par Pietro Spada (les manuscrits etaient eparpilles) et les 2 op 18 qui datent des annes 1780. Il ne reste egalement qu'un seul concerto pour piano (do M) .les autres ont egalement disparus . Certaines sonates sont des transcriptions de concertos ( comme l'op 46 .....l'op33 /2 est d'ailleurs la transcription du concerto en do M sus-cité.)
L'integrale en cours des sonates par Howard Shelley est tres prometteuse . 2 volumes dejà parus que j'ai achete il y a peu .Howard Shelley est un de mes pianiste preferé
Pour debuter Clementi je recommande les op 13/6 en sol m de 1784 (enregistree par Horowitz) les op 25 ,33 ,34,40,41,50.Les caprices op 47 Les sonatines sont charmantes ,mais bon ....ce sont des sonatines Parmi les trios il faut trier car comme souvent a cette epoque on a affaire a des sonates "ad libitum" ou violon et/ou violoncelle doublent aigus et basses , et en plus s'adresssent souvent a l'amateur sans trop de recherches harmoniques
joachim Admin
Nombre de messages : 26879 Age : 77 Date d'inscription : 19/08/2006
Il y a une autre intégrale en cours, chez Brillant Classics, par Costantino Mastroprimiano. J'ai acheté les deux premiers volumes, avec les premières sonates pratiquement inconnues. Mais je ne crois pas que je vais poursuivre, ça me ferait pas mal de doublons, et je n'ai plus de place !
Pour le concerto en ut majeur, il me semble que c'est la transcription de l'opus 33/3 et non pas 33/2 ?
Je suis en train d'écouter le CD dont nous parle Stadler, en effet il est très bien joué, et les sonates choisies agréables à écouter...
Il y a une autre intégrale en cours, chez Brillant Classics, par Costantino Mastroprimiano. J'ai acheté les deux premiers volumes, avec les premières sonates pratiquement inconnues. Mais je ne crois pas que je vais poursuivre, ça me ferait pas mal de doublons, et je n'ai plus de place !
Pour le concerto en ut majeur, il me semble que c'est la transcription de l'opus 33/3 et non pas 33/2 ?
Tu as sans doute raison je n'ai pas tout en memoire .Au boulot je n'ai pas mes bouquins pour verifier
Jean
Nombre de messages : 8730 Age : 81 Date d'inscription : 14/05/2007
Je viens de recevoir le 3°volume de cette integrale .Meilleure que celle de Pietro Spada . Howard Shelley est vraiment un grand pianiste .Bien au dessus de certaines starlettes à l'ego surdéveloppé. C'est un vrai technicien qui fait son boulot de façon concise et inspirée . Pour moi un vrai artiste c'est d'abord un technicien + l'inspirattion et non des airs "inspirés"pour faire l'artiste. Je recommande donc cette intégrale pour ceux qui comme moi adorent Clementi
Snoopy Admin
Nombre de messages : 30847 Age : 49 Date d'inscription : 10/08/2006
Tu n'as rien remarqué dans le premier mouvement de l'op 40 n° 2 ?
heu...que faut il remarquer? ... l'évocaton d'une autre sonate?
j'avoue que je ne vois pas! (j'ai les trois sonates op 40 par Stefan Irmer label MDG...belles sonates en tout cas!
Je n'ai pas répondu
Tu ne risquais pas de trouver car en fait il s'agit de la sonate op 24 n° 2
Le thème de l'allegro con brio est presque textuellement le début de l'allegro de l'ouverture de la Flûte Enchantée de Mozart.
J'étais revenu à Clementi car j'écoute ce CD consacré à ses sonates pour flûte et basse continue opus 21 et 22.
Je trouve qu'elles ne sont pas à l'avenant des sonates pour piano, je les trouve presque ennuyeuses, et sont en style plutôt baroques alors que celles pour piano sont classiques et même presque romantiques... Bizarre chez ce compositeur.
https://www.youtube.com/watch?v=aKF4piFxvrc
C'est un autre enregistrement que le CD, si je les trouve ennuyeuses, c'est peut-être à cause de l'interprétation ?
joachim Admin
Nombre de messages : 26879 Age : 77 Date d'inscription : 19/08/2006
Comme dit ci-dessus, le premier mouvement la sonate en si bémol op 24 n° 2 comporte quelques notes de l'ouverture de la Flûte enchantée, qui se répètent plusieurs fois :
https://www.youtube.com/watch?v=-iB2iVE52Xk
Elle a été composée une dizaine d'années avant la Flûte. Alors, coïncidence ou plagiat de Mozart pour ces quelques notes ? Pour moi, c'est une coïncidence...
A vous d'en juger !
Icare Admin
Nombre de messages : 17345 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
Cependant le motif principal de la sonate en si bémol majeur de Clementi a capté l'imagination de Mozart si bien que, dix années plus tard, il s'en servait pour l'ouverture de son opéra La Flûte enchantée. Ceci contraria tellement Clementi que ce dernier prit soin, chaque fois que la partition de sa sonate fut éditée, de faire inclure un commentaire expliquant qu'elle avait été composée dix ans avant la Flûte enchantée.
C'est Snoopy qui donne la réponse
Icare Admin
Nombre de messages : 17345 Age : 60 Date d'inscription : 13/11/2009
A cette époque encore il semble que les "citations" ou utilisation de la musique d'un "collègue" étaient encore courante , en tout cas admise comme un hommage.... Plus systématiquement, semble t'il ( )....Faut dire que les deux étaient plus "en concurrence" que bons collègues...Mozart ayant proféré une belle "vacherie" envers Clementi dont semble t'il (encore!..) il jalousait la virtuosité
Pébété
Nombre de messages : 2459 Age : 78 Date d'inscription : 19/03/2019
joachim pour cette information. Effectivement, comme tu le fais remarquer cette sonate quasi-Concerto op.33 nº 3, a moins de relief et d'élégance que le concerto.